Comme chaque albums, ARTPOP en vient lui aussi à son lot de critiques de la part des professionnels de la musique et journalistes. Voici un article, qui sera mis à jour au fur et à mesure, pour regrouper les avis autour du dernier album de Lady Gaga:
Critiques Francophones
Afficher le spoiler: Le Parisien | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Pas fana du nouveau Gaga Sa pochette est censée annoncer la couleur. Un feu d’artifice sonore, de l’art et de la pop. Avec « Artpop », le nouvel album de Lady Gaga qui sort aujourd’hui, on est loin du compte. Pourtant, le disque commence fort avec « Aura », explosif cocktail de guitares hispanisantes et de boucles synthétiques. « Veux-tu me voir nue […] veux-tu voir la fille derrière l’aura ? » Ici, la star américaine est censée avancer à découvert et le montre. Dans le livret, pas une seule photo de Lady Gaga habillée, mais des clichés d’elle nue de face, une boule bleue entre les jambes tout de même, de dos, les fesses au premier plan. Cela doit donc être ça le « Artpop » du titre? Pourtant, les poses relèvent de l’érotisme plus vulgaire que branché. Alors autant se concentrer sur la musique. Passé ce premier titre formidable, Lady Gaga déroule trop souvent une dance datée voire surannée comme l’affreux « Venus », des productions entendus mille fois à l’image de ce quelconque « G.U.Y » voire pompées chez ses concurrentes, tels ce refrain de « Sexxx Dreams », tout droit sorti d’un disque de Kylie Minogue, et « Donatella » de l’époque « Music » de Madonna. Deux titres avec Madeon C’est là que le bât blesse quand la comparaison se dessine avec les autres pop stars du moment. A côté de la malice d’une Katy Perry ou de l’efficacité d’une Rihanna, Lady Gaga semble à la traîne, courant après une couronne qu’elle a perdue, à négliger le fond au profit de la forme. Difficile de se passionner pour les guitares faussement rock de « Manicure » ou les mélodies insipides d’« Art Pop » et « Fashion » Heureusement, Lady Gaga a quelques sursauts quand elle va chercher à la rescousse les rappeurs T. I. et Twista le temps du décoiffant « Jewels N’Drugs », R. Kelly pour le redoutable « Do What U Want ». Il se passe enfin quelque chose, comme lorsqu’elle se frotte au petit prodige français Madeon, qui l’emmène sur son terrain de jeu, ses sons électroniques moins attendus et réalise avec elle « Mary Jane Holland » et « Gypsy ». Mais ça ne suffit pas à faire d’« Artpop » le grand disque qu’aurait aimé nous vendre Lady Gaga. « Je vis pour les applaudissements », répète-t-elle dans son single, réussi lui, « Applause ». Cette fois, elle pourrait en manquer. Source |
Afficher le spoiler: Le plus Nouvel Obs - Partie 1 | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Artpop de Lady Gaga : un nouvel album décevant, mais pas si mauvais Le voilà enfin. Le nouvel album de Lady Gaga est disponible depuis lundi. Après une attente d’environ deux ans et un teasing sans précédent, les fans étaient plus qu’impatients ; même si, pour beaucoup, cet album n’est plus une surprise puisqu’il avait fuité sur le net il y a quelques jours déjà. À coup d’apparitions, plutôt mesurées et contrôlées, quand on se souvient de ses frasques passées… c’est tout de même en grande pompe, au cours de son « ArtRave party », dimanche soir à New York, que Lady Gaga a lancé « officiellement » son nouvel album. Donc, en attendant son concert spatial, autre annonce faite par la star, la semaine dernière, vous pouvez toujours écouter « Artpop » (numéro un des ventes un peu partout dans le monde à sa sortie), confortablement installés dans votre fauteuil, ou plutôt irrésistiblement attirés sur le dancefloor. À la première écoute… c’est plus qu’un doute qui m’a envahi… une vraie déception. Tout ça pour ça ? Juste ça ? Loin de la « révolution Artpop » promise et attendue. Et oui… plus on attend, plus on espère. Mais visiblement comme le soufflet, plus on attend plus l’effet escompté retombe. Mais finalement c’est pas si mal. Just dance On connaissait déjà tous « Applause », le premier single tiré de l’album. Et même si celui-ci avait déjà pu légèrement décevoir certains, au final, il n’est pas si mal, comparé au reste. Efficace, dynamique, entêtant… on en demande pas beaucoup plus. Et une chose est sûre, les dancefloor s’en régalent déjà (et jusqu’en Chine, je vous assure!). Il en est de même pour son « Do what you want » en featuring avec R. Kelly ou encore « Venus » qui ne s’en sortent pas si mal. Le tout est, dans tous les cas, très (trop) électro, bien moins pop qu’ont pu l’être les précédents albums. En somme ce n’est peut-être pas la musique que l’on a envie d’entendre sur un disque, mais pour sûr, vous prendrez plaisir à bouger dessus en boîte de nuit. Mis à part les trois premiers singles, vous pourrez aussi apprécier « G.U.Y. », « Manicure », éventuellement « Donatella » ou dans un autre genre « Artpop » qui restent des titres tout à fait agréables à écouter. Ni très originaux, ni très excitants, ils n’en demeurent pas moins efficaces. Titres inutiles Certain titres sont pour moi tout à fait inutiles. À commencer par « Mary Jane Holland ». C’est probablement le plus inodore, incolore et indolore de tous les titres de l’album. Je ne comprends toujours pas ce qu’il fait là, mais qu’importe. Je me serais également plus que passé du « Jewels n’ drugs ». Bien trop rap. Pas grand chose à voir avec l’univers Gaga. Je zappe à tous les coups. Celui-ci n’est pas inutile ; il est insupportable. « Fashion » vient allonger à la liste de titres « en trop ». Aussi lent que monotone. J’ajouterais également « Sexxx Dreams », un peu mou, trop « déjà vu »… pfiou! Les coups de cœur Ce n’est pas pour autant que l’album dans son entier est mauvais. Au contraire, on y trouve aussi de très bons morceaux, essentiellement dans la deuxième partie de l’album. À vrai dire, trois titres tirent, pour moi, leur épingle du jeu, et de loin. En haut du podium c’est très clairement « Dope » qui se dégage. C’est l’Ovni de l’album. La Gaga qu’on aime, celle que l’on voit lors de ses performances vocales en live. C’est un des rares titres où l’on peut entendre sa voix et l’apprécier. Ouf ! Ensuite, il y a « Swine », pour le moins électro, mais différent, surprenant et « So Gaga ». On adore. Un doux mélange de voix et d’effets sur un rythme clairement travaillé, et extrêmement prenant. Voilà qui vient relever un tout un peu plat. Pour compléter le podium, « Gypsy » vient définitivement vous faire bouger. Un incontournable. Un rythme au top, une voix parfaite, tout Gaga est là. Et enfin, le titre « Aura » reste pour moi une bonne surprise. Il a un « je ne sais quoi », un savant mélange de modernité, et de nostalgie, de paroles simples et de rythme plus complexes… une réussite tout simplement. Voilà donc ce que nous propose La « mother monster » avec son nouvel album. Je ne sais pas vous, mais personnellement, j’attends avec impatience la sortie de son album « jazz » avec Tony Bennett, prévu pour le 1er janvier (?). J’espère enfin pouvoir ENTENDRE Lady Gaga chanter. PS : Je regrette déjà l’absence, sur cet album, du sublime « Princess die », qu’elle avait chanté lors de plusieurs de ses concerts, et qui n’avait pas manqué de me donner les frissons que j’espérais et qui manquent à cet opus. Source |
