Si Gaga avait été influencée par Orlan, comme certains le prétendent, c’est une magnifique performance mais, comme Gaga le dit plus tard, sa vie entière est une performance. Il y a beaucoup trop de couches de bluff et de double bluff à envisager, mais aux yeux de NME elle a l’air véritablement surprise – et fascinée – par l’existence d’Orlan.
Une chose est certaine : NME n’a jamais rencontré une personnalité de la pop comme Gaga. En termes d’ambition et de succès, elle met les choses à un autre niveau. Son obsession est presque psychotique et elle avoue avoir du mal à décrocher. Après un désaccord sur l’imagerie de « The Fame Monster », son label, dit-elle, ne lui dit plus quoi faire (« enfin, plus maintenant ») et elle n’écoute que l’avis de son manager Troy. « Par exemple, il me dira ‘Es-tu sûre de vouloir donner naissance à une nouvelle espèce dans ta prochaine vidéo ?’ et je dirai ‘Oui’. » Elle songe toujours à ajouter des chansons dans son nouvel album alors qu’il sort dans six semaines. Elle blague à moitié en disant qu’il ne sera fini que « lorsqu’on me l’arrachera des mains à ma mort. » Elle ne capte peut être pas tout (NDLT : référence à ce qu’on pense d’elle, un peu plus haut dans le texte), mais Gaga mène certainement sa barque.
Vous tenez à ce que les gens prennent votre travail au sérieux. Regrettez-vous les placements de produits dans vos vidéos ?
Non. Mais en fait les gens ont cru que certaines choses étaient du placement de produits dans la vidéo de ‘Telephone’ alors que ce n’était pas le cas. Ils étaient pour moi un commentaire Warholien sur le mercantilisme en Amérique, en relation avec la téléphonie, les communications et Internet, et le fait d’être inondés d’information.
Parfois on dirait que vous inventez les choses au fil de l’eau, ou que vous donnez un sens aux choses après qu’elles se soient produites en clamant que c’était le plan de départ.
Je vous le jure… Les canettes de Coca, le WonderBread, je pourrai nommer au moins cinq choses dans cette vidéo pour lesquelles je n’ai pas été payée. Mais je peux, avec le recul, voir… Comme Plentyoffish.com, je sais que le placement était trop excessif. Mais je ne regrette pas. Je n’avais pas d’argent, mais je ne le referai plus. Il n’y aura pas de placement de produits dans cet album, sauf si je réalise un film à 355 millions de dollars.
Ce matin, USA Today a fait une nécrologie pour Liz Taylor dont le titre était « La plus grand star au monde ». Est-ce que votre célébrité est la même qu’elle ?
Je n’ai aucune idée, objectivement, du genre d’attention que j’ai. J’aimerai que vous me l’expliquiez si possible.
Et bien, dans le sens le plus basique, vous voyez bien que des gens que vous n’avez jamais rencontré s’intéressent à vous ?
Comme à une fleur qui éclot ?
Beaucoup de gens voudraient qu’on la coupe.
Je pense qu’à cette époque, Internet, la presse et les paparazzi n’étaient pas au courant des disparitions de célébrités et maintenant ils le sont. J’ai fait une performance de ça aux VMAs. Je suis morte et je saignais devant tout le monde, car je pense que je supposais que si je mourrais sur scène et que je montrais à tout le monde de quoi ça avait l’air, alors ils ne chercheraient pas ça. Mais ils cherchent toujours.
Ca ne pouvait pas marcher, n’est-ce pas ?
Je pense qu’on a enquêté sans fin pour savoir qui je suis et j’ai été plutôt ouverte à ce sujet. Et pourtant personne ne semble en avoir la moindre idée.
Que pensez-vous des gens qui disent que vous êtes une icone ?
