02 Juin 2010

GaGa au Larry King Live

L’interview de Lady GaGa par Larry King a donc été diffusée hier soir aux États-Unis. Voici les vidéos de son intervention et notre traduction.

Vidéo 1 (ci-dessus):
Êtes-vous surprise d’être élue l’artiste la plus influente de l’année par le TIME ?
Oui et je suis bénie d’avoir mes fabuleux fans qui ont voté pour moi.

Pourquoi avoir changé de nom pour GaGa?
C’était un surnom que certains de mes amis de New York me donnait alors que je faisais des performances artistiques. Alors les gens m’ont aussi appelé GaGa, comme la chanson de Queen « Radio GaGa ».

A quel âge avez-vous su que vous seriez une artiste ?
Dans le ventre de ma mère.

A votre naissance.
Oui c’était ma destinée d’être une artiste. J’avais l’habitude de chanter dans les restaurants avec ma famille ou dans le salon. Maintenant je fais ça pour vivre et je refuse de m’arrêter et de prendre des vacances. Je préfère mourir sur scène.

Avant d’être une artiste, avez-vous eu d’autres jobs ?
J’ai été serveuse plusieurs années. J’ai aussi été brièvement gogo-danseuse. Je me faisais de l’argent pour payer mes démos, tracts que je déposais autour de l’université pour que les gens viennent me voir sur scène. J’ai eu un job à 15 ans en tant que serveuse.

Vous considérez-vous vous-même comme une icône ?
Non. J’espère être considérée comme une icône quand je serai morte.


Qui est votre icône ?
Ma mère, ma grand-mère, j’aime la Princesse Diana, tellement, elle a été d’une énorme influence sur moi quand j’étais plus jeune. Son histoire, comment elle a débuté, comment sa société l’a touché en tant que femme. J’ai toujours été fascinée par la Princesse Diana. Quand elle est morte…Je me souviendrai toujours de ma mère en pleurs, assise sur le canapé regardant les infos, j’étais très jeune. Ce fut un moment très marquant de voir ma mère si connectée à quelqu’un.
David Bowie est aussi une de mes icônes ainsi que plein d’autres gens.

Votre famille vous a-t-elle encouragé à chanter et danser ?
Oui ma mère a été dans un théâtre musical plus jeune et mon père a été dans un groupe de reprises de Bruce Springsteen. Ils m’ont toujours soutenue, tant que je travaillais dur ils été d’accord.

Il y a beaucoup de rumeurs autour de votre santé, comment allez-vous ?
Je vais bien, merci Larry. Comment allez-vous ?

Je vais bien. Vous semblez en pleine forme mais il y a cette rumeur de lupus.
Il y a des cas de lupus dans ma famille et c’est génétique. C’est drôle parce que ma mère m’a dit que mes fans s’inquiétaient pour moi car j’ai dis que j’avais été testée pour le lupus et la vérité est que je ne montre aucun signe, aucun symptôme du lupus mais j’ai été testé « limite positive » pour cette maladie. Je ne suis pas malade à l’heure actuelle mais je dois prendre soin de moi.
La mort est un thème récurrent de vos performances à 24 ans : vous avez été mangée par une lotte géante (NDLR : Lors de « Paparazzi » dans le Monster Ball), pendue aux MTV Awards 2009. Pensez-vous à la mort ?
Oui.

A 24 ans ?
Je rêve souvent de ça. Pour revenir à la lotte géante c’était le monstre de mon enfance. Ma grande peur c’étaient les lottes. Chaque soir je me bats contre la peur de mon enfance avant le final. Je ne sais pas. Je suis une amie de Deepak Choprah à qui je parle beaucoup de mes rêves et il me dit que je suis très imaginative et que je devrais embrasser ma folie et ne pas m’inquiéter autant. Je l’appelle tout le temps « Oh Deeprah quel rêve terrible, quel est son sens » et il me dit « tu es juste très imaginative, amène ça sur scène »