Afficher le spoiler: Le plus Nouvel Obs - Partie 2 | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Un album inégal mais bien plus convaincant que Born this way Attention, clignotants au rouge. Après un fracassant premier album et un second en forme d’autoroute vers l’ennui, Gaga Germanotta joue son va-tout avec « Artpop », troisième opus qui confirmera ou infirmera son statut de reine pop, convoité par Katy Perry et quelques autres aspirantes. Le premier single lâché sur les internets, « Applause », manquait cruellement de peps, de surprise, d’originalité. Les coquilles Saint-Jacques sur les seins dans la vidéo, OK, mais c’était un peu court après le costume en steak. En ce qui concernait le son, on était plutôt en mode rincé, répétition de ce que la diva électronica avait déjà offert sur ses précédents singles. Bref, avantage à « Roar » de Katy Perry sur ce coup-là, avec son clip exotico-kitsch coloré comme un bonbon. Cette fois, c’est l’album. Le troisième donc, celui de la dernière chance dans un monde pop où tout va trop vite, où une star est déclassée après son premier faux pas, où un buzz chasse l’autre à la vitesse d’Usain Bolt. Une ouverture d’album inquiétante Ça commence avec une guitare acoustique flamenca. Gagacoustique ? Non, une voix trafiquée enchaîne, puis une variation sur le thème de Carmen et un beat musclé accompagné d’une basse synthétique. « Veux-tu me voir nue, mon amant ? Veux-tu voir la femme qui vit derrière l’aura ? » Les thèmes classiques de Gaga, et une ouverture d’album inquiétante : la chanson n’est pas désagréable, mais on est loin du tube. L’avoir choisi pour démarrer l’album augure mal de la suite. Poursuivons l’exploration. « Venus » multiplie les références à Aphrodite (le nom grec de Vénus), la déesse de l’amour, sur un beat plutôt original, plein de fractures et de changements de tempo. Neptune, le dieu de la mer, est également invoqué. Le sample du « Rocket #9 », de Zombie Zombie, duo français composé de Neman (batteur de Herman Düne) et Etienne Jaumet (saxophoniste et collectionneur de synthés vintage) est bien exploité. On n’est pas dans le hit évident façon « Poker Face », mais dans du Gaga bien frappé. « G. U. Y. (Girl Under You) » reprend la référence à Aphrodite via son fils Himeros, mais la musique est hélas moins aventureuse. « Sexxx Dreams » sent le remplissage, « Jewels & Drugs » marque la première grosse collaboration de l’album avec trois rappeurs de poids : Twista le MC supersonique, T. I. le guest de « Blurred Lines » et Too $hort la légende d’Oakland. Instrumental trap music (on dirait du Therapy et on attend – en vain évidemment – le feat de Booba), mélodie soft du refrain clamant le désir pour la drogue plutôt que pour les bijoux, la drogue en question étant, comme on le sait depuis Roxy Music, l’amour (et Lady en veut plus, encore). « Do What U Want », le clou de l’album « MANiCURE » tourne autour d’un riff de guitare un rien vulgaire mais conçu pour la scène, visiblement. Le clou de l’album arrive en septième position : « Do What U Want », duo avec R. Kelly, est une vraie réussite, sexe et grand public, parfaite combinaison entre deux artistes partageant un goût prononcé pour l’amour charnel dans leurs lyrics. Des paroles bien matérialistes pour le R. (« Tom Ford, private flights/Crazy schedule, fast life »), un refrain self service pour Lady G. (« Fais ce que tu veux avec mon corps, tu ne peux pas bloquer ma voix car ma vie ne t’appartient pas, mais utilise mon corps »). Beau duo entre la Marilyn de l’Artpop et le président du R&B. La suite ? Beaucoup de pop synthétique, une ode à Donatella Versace (« Donatella », avec la rime « boulangerie » en français dans le texte), une chanson à tiroirs sur la marijuana, « Mary Jane Holland » (rappelons que Gaga s’était déguisée en Cannabis Queen pour la fête d’Halloween en 2012)… Et « Dope », balade au piano sur l’addiction à un amant dont elle a plus besoin que de la drogue. Belle performance, des vocaux dénudés et une ambiance dramatique qui sied bien à la Germanotta. Produit, ou plutôt « réduit » par Rick Rubin » pourrait-on dire, tant le rap mogul a laissé à Gaga l’espace vide pour plus d’émotion, sans fioritures ni arrangements pesants. Retour à du 4×4 efficace avec « Gypsy », single à venir c’est certain, pumping beat et break puissant, le tout soutenu par une jolie mélodie. Appréciation globale : un album inégal mais bien plus convaincant que son second opus « Born This Way », bâclé et peu inspiré. Reste une question dans ce monde pop où seul compte le chiffre : carton planétaire ou échec commercial reléguant la reine déchue aux oubliettes de l’histoire de l’art pop ? Car on le sait bien, hélas, seuls les chiffres de vente seront pris en compte par la foule capricieuse et les médias avides de turnover. C’est le prix à payer pour les pop stars. Source |
Afficher le spoiler: Metro News | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– ARTPOP, et la musique dans tout ça ? Lady Gaga ou l’art du storytelling permanent. Pas un jour ne passe sans que la chanteuse américaine invente une nouvelle raison de faire parler d’elle. Un nouveau look, une confession intime dans un magazine, un strip-tease intégral dans une boite gay, une séance de « relaxation » naturiste en forêt, ses fesses dans un string à fleurs sur une pochette de single…. Fin octobre, Stefanie Germanotta sortait dans les rues de Londres, tout de noir vêtue, histoire de faire le deuil de son chien… avant de réapparaître quelques jours plus tard à New York en arborant un dentier spécial Halloween. Puis d’annoncer un prochain concert dans l’espace. Et la musique dans tout ça ? Avec ARTPOP, Gaga fait sa rentrée après toutes les autres stars de sa catégorie, sinon Britney Spears qui fait patienter ses fans encore une semaine. Avant elles, les Katy Perry, Justin Timberlake et autres Miley Cyrus ont pris d’assaut les charts avec des disques efficaces mais sans surprise, reproduisant à peu de chose près la formule de leur succès précédent. On aimerait dire autre chose de la diva new-yorkaise qui fraye avec les vedettes de l’art contemporain, de Jeff Koons à Marina Abramovic. Hélas, ou heureusement, Lady Gaga fait du Lady Gaga. Pour le meilleur et pour le pire. Un dancefloor futuriste tendance psychédélique Le meilleur d’abord. ARTPOP est un disque idéal pour faire son jogging. Ou de la gym en salle. Sans rire. Comme ses prédécesseurs, c’est un condensé d’électro-pop survoltée : rythmiques martiales, refrains scandés, gimmicks sonores entêtants. Au bout d’une heure sous le casque, l’auditeur ressort essoré, un peu étourdi, voire assourdi. Dans ses meilleurs moments, Lady Gaga est la reine d’un dancefloor futuriste tendance psychédélique. Difficile de résister à des pépites rugissantes comme « G.U.Y. », « Artpop » ou « Swine » et son break hardcore infernal. Le reste du temps, on frise l’auto-parodie sur des tubes calibrés comme « Venus », « Do Want You Want », « Gypsy » ou « Applause », tellement familiers qu’on croirait entendre des chutes de moquettes de Born this Way, à peine rehaussées par une production rutilante, à faire rougir un vendeur de chaînes stéréo dernier cri. Reste la botte secrète de la Miss : la sincérité. Sur « Dope », LA ballade de l’album, Gaga chante toute seule derrière son piano, accompagnée de légers bruitages synthétiques. On l’entend respirer, crier, pleurer. C’est simple, beau, sans prétention. A quand l’album acoustique ? Source |