Je ne peux prouver à personne que je suis une légende après seulement deux albums. C’est ridicule. C’est très gentil mais je n’ai pas besoin qu’on dise de moi que je suis une icone pour le moment. Je suis heureuse de faire de la musique. Je suis plus intéressée par le fait d’établir un moment historique massif lorsque cet album va sortir. On me mesure à des gens qui sont dans le business depuis des décennies et on attend de moi la même importance culturelle et le même succès. Je dois garder ça à l’esprit, ne pas précipiter les choses et me vieillir en tant qu’artiste.
Alors, est-ce que les Petits Monstres qui demandent qu’on vous traite comme une icone font plus de mal à votre réputation que les critiques ne le font ?
Je n’analyse pas les choses aussi profondément. Vous ne pouvez pas vous précipiter vers un artiste ou le fuir. Il faut juste que je fasse de la musique géniale qui sera divertissante, mémorable et culturellement pertinente pour longtemps. Je dois juste avoir foi en moi.
Vous dites qu’il est ridicule que les gens disent que vous êtes une icone ou une légende, mais pensez-vous qu’il soit raisonnable de vouloir créer « un moment historique massif » ou d’être culturellement mémorable… Ce ne sont pas vraiment des buts modestes.
Je pense qu’un album est un instant dans le temps, alors qu’une icone est quelqu’un qui est là depuis des décennies… Lorsque vous parlez d’icone, vous faites référence à un catalogue musical entier. Mais, le fait que ‘Born This Way’ soit la chanson la plus vendue sur iTunes est le genre de choses qui signifie quelque chose pour moi.
A minuit, nous sommes à l’étage de la suite à deux niveaux de Gaga. Elle est plutôt grande, comme votre robe en viande moyenne est charnue. Dans le bureau, Gaga a l’air d’une caricature de la célébrité moderne et multi-tâches : elle est assise à son bureau avec son PC portable, elle choisit son costume pour la performance de ce soir dans un club (une paire de bas est rejetée – (« BRULEZ-LES !» – car une chanteuse anglaise les a portés dans un clip), elle complote la promo de ‘Judas’ (elle prévoit de se faire piercer le doigt à l’avance), elle coordonne le téléchargement sur YouTube de la chanson country de cet après-midi, et tweete le photoshoot impromptu de NME à neuf millions de gens. Pendant ce temps, deux membres de la Haus of Gaga assistent à sa coiffure et son maquillage.
NME demande si, comme beaucoup d’autres artistes, elle a peur de se réveiller un jour en n’ayant plus aucune idée – surtout qu’elle semble déjà avoir grillé pas mal de réinventions en moins de trois ans de carrière. Elle dit qu’elle n’a pas ce genre d’inquiétudes, mais elle nous dira plus tard qu’elle fait un cauchemar récurrent. « Le rêve se passe dans la maison où j’ai vécu jusqu’à mes six ans » raconte-t-elle. « Je dois trouver quelque chose ou compléter quelque chose avant qu’un monstre ne passe la porte. C’est bizarre de raconter ça maintenant car je n’ai jamais pensé à ça en référence à mon album [The Fame Monster]. Il faut que je finisse quelque chose ou le monstre viendra pour moi. »
Elle a fait ce rêve il y a des années, dit-elle, avant d’être Lady Gaga. Ce rêve signifie-t-il qu’elle a la peur panique d’avoir trop de choses à faire avant de mourir ? « Ce serait une analyse Freudienne merveilleuse de moi. Peut être que j’ai peur de ça. Je pense que ça a à voir avec ma créativité et les choses que j’ai à délivrer au monde…Je suis perpétuellement insatisfaite de ce que je crée. Même si je pourrais dire que ‘Edge of Glory’ est une oeuvre d’art pop, lorsqu’elle sera terminée il y aura des choses que j’appréhenderai et à chaque fois que je l’écouterai, je les entendrai. »
Cela doit être déprimant, remarquons-nous, de savoir qu’on travaille si dur pour ne jamais être satisfait au final. « Dans l’interview de John Lennon à Playboy, il parlait du fait qu’il haïssait certaines de ses chansons, car il n’aimait pas la manière dont elles se terminaient. Ce sont mes chansons préférées, mais Lennon ne pouvait pas les écouter. »
Est-ce un problème que vous soyez si investie (dans votre travail) ?