Deepak ne s’inquiète jamais de rien.
C’est une personne fabuleuse, je souhaiterais être plus comme lui. Je pense qu’une partie de ma fascination pour le spectacle tient au fait que le spectacle est une célébration de la honte, un rejet de l’insécurité. Le Monster Ball est un exorcisme pour mes fans et moi. Nous mettons tout sur la table et nous le rejetons. Beaucoup de mes fans sont préoccupés et j’étais préoccupée moi aussi et je suis toujours très préoccupée. Je libère mes fans d’une certaine façon et je ne me cache pas face à eux. Je ne suis pas intéressée d’être la parfaite placide chanteuse pop qui est belle en bikini, qui est sur toutes les couvertures des magazines. Je suis plus intéressée par le fait que mes fans s’aiment tels qu’ils sont et de les aider à rejeter les préjugés.


Une question pour vous GaGa, postée sur notre page facebook : est-ce vrai que Michael Jackson voulait chanter avec toi sur sa tournée « This Is It » ?
C’est toujours très difficile car je n’aime pas nécessairement parler de ça. C’est personnel mais je crois pouvoir en parler maintenant. On m’a demandé de faire la première partie de Michael sur cette tournée, nous allions ouvrir pour lui à l’O2 et nous travaillions dessus pour le réaliser. Je crois qu’il y avait des discussions sur des duos entre les premières parties et Michael sur scène. Mais la mort de Michael a été dévastatrice pour moi, peu importe que j’allais ou non faire la tournée avec lui. C’est une telle source d’inspiration et un être remarquable. Je suppose qu’une partie ma fascination pour la mort et de la disparition de la célébrité est venue à moi en regardant ces énormes icônes et gens incroyables que j’ai annoncé que ma vie serait détruite ou auto-détruite ou détruite par les médias.

Comment vous sont venues ces idées de costumes ?
Certaines choses que je porte sont créées pour moi par des couturiers ou des rééditions d’archive, de choses portées dans les années 70 et 80. Beaucoup de ces choses sont des pièces originales. Ça doit être une sorte de rejet de ce que les gens pensent des femmes. Je pense être une féministe. Je suis une féministe. Je veux changer le regard des gens sur les femmes.
L’artiste Marina Abramovic semble être sans limite, elle ou nous créons nos propres limites. Je pense que j’essaie de repousser les limites et les frontières autant que je le peux. J’aime aussi la façon dont je m’habille, cela m’apporte une joie et une satisfaction personnelles. J’essaie aussi de créer des choses facilement copiable pour mes fans. C’est bien d’avoir cette sorte de connexion en dehors de toute autre chose.

Y a-t-il une limite que vous ne franchirez pas ?
Je n’aime pas la violence, je déteste la violence. Je n’aime pas la négativité, les préjugés. Je ne crois pas en la haine dans la musique.

Bien dit. Vous avez dit que votre single « Just dance » a sauvé votre vie. Comment ?
Il a sauvé ma vie comme en tant que transition. J’étais en voyage pour ma musique, j’ai déménagé à Los Angeles, été virée des maisons de disque, j’ai connu tellement d’obstacles, on m’a dit non, on m’a rejetée, « pas assez mince, pas assez jolie, ne chante pas assez, n’écrit pas assez de bonnes chansons, tu es un monstre, la fille bizarre de New York ». C’était rejet sur rejet. J’ai écris cette chanson, « Just Dance », c’était la chose sur laquelle on pouvait accrocher les maisons de disque, la communauté gay qui a été ma plus grande bénédiction de ma vie. Ils me comprennent, me soutiennent. Le clip d’Alejandro, qui sera diffusé très bientôt, est une célébration de mon amour et de mon estime envers la communauté gay. Mon admiration pour leur courage, leur amour mutuel…C’est quelque chose je dois trouver avec un homme.


Vous ne touchez plus à la cocaïne, cela a-t-il été dur d’arrêter ?
Non. J’ai arrêté la drogue alors qu’elle ruinait ma vie. Alors non, je l’ai juste jeté.

Les tabloïds britanniques ont raconté que vous étiez allé dans un pub et bu quelques coups avec les habitués et payer votre tournée, c’est vrai ?
Oui. Qu’y a-t-il de mal avec mes nouveaux amis ?