Afficher le spoiler: France Info | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Lady Gaga : un 4ème album, celui de l’indigestion ? NOTRE AVIS | La « reine de la pop » sort ce lundi l’album Artpop. Une couverture où on voit la chanteuse nue façon statue antique, des vocalises au vocodeur, des textes sur le sexe, la drogue, la mode… Lady Gaga fait du Lady Gaga pour la quatrième fois en musique. Elle veut de « l’Art dans sa pop ». Mais le mélange est-il savoureux ? Son nom est plus souvent dans la rubrique people, et pourtant Lady Gaga fait encore de la musique. Son quatrième album sort ce lundi. Artpop a le projet très ambitieux, selon la chanteuse, de « mettre de l’art dans sa pop ». Et tant pis pour l’excès, chez Gaga, tout est bon pour exister : truster les réseaux sociaux, porter des robes à base de morceaux de viande, annoncer un concert dans l’espace ou montrer ses fesses sur les extraits YouTube de son nouvel album. Cette fois, l’ovni new-yorkais crédibilise même son escalade dans le kitsch, en embauchant Jeffs Koons, pape de l’art provoc’ qui génère du dollar. Il a réalisé les photos du disque façon nu de l’antiquité, mais en plastique et qui fait mal aux yeux. Les fans adorent. Selon le site Melty, l’album Artpop est arrivé lundi en tête des ventes de l’iTunes Store en quelques heures. Alors Lady Gaga fait-elle encore de la musique ? Oui, et c’est à peu près la même qu’avant, des vocalises au vocodeur sur fond de dance entendue 100 fois. Ce qui avait fait son succès au MTV Europe Musci Awards en 2011. Elle parle comme d’habitude de mode, de célébrité, de sexe et de drogue, au contenu explicite, comme dit l’étiquette, mais pas de quoi non plus crier au scandale. Ce qui est peut-être un souci. Rien, dans Artpop, ne fait soulever un sourcil, ni les images, ni la musique, qui pourrait être la bande son d’un film ringard sur une star de la pop. Au final, Lady Gaga a peut-être inventé la musique de son époque, celle pour sonnerie de téléphone portable, qui s’écoute trois secondes, pas plus. Source |
Afficher le spoiler: DH BE | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Le dernier Lady Gaga: de l’art et de la pop? Pas vraiment… Ça y est, le 4e album de Lady Gaga, ARTPOP, est dans les bacs. Au final, beaucoup de foin pour quoi ? Les temps sont plutôt cléments pour ceux dont les oreilles frétillent à la simple évocation du terme popstar. Il y a quelques semaines, Katy Perry publiait son nouvel opus, Prism. Aujourd’hui, c’est Lady Gaga qui offre à la planète – en attendant la galaxie, puisqu’elle planifie, effet Gravity oblige, de se produire dans l’espace – son nouvel album, le quatrième, ARTPOP. Avant le retour programmé, début décembre, de la princesse Britney Spears. Quand on est donc une artiste pop d’aujourd’hui, il faut batailler dur pour évidemment mériter sa place au firmament, mais avant tout pour simplement attirer à soi quelques spotlights. À ce deuxième jeu, Lady Gaga n’a rien à envier à la concurrence. Seule la petite Miley Cyrus lui fait de l’ombre. Mais l’excentricité et le buzz en matière musicale n’ont jamais permis de solidifier les bases d’une longue carrière. Si Madonna n’avait été qu’une éternelle fausse vierge agrippée à sa croix, son histoire se serait arrêtée là. Lady Gaga, qui s’est depuis mis la Madone à dos à force de copycat, n’a visiblement pas retenu cette leçon-là. La reine autoproclamée d’une nouvelle pop – elle est en ce sens aussi influencée par le king égocentrique du hip-hop Kanye West – intitule son nouvel album ARTPOP. Un choix audacieux (et en lettres capitales !), guidé par une pochette réalisée par l’artiste Jeff Koons. Et c’est à peu près tout ce qu’on trouve en relation avec ce terme qui, pour Lady Gaga, exprime son envie de faire « l’inverse de Warhol […], c’est-à-dire mettre de l’art dans la boîte de soupe ». Ce qu’on entend, souvent, tout au long de cet ARTPOP, c’est justement de la soupe recouverte de sons techno (Aura), gangsta (Jewels N’Drugs), peu inventifs (Donatella) ou parfois venus du siècle dernier (sa sempiternelle influence madonesque des années 80). Et notre déception est encore plus grande quand on se rappelle tout le potentiel de Stefani Germanotta démontré sur ses deux premiers albums, qui trouve ici quand même écho sur Dope (hormis les paroles) en piano-voix. Un titre comme on attendait de la Gaga. Talentueuse. La retrouvera-t-on un jour telle quelle ? Ses Little Monsters, eux, ne se posent pas la question. Ils adhèrent à son art, quel qu’il soit. Source |
Afficher le spoiler: Le Figaro | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
CRITIQUE – Pour notre spécialiste musique Olivier Nuc, le troisième album de la chanteuse américaine, publié hier à grand renfort de marketing, est pourtant un ramassis de morceaux banals et clinquants. Ceux qui ne savent pas que Lady Gaga a sorti son nouvel album hier ont sans doute passé un séjour prolongé dans l’espace. La chanteuse monopolise l’espace médiatique terrestre depuis de longues semaines. Alors que personne n’avait encore entendu une note de l’album Artpop, elle faisait l’événement de la rentrée. Ce troisième album de la star américaine est sorti, et le moins que l’on puisse en dire est qu’il ne tient pas ses promesses. Notamment celle qui vise à introduire en musique l’exigeance avec laquelle elle manie l’art de la mise en scène et la science du marketing -dans la pop. Le contenant -une pochette signée Jeff Koons – est à cet égard bien supérieur au contenant. Sur les quinze titres qui constituent cette superproduction, seuls deux bénéficient de mélodies réussies: le duo avec le chanteur de R&B R.Kelly () et le morceau-titre Art Pop. Une écoute particulièrement éprouvante L’écoute de la première moitié du disque est particulièrement éprouvante. Le son clinquant et ultra compressé n’aide pas à passer un bon moment. Les rythmiques sont frénétiques mais ne font preuve d’aucune originalité. On croit entendre de la dance-pop du genre de celle que l’on entend dans les magasins de vêtements bon marché, pas sur l’album d’une des plus grandes stars du moment. Les textes sont d’une bêtise abyssale. Lady Gaga y chante l’amour physique sans aucune sensualité, avec la vulgarité de ceux qui prétendent épater le bourgeois alors qu’ils ne livrent rien de dérangeant. Juste de l’ennui. À côté, les tubes de Madonna «sonnent comme du Schubert» Lady Gaga est grotesque dans le rôle de déesse du sexe dont elle s’est affublée. On a l’impression de déambuler dans les couloirs d’un peep show tout à fait ordinaire, dont elle serait la cynique et grossière tenancière. La deuxième moitié de l’album est moins ridicule, mais qui aura eu l’endurance de tenir jusque là pour entendre des morceaux d’une confondante banalité. Des chansons «à côté desquelles les tubes de Madonna sonnent comme des pièces de Schubert», pour reprendre le bon mot du chanteur canadien Rufus Wainwright. Source |