Oui c’est un gros problème.
Un peu plus tôt, vous avez dit à Ellen Degeneres que vous vouliez un jour de repos puis vous avez dit ‘Gaga ne prend pas de jour de repos’… Quelle est la vérité ?
Je suis un peu fatiguée. Et ma famille me manque. Mais mes fans sont ma famille.
Est-ce que vous prenez du repos ?
Aujourd’hui c’est un jour de repos.
Mais vous avez enregistré une chanson, fait cette interview, fait une interview téléphonique pour un show télé, fait une photo, maintenant vous planifiez une performance dans un club et performez à une heure du matin.
Eh bien oui. Je me tue au travail. J’ai juste tant d’idées… Parfois c’est mieux pour moi de continuer à travailler.
NME demande , comme pour toutes les personnes qui travaillent trop, si elle ne court pas le risque d’une fatigue nerveuse, ou pire. Elle ne répond pas. Peut être que cela s’est déjà produit ? « Je ne sais pas si cela arrive » dit-elle. « Si cela arrive ? (Rires nerveux) Je ne crois pas qu’on puisse sortir un single et juste le regarder. »
Sur ce, nous partons pour le Krave pour le show. NME souffre du décalage horaire, est un peu bourré et fatigué par ces huit heures d’entrevues avec Lady Gaga, mais elle ne montre aucun signe de fatigue. La performance surprise, qui déclenche une panique mineure dans le club, apparait sur YouTube à peine terminée. Les vidéos de fans montrent une Gaga dans son élément : détendue, mais concentrée. Elle chante tout en live.
Le show de Vegas la nuit suivante – l’un des derniers de sa tournée de 200 dates du Monster Ball – est plus particulier. Lorsque NME avait assisté aux shows de Manchester et Londres, la foule était formée d’une panoplie agréablement dérangée de Petits Monstres habillés pour un grand soir – robes en viande, globes rotatifs, la totale. Ici à Vegas, personne n’est déguisé et le public semble totalement hétérosexuel. Cet environnement pourrait être de la Kryptonite pour Gaga, particulièrement lorsqu’elle débite son discours sur la libération (personne dans ce public ne semble avoir besoin de validation) et sur le fait que cela importe peu que vous n’ayez pas d’argent (l’argent ne semble pas être un problème ici). Mais le show fonctionne tout de même. La performance est époustouflante, les morceaux – ces hits internationaux plusieurs fois disques de platines – le son de la pop à l’ère digitale trouvent leur rythme.
Contrairement à cette ville dans laquelle nous sommes sortis, plus vous vous rapprochez de Gaga, plus elle fait réellement sens. On vous l’accorde, parfois elle dit n’importe quoi de manière si persuasive qu’on ne le remarque pas, mais d’autres fois ses paroles semblent ridicules à la première écoute mais s’avèrent totalement rationnelles. Elle semble parfois tout contrôler, puis être perdue ; sa force de caractère est stupéfiante, tout comme la facilité avec laquelle une légère critique peut la faire dégringoler dans la morosité et l’introspection. Elle déteste qu’on la questionne sur son intégrité, mais accepte que ce soit un mal nécessaire. « A la minute où les gens arrêteront de me pointer du doigt, » admet-elle « ce sera la minute où je ne suis plus intéressante. » Elle a un esprit aiguisé pour le business, mais son dévouement envers ses fans semble bien réel. Peut être que la plus grande contradiction au sein de la Haus of Gaga, c’est qu’elle sera prise plus au sérieux lorsqu’elle même se prendra moins au sérieux.