Vous êtes actuellement en grosse tournée des arenas, quelle est la pression de faire ce genre de tournée?
C’est une pression fantastique, la pression la plus incroyable. Ça n’a rien avoir avec les autres sortes de pression. C’est juste fantastique, c’est miraculeux. Je suis bénie, je regarde le public, je cris et pleure et nous chantons, nous dansons et je n’aurais jamais cru voir 17 000 personnes chantant mes paroles ou même connaître mon nom. Je suis si reconnaissante Larry, je ne peux pas m’exprimer assez sur mes petits monstres, mes magnifiques fans. Ils m’inspirent tellement. J’ai écris mon nouvel album sur la route tous les jours. Ce fut une super expérience. Bien sûr je veux toujours être meilleure mais ce n’est pas une pression, c’est de la bonne pression.

Que signifient les Petits Monstres ?
J’ai écrit l’album « The Fame Monster » et une fois fini j’ai réalisé que chaque chanson parlait d’une peur en particulier que j’avais connue lors de mon parcours pour promouvoir« The Fame ». Quand j’ai commencé la tournée, mes fans avaient l’eau à la bouche, ils étaient enragés, ils étaient comme des monstres dans le public. Un soir je leur ai dit « vous êtes des petits monstres ». J’utilisais aussi ces termes dans mon album alors je les ai appelé ainsi. Avant que je le sache, ils mettaient leurs mains en l’air comme ça (NDLR : imitant des griffes) et c’est devenu le symbole des petits monstres. Maintenant ils restent dans le public chaque soir comme ça et ils dansent en gardant leurs mains monstres.

Si vous n’étiez pas dans le show-business, que feriez-vous ?
Je serais morte.

Vous ne seriez pas là.
Non. Je suis show-business. Beaucoup de choses que j’ai faites font partie du show-business. Certaines personnes me demandent comment vais-je m’habiller…Le concept de show-business s’est perdu. Michael Jackson quand il a été conduit à l’ambulance lorsqu’il s’est fait brûler, a tenu son gant pailleté haut dans les airs pour saluer ses fans car il était show-business.

Vous êtes devenue une championne de ceux que vous appelez « tous les freaks ». Tout le monde est-il un freak (NDLR : un monstre de foire) ?
Depuis mon enfance, à l’école et pendant très longtemps je me suis sentie comme un monstre. Je n’avais pas beaucoup d’amis à l’école, seulement quelques amis proches. Je n’étais pas une fille populaire. On se moquait de moi tous les jours. Je ne voulais pas m’habiller comme tous les autres. J’étais me sentais plus proche d’un garçon que d’une fille. Je me sentais comme un freak et je n’avais nulle part où aller. A travers la musique, les performances, les vêtements que je porte et alors que ma base de fans augmentait, je regardais ce groupe massif d’exclus se rassembler pour se libérer eux-mêmes. Ils aiment la musique et ceux que la Haus Of GaGa crée car cela donne sens à l’individualité, à la liberté, à la non-conformité et je fête ça. Je blague au début du spectacle en disant « tous les freaks sont dehors et j’ai fermé les portes ». C’est la contraire de ce que vous avez dit Larry, nous ne pensons pas que nous sommes des freaks mais que tous les autres sont des freaks.

Vos clips sont très populaires sur internet. Il y a eu une parodie de « Telephone » par des soldats américains en Afghanistan. Appréciez-vous les imitations ?
Oui bien sûr mais en fait c’est intéressant que vous parliez des soldats en Afghanistan car je n’ai spécialement pas posté celle-ci sur mon site. Je voulais la poster sur mon twitter mais j’étais anxieuse car je n’étais pas sûre de comment elle serait reçue par les autres soldats, les autres membres de l’armée ou l’administration. Je ne l’ai donc pas posté.
C’est intéressant que ce cas de « Don’t ask, don’t tell » (NDLR : politique de confidentialité de l’armée américaine sensée protéger les soldats homosexuels) qui se passe car dans le clip d’ « Alejandro » il y a ce thème homo-érotico militaire qui colle parfaitement à la situation. Ce n’est pas un secret que je pense que personne ne devrait cacher qu’il est. Je parle de cela car ça m’a rendu triste de voir cette vidéo, de la trouver géniale, de penser qu’en Afghanistan ils se battent tous les jours pour nous, ils nous protègent. Ils voulaient juste avoir un petit moment de détente et j’ai dû réfléchir à deux fois avant de poster ça car je ne voulais pas que quelque chose de mal se produise.