Afficher le spoiler: Chart In France | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
« ARTPOP » : Lady Gaga agace, inspire, frustre et fascine sur son nouvel album « ARTPOP » est sans conteste l’un des albums les plus attendus de l’année. Troisième album de Lady Gaga emmené par les singles »Applause » et »Do What You Want », il voit la chanteuse collaborer avec une nouvelle équipe sur des titres souvent trop produits, tandis que RedOne, David Guetta et will.i.am font chacun une petite apparition. « My artpop could mean anything », annonce fièrement Lady Gaga sur la plage principale de son troisième album, « ARTPOP ». Une façon de se dédouaner face à ce projet qui semble dire tout et parfois son contraire, partir dans toutes les directions et surtout, parfois, trop loin. La créativité de Lady Gaga, sa prétention à faire plus que de la « simple » pop – la pop n’est pourtant jamais si simple – est l’une des plus grands forces de la chanteuse, et la rend plus intéressante et intrigante que ses petites camarades. Mais c’est aussi sa faiblesse. A trop vouloir en faire, Lady Gaga ne parvient que trop rarement à se canaliser. Comme sur « Born This Way », c’est son ambition qui gâche tout, même quand elle propose des choses géniales. Une production surchargée C’est aux petits nouveaux Nick Monson, Dino Zisis, Zedd et Madeon que la chanteuse a fait appel sur un album qui laisse au placard les influences rock de son prédécesseur pour retrouver le dancefloor. Mais, sans doute décidée à montrer qu’elle donne (toujours) le ton de ce qui est tendance en pop, la chanteuse tombe souvent dans l’excès. Nombreux sont les titres où les mélodies et les voix sont étouffées par des couches de synthés qu’on peine presque à distinguer. Dommage, parce que, plus d’une fois, Lady Gaga trouve une bribe de formule magique avant de perdre complètement le fil. « Do you wanna see the girl who lives behind the aura? », propose-t-elle par exemple sur « Aura », plage d’ouverture dont le pré-refrain est digne des meilleurs moments de « The Fame » et « Born This Way ». Dommage que la production surchargée signée Zedd et Infected Mushroom, pas aidée par une construction sans queue ni tête, fasse frôler le comique au produit fini. Même constat sur « Venus », où le refrain très accrocheur est plombé par des paroles où Gaga évoque Botticelli, les soutien-gorges en coquillages, et se permet une blague digne d’un collégien en évoquant Uranus (« Don’t you know my ass is famous? »). Produite par la star elle-même, une première, le titre sonne au final comme une démo qui mériterait de nombreux ajustements. La chanteuse redresse la barre sur les titres suivants, plus simples, plus efficaces et plus cohérents. « G.U.Y. » rappelle l’époque « The Fame Monster » et « Sexxx Dreams » permet à Lady Gaga de… s’amuser ! Dans un album où tout est si lourd au point d’être parfois fatigant, le changement d’atmosphère est plus que bienvenu. Un album frustrant, à l’image de son interprète Car quand elle lève le pied et n’essaie pas de sauver le monde, la pop et l’art à la fois, Lady Gaga est capable de frapper fort. « Do What U Want », deuxième single accidentel, est une réussite, et « Gypsy », sur lequel la chanteuse a eu la bonne idée de faire revenir RedOne, rappelle les meilleurs moments de « Born This Way » avec son refrain épique et sa production plus sage. Non pas qu’il faille être tout le temps sage. Quand elle s’emballe sur le déglingué « Swine », où elle évoque son dégoût pour un porc dans un corps d’homme, tous les synthés du monde semblent appropriés. Et « Artpop », plage principale de l’album, surprend et séduit par son côté calme, là où on attendait plus, voire trop. « Give it time, sometimes the simplest move is right » chante-t-elle, très à-propos, sur le titre. will.i.am et David Guetta viennent donner une couleur funk étonnante sur « Fashion! », pas plus mémorable que son hymne à Donatella Versace sur « Donatella », où les paroles frôlent parfois le ridicule. Et tant qu’on parle de ridicule, « Jewels n’ Drugs », où elle invite pas moins de trois rappeurs, n’est pas du tout à sa place. Pas franchement plus cohérente avec le projet, la ballade « Dope » est pourtant bien plus importante sur ce disque. Au piano, l’artiste chante sa dépendance au… public. « I need you more than dope », se lamente-t-elle ainsi, mettant en avant sa vulnérabilité à travers les fêlures de sa voix. De tout l’album, c’est sans doute la seule fois où Gaga donne vraiment à voir celle qui se cache derrière l’aura, derrière la burqa, préférant un jeu de mots risible sur un autre titre qui évoque la drogue, « Mary Jane Holland ». Et c’est seulement après tout ce méli-mélo de titres électro que débarque « Applause », premier single qui revient au tout début, « The Fame ». Pas forcément immédiat et sans doute déroutant pour le grand public, le titre reste pourtant l’un des points forts d’un album où Lady Gaga en donne souvent trop, et à la fois trop peu. Frustrant, agaçant, entêtant, impressionnant, décevant, brillant, dérangeant et étonnant, « ARTPOP » est tout à la fois, comme peut l’être l’art, la pop, et Lady Gaga elle-même, finalement. Source |
Critiques Américaines
Afficher le spoiler: Huffington Post | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
– Lady Gaga a besoin d’aide avec son dernier album La mission de l’art, particulièrement l’art moderne, est de provoquer – de présenter des concepts excentriques, d’explorer des idées non-traditionnelles, de mettre au défi les normes traditionnelles – et de vous laisser vous poser beaucoup de questions, de chercher des réponses. Si c’est le but du quatrième album de Lady Gaga, « Artpop », alors elle a déjà le succès dans ses mains. Cependant, si le but est de divertir, elle échoue, bien qu’au moins elle le fasse dans ses tenues spectaculaires typiques. « Mon artpop pourrait vouloir dire n’importe quoi, n’importe quoi. J’essaie de me vendre, mais en fait je ris car j’aime la musique et pas ce qui brille, » chante Gaga de sa voix presque monotone, soutenue par un rythme électro futuristique, sur la chanson-titre. C’est ici que se trouve le problème ultime : en dépit de ses buts ambitieux, l’album « Artpop » fini par être un artifice insipide, avec une Gaga se reposant sur des grooves dance familiers et des paroles absurdes qui pourraient être provocantes mais ne fédèrent que très peu. « Donatella » peint le portrait d’une mannequin narcissique, superficielle, avec des paroles comme « Je suis