Totalement déroulante mais tout aussi fascinante, Gaga continuera à gêner les critiques autant qu’elle inspire de la dévotion à ses fans, mais si la pop ou le rock – ou quelque soit le nom que vous donnez au bruit qu’elle fait – désigne donner un sens à ce que vous faites, le ressentir, le vivre, être préparé à mourir pour son art, alors elle est aussi réelle que possible.
« Si vous regardez chaque interview, chaque apparition à la télé, chaque performance de ma vie, elles sont dévouées à qui je suis », déclare-t-elle, « Dévouée à mon identité, dévouée à mon art. Et si ce n’est pas du putain d’art, je ne sais pas ce que c’est. Fin de la citation. »
© Traduction par Gagavision.net
Elle est extrêmement sure d’elle et franchement on peut sentir à quel point elle est gavée de voir comment les gens la jugent, de devoir se justifier. C’est là où on se dit que les gens prennent vraiment ce genre de choses trop au sérieux. Si elle dit et affirme qu’elle est elle-même je ne vois pas pourquoi les gens s’embettent à vouloir prouver qqchose qui n’existe pas. Je sais que Gaga est une personne qui a confiance en elle et qui est très ambicieuse, peut-être trop, mais sans chercher à la défendre, je la comprends quand même. C’est la première fois que je la vois comme ça, craquer et ça fait tout drôle.
Et pour le problème BTW/Express Yourself, je savais, elle n’en a jamais parlé, mais je savais que ça l’avait vraiment blesser. Et honnêtement ça me fait un peu mal au coeur de lire ça maintenant. Entre ça, et l’histoire de l’email de Madonna. Fin je comprends les critiques, parce que oui, ça y ressemble. Mais pas au point de l’insulter et de lui foutre une histoire de plagiat sur le dos, alors qu’il n’y en a aucun. Surtout qu’elle n’a pas tort, mises côte à côte, les deux chansons n’ont rien de bien similaire. Malheureusement je pense qu’elle va trainer cette comparaison jusqu’à ce que les gens la lâchent avec ça.
C’est bête a dire mais j’avais les larmes aux yeux….
J’espère qu’un jour les gens se rendront compte a quel point elle est unique et qu’on arrêtera de parler d’elle comme une imposture, elle ne le merite pas.
Quelle interview !
Par contre,il y a une incohérence dans le passage « Traduction de la première partie de l’introduction », je cite : « A vrai dire, ce serait des explications faciles. Les chances que Lady Gaga soit comme ça sont d’un million sur une. »,ce qui est incohérent avec le résumé de l’introduction.
Vivement le mois de moi et ses actualités Gagatesques !
J’ai fait une faute de « frappe », en effet c’est bien « une chance sur un million » ;)
Corrigé ^^
J’ai trop kiffé cette interview , c’est vrai que souvent les gens qui font les intervews sont pas très simpas , mais elle a eu raison de leur mettre les points sur les » i » et leur dire qui elle était vraiment et ce qu’elle fait vraiment et comment elle le fait . elle leur a bien fermé leurs bouche , et c’est bien ma Gaga ! je suis fier que tu te laisse pas arrêter par des c*ns comme eux !
a props de la photo , ce qu’elle porte c’est la même « combinaison » que dans Born This Way (clip) a part que dans le clip elle est blanche.
Cette itv me choque, je trouve ce magasine plutôt « méchant » ! Et GaGa a tellement était touché par la polémique de Born This Way, je suis sur que sa a du être pire avec la pochette de l’album
Ça faisait longtemps qu’on avait pas eu un interview digne d’intérêt, qui pose de bonnes questions! : )
je les ai trouver mechant avec elle mais elle a de la replique et j aime sa!!
personnellement j aurais ete a sa place j aurais arreter l interview vus comment ils parlaient non mais lol !!!
et elle a totallemnt raison sur le passage du piano quand j ai ete au MBT j ai pleurer sur You And I ^^
C’est son ami styliste Nicola Formichetti qui a habillé Lady GaGa.
C’est Mugler alors son habillement ?
C’est Astuko Kudo :)
Ah ok, oui je reconnais maintenant !