Quand est-ce que le clip d’ « Alejandro » va sortir ?
Dans quelques jours et je veux être sûre que mes fans aient quelque chose de bien

Il y a beaucoup de comparaisons entre vous et Madonna. Que pensez-vous de ça et que pensez-vous d’elle ?
Madonna est géniale, elle a été une amie géniale et m’a apporté son soutien. C’est une femme tellement incroyable. J’ai été comparée à tellement de personnes, nous sommes tous comparés aux autres. A un autre niveau c’est drôle car ma mère ressemble beaucoup à Madonna et je ressemble moi-même de plus en plus à ma mère alors, parfois j’ai juste envie de dire « ce n’est pas ma faute si je lui ressemble ».

Vous êtes-vous amusez lors de votre sketch avec elle du Saturday Night Live ?
Oui, nous avons ris, nous voulions toutes les deux faire beaucoup de répétitions ce qui rendait tout le monde fou. Elle est vraiment géniale et il n’y a pas de mauvaises comparaisons à Madonna, elle est fabuleuse et personne ne la remplacera alors je dois toujours penser à de nouvelles façon de choquer car elle a déjà tout fait.

Vous avez été élevée en tant que catholique, quels sont vos sentiments par rapport à la religion ?
Je me bats avec mes sentiments sur l’église mais je pense que l’église est séparée de la religion. La religion et l’église sont deux choses différentes. En termes de religion…je suis très religieuse, j’ai été élevée comme catholique, je crois en Jésus, je crois en Dieu, je suis très spirituelle, je prie beaucoup. En même temps il n’y a aucune religion qui ne déteste, ne parle contre ou ait des préjugés contre un autre groupe racial, religieux ou sexuel. Je pense que la religion ment. Je pense qu’on peut dire que je suis une femme religieuse très confuse à propos de la religion. Je rêve d’un futur avec un religion plus pacifiste, un monde plus pacifique, un état d’esprit pacifiste pour la nouvelle génération.

Pensez-vous aller quelque part une fois décédée ?
Est-ce que je crois au paradis et à l’enfer ? Je pense que j’irai au paradis.

Vous êtes un porte-parole des droits de la communauté gay. D’où vient ce lien entre vous et eux ?
En ce qui me concerne, mon admiration vient de ce courage inébranlable et joyeux et cette bravoure qu’ils ont les uns pour les autres pour leur communauté. Etre gay et vivre ouvertement dans cette société qui exige une force immense. J’admire cela et les envie parfois. C’est une chose qu’en tant que femme je ne possèderai jamais.
Je pense aussi que ma connexion avec eux est symbiotique et mutuel. Ils savent à quel point je les aime et ma musique de plusieurs façons, mes amis depuis que je suis très jeune, sont tous gay. Et ils ont été mes plus proches amis, mes plus pures relations. Les mecs gays n’ont jamais rien voulu de moi exceptés mon amitié et mon amour. Ce sont deux choses différentes. Je suppose que c’est une relation très pure et je célèbre leur culture, leur union, qui ils sont à travers ma musique, ma mode et mon travail tous les jours et je continuerai pour toujours.


Que pensez-vous du « don‘t ask, don’t tell ». Vous pensez qu’ils vont le changer (NDLR : La politique de confidentialité de l’armée américaine concernant les soldats gays est en train d’être discutée par les politiques car jugée inefficace)?
Je l’espère. Il y a tellement de choses autour du « don’t ask don‘t tell » en ce moment. Je sais qu’ils travaillent sur l’abrogation de restrictions pour la communauté gay. Il y a tellement de choses archaïques autour du gouvernement à l’heure actuelle, c’est très complexe pour les jeunes tout spécialement pour les ados et les lycéens qui se font virés parce qu’ils portent un t-shirt avec écrit « gay » dessus. Comme si « gay » était un gros-mot. Je pense qu’en termes d’éducation sexuelle, politique et sociale, il est important d’être spécifique à propos des droits civils.