une (juron) riche, je suis de la classe supérieure… je fume des Malboro rouges et bois du champagne. » Il n’y a pas ici de narration, et bien que le groove électro soit plein d’énergie, la déconnexion avec les paroles le fait tomber à plat. « Jewels N Drugs » inclus T.I., Too Short et Twista, et les rappeurs sont la partie la plus intéressante de cette ode pseudo-gangsta à l’amour pour le commerce de drogue – ce qui en dit long. Ca sonne ridicule avec Gaga entonnant : « Bijoux et drogues, joue de l’arnaque, étouffes-les, si tu veux être mauvais, rien ne remplace la famille, nous savons comment faire de l’argent. » Clairement, Pusha T et Rick Ross ne subissent aucune compétition concernant le business de la drogue. « Sexxx Dreams » est un apparent fantasme entre filles qui est remarquablement anti-sexy grâce au flot sans imagination de Gaga : « Je pensais à toi, ça fait plus mal que je ne peux le dire, et c’était plutôt cochon, toute la nuit, et la manière dont tu me regardais, au secours. » Oui, du secours est définitivement nécessaire sur ce morceau (c’est comme si elle n’avait jamais écouté une chanson de Prince). R. Kelly lui apprend quelque chose sur le sexy (et de manière surprenante pas complètement grossièrement) lorsqu’il apparait sur l’un des quelques rayons de soleil de l’album : le groove mid-tempo « Do What You Want ». Mais de là, l’album dévie vers un nouveau faux-pas avec l’insultant « Swine ». Les quelques moments qui résonnent sont ceux où il semble que nous entendions quelque chose qui nous donne la véritable émotion de Gaga, ou Stefani Germanotta. Sur la balade mélancolique « Dope », Gaga prend son essor alors qu’elle admet ses échecs mais supplie pour une chance de plus de la part de celui qu’elle aime, chantant, « J’ai plus besoin de toi que de la drogue. » C’est puissant et touchant, et atteint véritablement le cœur. « Gypsy » est une autre chanson forte, où Gaga explique son amour pour la vie tourbillonnante en tournée à quelqu’un qui veut la voir de manière sédentaire. « Je ne veux pas être seule pour toujours mais je peux l’être ce soir, » chante-t-elle. Mais nous avons rarement ce genre de sentiment sincère. Au lieu de ça, « Artpop » exploite des thèmes familiers déjà entendus sur « Born This Way » et « The Fame », et cela sonne comme quelqu’un qui est collé au même niveau artistique – ironiquement, étant donné à quel point Gaga veut être vue comme une artiste. Au final, « Artpop » est une pièce de pop art qui échoue dans sa mission. Source |
Afficher le spoiler: Billboard - Note 84/100 | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
Voir l’article en version originale : Billboard Pendant que la plupart des artistes normaux se soucient profondément des détails de leur musique ainsi que la manière dont celle-ci sera présentée au monde, Lady Gaga est l’artiste travaillant le plus dans le milieu de la pop car elle veut être certaine que toutes les pièces de son travail évoluent et innovent. Son premier tube, « Just Dance », est une construction habile sur le fait d’être délirant et bourré tout en enchaînant une solide soirée; parce que c’est fait de manière électro-pop jam, cette intelligence était destinée à un grand public. Depuis, Gaga a fait tout ce qui était en son pouvoir pour changer la pop musique en un lieu de découvertes qui va au-delà de l’argent comptant, avec un audacieux choix vestimentaire, en passant d’une multiplication de lives, à des collaborations artistiques, à son engagement culturel allant bien plus loin que la transition d’un couplet à un refrain. Quand Gaga a voulu annoncer un mouvement social, elle a ciblé son premier single « Born This Way » sur les droits LGBT; quand elle a voulu affranchir les ignorants sur la magie de Jeff Koons, elle a embauché l’artiste de renommée mondiale pour créer une réplique nue de son personnage de « The Fame » pour la couverture de son dernier album. Bien entendu, il y a des moments où le simple plaisir d’un couplet et d’un refrain est suffisant pour satisfaire, mais Gaga a toujours voulu plus — et quand elle a trouvé le succès, elle a confirmé sa réussite comme jamais aucun artiste ne l’avait même sentie. « ARTPOP », le successeur de « Born This Way », demeure naturellement avec cette ambition profonde de vouloir repenser « l’album pop3 comme une entité, encore plus que l’a fait le dernier album de Lady Gaga. Ce n’est pas surprenant qu’ARTPOP soit combiné à une application interactive mixant musique, art, mode et technologie, puisque c’est précisément ce qu’ ARTPOP essaye de réaliser ; Gaga saisit les bibelots culturels comme jamais, et veut les synthétiser avec une déclaration hallucinante de 15 chansons. Quand Gaga équilibre ses conceptions lunaires avec une composition dynamique – lorsqu’elle mixe brillement l’art’ avec la ‘pop’, si vous voulez — les résultats sont souvent euphoriques. « Dope » et « Gypsy » sont d’irrésistibles récits de l’enfer et du paradis sur la seconde moitié de l’album, et lorsqu’à mi-chemin s’installent le séduisant « Sex Dreams », le turbulent « Jewels n’ Drugs », l’effervescent « MANiCURE » et le glissant « Do What U Want », c’est une longue expérience d’écoute qu’aucun fan de pop n’entendra cette année. Bien sûr, certaines des pistes les plus alambiquées bafouillent avant que Gaga ne puisse mener à bien sa vision, mais même les plus faibles moments d’ « ARTPOP » sont si minutieusement construits et ardemment imaginés qu’on ne peut s’empêcher d’admirer l’effort. Captant de manière cohérente le R&B, la techno, le disco et la musique rock en tant qu’artiste pop, tout en parlant de sexe, de drogues, de luxure, de Dieu, de succès et de créativité, Lady Gaga a offert à ce jour à ses fans son album le plus diversifié musicalement. « ARTPOP » est imparfait, tout comme l’est sa créatrice. C’est un album compliqué qui doit être applaudi (jeu de mot intentionnel) pour inspirer l’interprétation, tout en disant aux fans que c’est toujours bon de simplement danser. Quelles chansons d’ARTPOP sont nos préférées? Voici un résumé titre après titre du dernier album de Lady Gaga. 1 – Aura Deux ans après avoir donné le coup d’envoi de « Born This Way » avec l’inspirant « Marry The Night », Gaga commence « ARTPOP » avec un voile exotique, en rapprochant la culture musulmane aux pièges de son fameux style de vie. « La pop star énigmatique est marrante, elle porte une burqa pour la mode / Ce n’est pas tant une déclaration qu’un geste de passion, » crache Gaga dans une chanson qui positionne « ARTPOP » comme un album avec d’ambitieuses idées et des passages électroniques casse-cou. 2 – Venus Un mash-up d’astrologie, de mythologie romaine et de sexe, « Venus » est la première chanson produite par Gaga elle-même, et exploite un groove disco et gluant que la chanteuse exploite pleinement dans le pré-refrain cuivré. Le second single planifié d’ « ARTPOP », remplacé par « Do What U Want », « Venus » rate sa cible sur certaines de ses ambigüités (« Vous êtes hors de ce monde / de cette galaxie, de cet espace et de ce temps! » crie Gaga), et plus particulièrement sur l’outro intergalactique ; et encore, il est facile d’identifier la passion de Gaga pour le concept, et elle tente de faire de son mieux pour s’en tirer. 