J’adore ce styliste :)
Ouff qu’elle interview. Sa fait longtemps qu’ont en a pas vue des comme ça :O.
Est le magazine n’y va pas de main morte quand il lui parle. Je suis content que Gaga se sois défendu.
Le début de l’interview aurait été interressant à voir en vidéo ^^. Elle a bien fait de les envoyer bouler! Sinon ca fait bizarre qu’elle craque comme ca, mais c’est compréhensible, vu les remarques des journalistes!
J’ai l’impression que l’article n’est pas fini sur le dernier scan…
Je crois aussi que le dernier scan est la suite de la traduction. Vous pouvez dire où vous avez eu l’article en entier, plz!
Sur des sites
Wow…ça c’est une interview…XD
Hm, notre pauvre Mother Monster…elle doit se battre pour se faire comprendre…
(c’est vrai qu’ils sont assez salauds avec leur questions ces boulets-là –‘) Mais bon, elle est ce qu’elle est, et elle se défends avec une p***** de classe, elle est géniale =3
Levons nos verre à cette ARTISTE courageuse ! <3
Si y’a une chose que je reconnait à cette interview c’est déjà d’avoir posé des questions qui sortent de l’ordinaire, mais aussi d’avoir eu les couilles de poser celles qui fâchent. Souvent les interviewers n’osent pas allés très loin de peur de se faire virer par Gaga (certains se sont déjà fais sortir en pleine interview pour avoir prononcé « Madonna » , mais en même temps ça leur était dit d’entrée de jeu).
Par contre je n’aime pas du tout comment l’interview, qui au départ part plutôt bien, devient de plus en plus agressive, et chose annoncé dès le départ (« pour chercher quelques réponses et… la faire pleurer. »), cherche volontairement à être de plus en plus acerbe et virulente affin de faire vaciller Gaga au point de la faire pleurer. Ils savent qu’elle est super fatiguée à cause de sa vie de dingue, qu’elle doit au quotidien subir et gérer une pression d’enfer, et ils profitent de cette fin de journée où elle doit plus être très fraiche, pour lui envoyé leur burst.
Ce magasine doit être sacrement important pour qu’elle ne les aient pas virer. On peut tout à fait vouloir faire une interview « hardcore » mais sans pour autant chercher comme ça à faire flancher la personne pour récolter une larme en guise de trophée !
surtout qu’elle doit se justifier sur des choses qui ne sont pas arrivées (plagiat) ou qui n’existent pas (tout faire pour la persuader qu’elle ne montre pas qui elle est). moi je trouve plutôt que c’est des sujets ‘ordinaires’ pour Gaga, surtout le côté: ‘montrez-nous la vraie Gaga’. c’est juste que là ils ont foncé tête baissée dans un seul objectif, que tu as dis d’ailleurs. je n’aime pas cette interview pour ça. certes ils n’en pensent pas moins que ‘les chances que Lady Gaga soit comme ça sont d’une sur un million’. Et ils ont raison, l’interview termine sur du très positif au final; mais chercher à la faire craquer c’est pas vraiment juste non plus.
merci pour la traduction !
Interview assez particulière en effet, commençant par des questions assez peu courantes mais qui a vite tourné au procès vis-à-vis des commentaires et remarques acerbes des journalistes.Je trouve assez navrant le fait d’avoir cherché par tous les points à destabiliser Gaga en l’attaquant sur tous les fronts. Enfin , disons qu’elle s’est quand même pas mal défendue même si j’avais peine pour elle
Géniale l’interview, je doit dire que Gaga n’était pas dans un de ses meilleur jour non ???Parce que j’ai pas compris pourquoi elle a pleurer.
Et….es qu’elle a un problème avec le « mots » P*tin ??? parce qu’elle le dit quand même 11 fois dans l’interview lol
Mais sinon bravo a Mother Monster, elle a quand même gérée.