Votre chanson « Poker face » parle de votre propre bisexualité. Comment faites-vous avec ça ?
Ça va très bien. Je recherche l’amour comme tous les autres Larry. Mais à l’heure actuelle, je trouve l’amour dans mes fans. L’amour apparaît sous différentes formes. Aujourd’hui je suis passionnément à leur service.

Voulez-vous des enfants ?
Oui un jour bien que mon ventre n’est pas encore envie d’un enfant. Je suis aussi terrifiée que cela ruine ma créativité.


Comme vous avez un look en notre honneur, j’ai mis des lunettes en votre honneur.
Oh Larry, vous êtes si mystérieux. Mystérieux King.

Quel est votre prochain album, quelle est sa date de sortie et à quoi ressemblera-t-il ?
Mon prochain album…ne sortira pas ce Noël, ce que je n’étais pas sensée vous dire, j’espère que mes fans ne m’en voudront pas. Je voulais me donner un peu plus de temps même s’il est quasiment fini. Je veux donner à mes fans ce qu’ils méritent, ce qui pour moi veux dire promouvoir et voyager à travers le monde et leur donner la musique de la façon la plus parfaite et la plus accessible. Je suis en tournée en ce moment et j’aime faire les choses à l’ancienne. Je veux embrasser chaque Dj et directeur de radio à travers le monde comme je l’ai fais la première fois. Le son est…je ne veux pas trop en dire à propos de cet album. Il est inspiré par ma nouvelle appréhension et l’amour de mes fans. Une nouvelle appréhension de ce dont ils ont besoin, ce dont ils rêvent. Pour moi cet album est un hymne à la nouvelle décennie. Il a un message général.

Appréciez-vous la gloire ?
J’apprécie mes fans. Mes fans sont une chose que je ne pourrais jamais commercialiser ou abandonner. Mais il ya beaucoup de choses qui viennent avec la célébrité que je n’aime pas. A la fin de la journée Larry je ne préfère pas aller aux fêtes hollywoodiennes mais plutôt aller au pub du coin de la rue et payer ma tournée. Et je peux vous offrir un verre quand je viendrais vous voir à New York.

Revoyons-nous bientôt !
Nous nous reverrons.

Le King et la Lady.
Ça sonne comme un film.


Extrait de l’interview de Lebron James (basketteur) par Larry King
Que pensez-vous de Lady GaGa?
C’est une artiste incroyable, un talent incroyable.

Irez-vous la voir à Cleveland?
J’y serais.

19 commentaires on “GaGa au Larry King Live”

    1. Merci tout le monde! Pour une fois que j’ai l’impression qu’une de mes loooongues traductions est lue ^^
      @Bastien31: J’ai pas compris la question.

  1. un grand merci a l’equipe gagavision for this prfect job vrément thx (méme ci pour ma part je comprend l’anglais XD) jadore l’interview et ca faàon de reflechir =D

  2. Bel interview, merci beaucoup pour la traduction GaGavision ;)
    Quant à notre Lady GaGa, elle est vraiment géniale, elle parle bien et me remonte le moral, j’la kiff <33

  3. Vous ne touchez plus à la cocaïne, cela a-t-il été dur d’arrêter ?
    Non. Quand j’ai arrêté cela ruiné ma vie. Alors non, je l’ai juste jeté.

    >> Je pense que c’est important de changer la traduction ici, elle ne dit pas que ça à ruiner sa vie d’arrêter mais que au moment où elle a arrêter la cocaïne était en train de ruiner sa vie ( sous entendu c’est pour ça qu’elle à arrêter et non ça à ruiner sa vie d’arrêter) C’est juste une petite précision mais bon ^^ .
    Par contre, la plupart du temps, il manque des phrases, certaines ne sont pas traduites ! Est ce que c’est normal ?

    1. @Ever : C’est ce que je dis pour la drogue. C’est peu être pas très clair. Sinon oui il doit manque quelques phrases (très peu) que je n’ai pas du tout comprises.

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