3 – G.U.Y. Après avoir décollé pour un paradis sensuel avec « Venus », Gaga revient sur Terre avec « GUY » (qui signifie « Girl Under You », « Fille au-dessous de toi »), une sirène dance frissonnante qui fait la distinction entre l’égalité des sexes et la soumission sexuelle volontaire. La production de Zedd met le feu aux poudres et fait fourmiller de provocations les paroles de Gaga, et le coup de poing du hook martèle le message pour créer le premier vrai morceau remarquable de « ARTPOP ». 4 – Sex Dreams Et c’est ici que la sexualité et les plaisirs des synthés pop de « ARTPOP » fleurissent pleinement: « Sex Dreams » dans lequel Gaga pose en équilibre une relation qui se désagrège et un fantasme lascif, et jongle même avec l’esthétique couleur pastel des années 80 et une analyse classée X de désirs non exprimés. A la conclusion «Je ne peux pas croire que je te dise ça … », Gaga semble libre et légère, laissant son public tournoyer sur la piste de danse. 5 – Jewels n’ Drugs (feat. T.I., Too $hort and Twista) La transition entre l’éblouissant « Sex Dreams » et T.I frappant sa poitrine au début de « Jewels n’ Drugs » est plus qu’un peu discordante, et le sommet hip hop assisté de Gaga existe dans son propre monde crasseux sur «ARTPOP». Bravo à Gaga pour avoir réfracté son dernier conte sur l’addiction à la célébrité à travers le prisme du hip-hop, et d’avoir touché un vétéran de classe mondiale comme Twista pour aider à faire le travail. 6. MANiCURE Un choix évident pour un futur single, l’entrainant « MANiCURE » offre tout ce qu’un fan de pop désirant un nouveau « Pokerface » peut vouloir. Avec un refrain qui est greffé dans le cerveau de l’auditeur après une seule écoute, les double-sens provenant des cris de « MAN! CURE! » et un arrangement coloré mis en évidence par une dépression de guitare funk, cette ode aux profits superficiels honore le haut plafond des hits de Gaga. 7 – Do What U Want Ce duo avec R. Kelly n’a jamais été censé être un single avant la sortie de « ARTPOP », mais le morceau sombrement éclairé de synthé-n-B a explosé lors de sa sortie, et les plans ont rapidement changé. L’aspect le plus surprenant de « Do What U Want » est que les gémissements de Gaga et la manière romantique de chanter de Kelly vont parfaitement ensemble – de la demande d’ouverture du micro du vétéran de la soul aux cris de Gaga à la fin de la chanson, le duo a conçu un plan spécifique pour leur collaboration théâtrale, et ils l’exécutent de manière efficace. 8. ARTPOP « Mon ARTPOP pourrait vouloir tout dire », chante Gaga sur la chanson-titre de l’album, en ajoutant plus tard « Viens à moi, sans tes sous-entendus et tes fantasmes. » Gaga est une artiste qui crée pour la création, et c’est son manifeste, mis en place par une bête electro-jazz qui devient de plus en plus sauvage à chaque seconde qui passe. 9. Swine Gaga transporte ses auditeurs dans un coin colérique de son esprit pour le morceau criant et industriel « Swine ». La chanteuse semble physiquement dégoutée alors qu’elle éjecte de sa vie un « animal », et les claviers hurlant concoctent un sens du chaos alors qu’elle peste contre le porc anonyme. « Swine » n’est pas aussi accessible ou intelligemment écrit que les autres morceaux d’ « ARTPOP », mais au fur et à mesure, il devient fascinant. 10. Donatella Emmenant les fans de pop en virée dans le monde de la mode et cadrant ses vues sur l’une des plus fortes figures de ce milieu, Gaga fait de « Donatella » un hymne pour les marginaux qui ont le droit de se sentir beaux. Contrairement à « G.U.Y. », le travail de production de Zedd n’hypnotise pas complétement ici, mais comme la chanson précédente d’ « ARTPOP », Gaga embrasse ostensiblement le concept avec sincérité. 11. Fashion! Peut-être le plus direct sur « ARTPOP », « Fashion! » est un retour au poing levé qui n’a pas peur de mettre en valeur sa théâtralité et d’exalter le processus « d’être beau et se sentir bien ». Un partenaire inoffensif à « Donatella » sur la liste des titres, « Fashion! » souligne une fois encore l’idée que l’impact de Gaga sur la culture s’étend bien au-delà du monde de la musique. 12. Mary Jane Holland Au-delà des références au cannabis et la concentration sur l’intensité des rythmes vrombissants qui les soulignent — « Mary Jane Holland » permet à Gaga de s’essayer à une mer de rythmes boueux, qui finissent par se retirer et flotter sur la confession « Je sais que maman et papa pensent je suis une épave / Mais ce n’est pas grave car je suis riche comme la pisse ». Cherchant des réponses sous la forme d’une nouvelle identité, la voix de Gaga survit assez longtemps pour durer plus longtemps que la tempête d’electro-dance music (EDM). 13. Dope « Mary Jane Holland » faisait allusion à la dépendance avec la phrase « je t’aime, je t’aime plus que … mon plus sombre péché», et sur l’excellent « Dope », les drogues équivalent à la seule chose dont Gaga a le plus besoin… autre que l’homme qui pourrait lui sauver la vie. La ballade est construite d’une manière qui rappelle un spectacle de Broadway, mais les sons électroniques pulsant sous les percussions basent aussi la chanson dans la pop contemporaine. Gaga semble cassée ici, et l’effet est blessant et brillant. 14. Gypsy Ce n’est pas grave si vous essayez de résister aux frissons qui descendent sur votre colonne vertébrale au cours de cet hymne épique à la navigation sur une route inconnue et aux instincts de confiance – sachez juste que c’est beaucoup plus amusant de se laisser aller et de vous lâcher. « Je ne veux pas être seule pour toujours… mais je peux l’être ce soir, » glisse Gaga dans le refrain de cette chanson, qui exploite la palette de rock classique de l’album « Born This Way » et prend de la confiance en allant vers la fin de la chanson. 15. Applause Gaga a dit qu’elle envisageait de jouer « ARTPOP » du début à la fin en concert, et si c’est le cas, le premier single « Applause » fera un rappel assez excitant. Les couplets sont encore un peu maladroits, mais le hook est encore plus dansant après avoir été digéré des douzaines de fois dans le Top 40 à la radio. Comme toujours, Gaga a tourné une idée ambitieuse en un jingle pour les masses. |
Afficher le spoiler: Rolling Stone | SelectionnerOuvrir> |
---|---|