C’est une Interview très particulière ^^ Met bon Je comprend GaGa a toujours a se justifier sa doit être usant !! Le Pire c’est que elle voulait vraiment implanter des implant pour de vrai OMG met bon son copain la bien recadrée ^^
Oui, c’est une interview particulière, en effet. Je suis choqué d’apprendre qu’elle voulait se mettre des vrais implants !
Apparemment elle se serait excusé apres cette interview, j’ai trouvé ca sur plurielles.fr :
« Je considère que cela fait partie de mon travail et de ma musique de pousser l’amour et l’acceptation jusqu’à leurs limites. Je présente mes excuses pour ne pas avoir parlé de façon réfléchie. Pour tous ceux qui se sont senti blessés, s’il vous plaît, sachez que c’était furieusement involontaire, » a-t-elle déclaré cette fois. Une belle leçon d’humilité qui plaira à tout le monde…
Merci pour cette deuxième partie :)
Au moin l’interview se finit en beauté.
L’intervieweur est beaucoup plus respectueux dans cette deuxième que la première je trouve.
L’interview au complet était très intéressante et très différente que celle qui apparaisse tout les jours ou elle se fait poser toujours les même questions.
Elle va se faire un piercing au doigt ? :o
Je pense qu’il s’agit d’un piercing à un ongle ;) A confirmer bientôt :)
Je pense que il voulait dire que c’est elle qui a fait leaké Judas, crevez l’abcés, envoi moi je le vois comme ca.
Cette interview me retourne, sérieusement. Je les trouve vraiment vicieux . On sent reelement une gradation dans les questions, ils ont cherché a la mettre en confiance pour ensuite mettre en oeuvre leur stratagème. Certes les questions sont pertinentes, mais je ne comprends pas qu’ils ne se mettent pas a sa place une seconde. Lady gaga a su garder la tête haute et prouver son humanité. Ce n’est pas une simple fabrication commerciale, elle a du coeur, des sentiments forts et des passions qui sont bien mises en avant. Ce qui est formidable c’est que a mon sens en tant que fan nous avons une relation privilégiée avec elle. Je pense qu’on creuse ce quelle nous propose, on décrypte et on boit ses paroles et ses symboles puissant quelle nous propose. Cette femme est un phénomène culturelle qu’on apprécie vraiment quand on se donne la peine d’analyser ce quelle nous offre, au delà de l’aspect marketing ect.
En effet la deuxième partie de l’interview est beaucoup plus sympathique envers Gaga, mais sans pour autant virer des les questions bateau.
Mais nien qu’elle dise se montrer la plus honnête et franche possible, y’a quant même des sujets qu’elle next à peine ils arrivent sur la table. Je pense en particulier au moment ou l’interviewer lui parle de surmenage, voir de problèmes plus graves. Là aussitôt elle se ferme, alors qu’on sais tous qu’elle a fait, et ce surtout durant une période, toute une série de malaises et de rapides séjours à l’hôpital. Les moments où elle s’est retrouvé à terre, ben pour elle ça a l’air d’être au tabou que sa vie sentimentale.
* aussi tabou
C’est normal qu’elle ne parle pas forcément de ces choses là… Si j’étais elle j’aimerai aussi qu’on respecte ma vie privée, elle a pas forcément envie de parler de maladie et tout le tralala ^^.
Waouh. Eh bien il ne me semble pas avoir déjà lu une itw de Gaga semblable à celle ci ! En effet, c’est assez intéressant. Elle parait plus vulnérable mais en même temps plus sûre d’elle même et tellement plus dingue. Oui, elle a vraiment l’air « bouffée » par son art. C’est fou. On dirait vraiment qu’elle est dingue, mais tellement géniale en même temps. C’est peut-être ce qui la rend génial aussi, sa folie.
C’est exactement ce dont je me suis rendu compte, sans sa folie elle ne serait pas au niveau où elle est, inconsciemment c’est ça qui nous plait chez elle, son grain de folie qui parfois nous amuse ou va jusqu’à nous déranger.