Lady Gaga est au sommet lorsqu’elle joue la reine néon des marginaux du monde entier. Et à force d’une patience constante, ses Petits Monstres ont rempli le plus grand chapiteau de la pop moderne. Mais dans les cinq années depuis l’arrivée de Stefani Germanotta, bizarre est devenue la tendance qui a de manière écrasante nourrie la pop culture – des Tumblrs punk à American Horror Story. Alors pour que Gaga reste au top en 2013, elle doit continuer à faire fonctionner la machine folle. Pour le meilleur et pour le pire, Artpop accompli son mandat. C’est un album bizarre de musique disco marécageuse (avec une grosse poignée d’incursion dans le R&B), qui aspire à lier la galerie de la culture et le paradis des radios, en préférant les concepts aux refrains. C’est sexuel mais pas sexy, remplit de créateurs de mode méchants et de jeux de mots comme « Uranus / Don’t you know my ass is famous ? » et « Touch me, touch me, don’t be sweet / Love me, love me, please retweet. » Gaga veut nous faire croire que le disque a été inspiré par Marina Abramovic, Jeff Koons et Sandro Botticelli ; au meilleur de lui-même, il semble plutôt créativement réalisé par Ru Paul, Dr. Ruth, et Beavis et Butt-Head. Artpop s’ouvre avec quatre morceaux de lancinants sexe future / sons d’amour (NdT : jeu de mot sur l’album de Justin Timberlake : FutureSex/LoveSounds) où Gaga fait serment d’étaler ses intentions, et son corps, nus. Elle utilise l’humour malin d’une drag queen sur le voyage intergalactique « Venus », examine le sexe et le pouvoir dans le gotique « G.U.Y. » (qui signifie « girl under you », « fille en-dessous de toi », et courtise un(e) amant(e) dont « le petit-ami est absent ce weekend » sur le sexy « Sexxx Dreams ». Oui, nous pouvons lire son visage impassible. Mais juste quand Artpop entre dans le groove de la pop & B high-tech, ses impulsions créatives volent en éclat. Elle joue la fille qui lance le hook pour l’auto-parodique chanson gangsta « Jewels N’ Drugs » avec Too $hort, Twista et T.I. et plonge dans ses propres jeux de mots mièvres sur le glamour « MANiCURE ». « Dope », produite par Rick Rubin, est une balade pompeuse sur les pentes glissantes de la romance et des drogues qui cherche du côté d’Elton John et s’écrase au sol à côté de Meat Loaf. Les précédents albums de Gaga – l’électro-pop de 2008 The Fame et sa suite brillante The Fame Monster, et l’inventif et nostalgique Born This Way de 2011 – étaient largement le résultat d’un partenariat avec les producteurs RedOne et Fernando Garibay. Paul « DJ White Shadow » Blair a travaillé sur la plus grande partie d’Artpop, mais il y a une pile de noms dans les crédits incluant Zedd, Madeon, David Guetta, Infected Mushrooms et Will.i.am. Ses deux dernières années, Gaga s’est séparée de ses stylistes / chorégraphes et managers de longue date et a annulé une tournée mondiale pour se remettre d’une sérieuse blessure à la hanche. Artpop pourrait-il être une distraction pour cacher les drames derrière le rideau ? Ironiquement, Gaga rattrape son disque avec deux morceaux qui se débarrasse des artifices en faveur de sentiments honnêtes : « Do What You Want », un spectaculaire duo grognant et groovy avec R. Kelly ; et « Gypsy », un hymne dans le style des années 80 où Gaga admet son amour de la performance et son amour pour les disputes amoureuses régulières. « Je ne veux pas être seule pour toujours mais j’aime ma vie de gitane, » chante-t-elle sans s’abandonner. Aucun des morceaux n’est subtil, mais ils fonctionnent car ils ne sont pas nés du concept frileux que l’art et la pop ont besoin d’un mariage arrangé pour avoir du boulot. |
Les médias français la descendent alors que les autres non…! Étonnant.
Pfff… Je ne sais pas quoi dire, on projette une fille sur une scène, on la proclame reine dès le premier single de son 2nd album (bad romance), et maintenant qu’elle commence enfin à ne plus être seulement un « produit » mais une véritable artiste, on ne veut plus d’elle, pourquoi ?
Franchement, il n’y a plus le même contexte que l’ère post-ThefameMonster, BTW était beaucoup plus attendu car tous le monde disait que the fame monster était génial, mais qu’il y manquait quelque chose. Et si BTW n’a pas répondu aux attentes du grand public, on s’en fiche au pire, cette ère était porteur d’un message de tolérance, si les gens ne veulent pas l’être tant pis. Mais depuis je lis beaucoup trop de jugements comme « Lady gaga la folle qui fait de la musique pour les PD ».
La France est tellement fermée d’esprit, et à la fois très ouverte, c’est tellement contradictoire et tordu.
Bref, contexte post-BTW : Lady gaga est fichue, elle ne vend plus autant qu’avant au mon dieu, elle n’est pas si fabuleuse que ça enfin, sa musique est pourrie, sa voix retouchée, masquée, y’a que les fans (=les follasses PD) qui vont acheter. (Entre temps l’extrème droite prend 20% au 1er tour en aux dernières élections présidentielles, on comprend mieux.)
Le jour de la sortie mon père m’achète l’album, je l’écoute. On est quand même loin de BTW, mais c’est quand même toujours gaga, avec des musiques très électro, immatures, contrairement à BTW comme PRÉVU. Y’a une vraie démarche artistique dans cette ère, et moi je crois qu’on en a encore pas du tout assez vu encore. Je pense que ARTPOP va encore se dévoiler petit à petit, surtout son aspect visuel.
Enfin, mon avis sur la comparaison à Madonna, c’est trop facile et petit : c’est les medias qui persuadent la Terre entière que Gaga veut dépasser Madonna, battre tous les records, être 1ère dans les charts d’abord de manière très enthousiaste pour que tous le monde y croit, puis quand ils réalisent que madonna a 30 ans de carrière et Gaga 5 ans, ce qui n’était déja pas comparable à l’époque!! Et bah « oh non Gaga elle est très loin des 400 millions d’albums vendus blablabla »… Bah… NORMAL J’AI ENVIE DE DIRE, laissez lui encore 25 ans avant de faire la comparaison. Cette guéguère est ridicule.
Les critiques sont donc largement influencée par le contexte post-BTW et de la crise du disque actuelle également dont les ventes sont actuellement très faibles en rapport à il y a 5 ans. Mais ça personne ne le précise bien sur.
Il faut que Gaga vende 10 millions d’albums en 10 minutes pour qu’elle puisse être respectée?
Sinon je pense que dans cet album, il y a pas mal de bonnes choses et de mauvaises. Mais le mélange donne quelque chose de Gagaesque, de sympa. Je n’ai pas de migraines en l’écoutant et pourtant je suis migraineux. Je l’écoute avant de dormir le soir, et je bade dans mon lit, perso je regrette pas du tout d’avoir attendu. Plus je l’écoute, plus je le trouve accrocheur. Ce n’est pas le genre de disque dont on peut tout connaitre, tout comprendre et entendre à la 1ère écoute. Plus on l’écoute, plus il est addictif ;).
C’est tout.
+10
Je vais prendre un peu de temps pour écrire ce que je pense de cet album:
GGV, même FranceTVInfo s’y est mis, et même si cette critique est assez dure, je pense que c’est celle qui correspond le plus à la vérité.
http://www.francetvinfo.fr/culture/musique/sept-raisons-de-ne-pas-ecouter-le-nouvel-album-de-lady-gaga_454208.html
Elle l’avait annoncé pour septembre 2012, on l’a eu en novembre 2013. Cela fait donc plus d’un an qu’on entend parler de cet album & que les attentes chez les fans et chez les médias montent,
Une fois l’album entre nos mains, la plupart des critiques non seulement françaises, contrairement à ce que croient certains fans, mais aussi aux USA, ou encore britanniques,(je les invite à lire les critiques de The Guardian, USAToday) en bref de tous les marchés les + importants,sont catastrophiques.
Une chose semble ressortir de ces critiques, c’est l’arrogance de Gaga. Et je suis complètement d’accord avec eux. Elle fait toujours 3mille tonnes pour rien… Elle se prend trop sérieux, ca me dérangerait pas si sa musique suivait derrière mais ce n’est pas le cas. Même le plus grand génie de la musique, MJ n’a jamais mis « art » dans l’un des titres de ses chansons, encore moins pour appeler un album comme ça! Et c’est ce que la plupart des médias lui reprochent, ils disent que ce n’est pas un mauvais album, mais le côte art est inexistant. Je pense que si GG avait choisi simplement un autre titre, les médias ne seraient pas aussi méchants! Un artiste qui dit faire de l’art est juste un idiot, ce n’est pas l’artiste qui décide ce que deviendra art ou pas, c’est le peuple! Andy Warhol quand il faisait ses tableaux, collages, il faisait pas du pop art, il faisait ce qu’il aimait, c’est ensuite l’histoire que lui a donné ce nom! Et là ta Lady Gaga qui arrive et qui nome son album ARTPOP en lettres capitales en plus, comme pour dire que le nom de son album c’est de l’art qui ne peut s’écrire qu’en grand. C’est d’une arrogance. Pour l’ère passé, elle l’avait annoncé comme l’album de la décennie, c’est toujours la même histoire…même MJ ou Madonna n’ont pas dit qq chose comme ça, et elle s’est fait descendre à cause de ça, elle a un tel manque de confiance en son travail, qu’elle a besoin d’en faire 3tonnes, alors que pour born this way c’était pas nécessaire, c’était un album différent du premier, mais il tenait la route.
Elle est trop marketing, elle a besoin de retrouver un peu de simplicité, de sincérité, de la vrai, et non surjoué, comme lors des Youtube Awards, où elle m’a mis plus mal à l’aise qu’autre chose, à cause de ses fausses larmes.
Britney, on a appris qu’elle sortait un nouvel album il y a un mois et demi, avec un simple tweet, en moins d’un mois elle a dévoilé la pochette, la tracklist, le deuxième single, elle se prends pas la tête, c’est simple tout le contraire de GG qui a besoin de tjr faire 3 tonnes, le summum a été atteint avec ce qu’elle avait tweeté, juste avant de publier DWYW, en se victimisant avec ce histoires de katy perry ou encore madonna.
ARTPOP est selon moi son pire album..
1)Monster – EP
2)BTW
3)The Fame
4)ARTPOP
C’est trop bruyant/brouillon, tout se ressemble, il n’y a pas de surprise, il n’y a pas de mélodies… C’est juste plein de bruits ensembles sans direction. Je me rappelle quand j’écoutais TFM pour la première fois quel bonheur…un univers complètement différent à chaque piste… Bad romance, DITD, so happy i could die… ça c’était de la musique pop pop-ulaire, comme on l’aime. artpop ressemble à ce genre de musique qu’on écoute en fête foraine lorsqu’on joue aux auto-tamponneuses .
Il y a autre chose qui me dérange énormement dans artpop ce sont les musiques recyclés, que même si Gaga a l’autorisation de les utiliser, ca n’en demeure pas moins du recyclage, pour une artiste qui se veut si original, je trouve ça pas cohérant… Sans parler de Fashion! et de Madonna, je ne veux pas lancer des débats inutiles. Elle a pas besoin de tout ça, elle sait créer des mélodies magnifiques, pourquoi elle s’en sert pas ?!?
Je n’acheterai pas artpop… Gaga devra se rendre compte qu’elle n’est pas dans la bonne direction, musicalement comme humainement, sûrement elle le fera avec les ventes d’albums qui s’annoncent mauvaises, malgré le fait que l’album soit à 5$ sur amazon, sur cette ère je ne la soutiendrais pas.
Enfin pour finir, j’aime Lady Gaga énormément, mais je ne suis pas un mouton, ce n’est pas parce qu’elle nous sert de la merde que je vais aller l’acheter et dire que c’est de l’ART. Je vous trouve quand même tous assez ridicules, à rejeter la faute sur les journalistes (incompétents, pas objectifs, stagiaires) ou encore sur la presse française, mais les critiques des autres pays sont aussi mauvaises, vous n’arrivez pas à encaisser une critique, et c’est la que l’article de Francetvinfo au début du commentaire, illustre très bien mes propos il suffit de le lire, « des fans menaçaient de décapiter sa fille, violer sa mère ou souhaitaient que toute sa famille ait péri dans le bombardement d’Hiroshima. Dans ces conditions, on imagine que si Lady Gaga reprenait Tata Yoyo avec Doc Gynéco, ses « petits monstres » crieraient au génie »
En bref pour vous c’est toujours la faute des autres, vous ne remettez jamais GG en question, c’est finalement assez triste comme situation.
AMEN.
C’est exactement ce que je pense (même si j’ai acheté l’album pour la soutenir, j’ai pas non plus envie qu’elle sombre, elle reste la pop star la plus talentueuse et intéressante de cette décennie).
Pourtant, je zappe rapidos la moitié des chansons d’ARTPOP sur mon ipod, et je préfère écouter Dance in the Dark une millième fois. Car ça, c’était de la bonne musique.
Perso, je trouve qu’elle se prend trop la tête, à l’époque de TF/TFM, ce qu’elle faisait, pour moi, c’était de l’art (Candy Warhol pendant TF, TOUT pendant TFM), chaque chose qu’elle créait était visuellement bluffant, avec un but précis. Et pourtant, est-ce qu’elle se sentait obligée de dire dans tous ses interviews à quel point elle est géniale ?
Gaga avant : juste géniale, bluffante, révolutionnaire
Gaga maintenant : elle passe son temps à expliquer pourquoi elle l’est. Sauf que ça ne suit pas. A chaque fois, on a un pétard mouillé, ça en devient lassant.
L’exploitation d’ARTPOP est encore pire que celle de BTW, chaque jour, une nouvelle photo d’elle à poil apparait, non mais sérieux, pour elle l’art = se mettre à poil devant Inez ? Ben, j’en veux pas de son art, qu’elle refasse juste de la bonne musique.
Ah si elle pouvait lire ses fans français et se remettre un peu en question, ça serait génial :) !
A peu près du même avis, j’ai lu toutes les critiques il y a déjà pas mal de temps et c’est vrai qu’elles pointent chacune à peu près la même chose : où est l’art?
Perso j’ai du mal à comprendre le fait qu’aujourd’hui elle soit soi-disant plus artistique, pour moi c’est faux. Pendant TF, TFM et même BTW il y avait une recherche et une cohérence, et surtout pour TF et TFM une articulation impressionnante entre mode, chanson, performances, théâtralité,…
Malgré les critiques durant TF et TFM elle était la plus grosse icône qui soit, ce ne sont pas les médias qui ont de toutes mains créé l’image qu’elle a aujourd’hui :/
Bref, je suis content de voir que je ne suis pas le seul à plus écouter les anciens albums que ARTPOP, je me sentais mal à force :o
(j’en profite d’ailleurs pour revoir toutes les performances de l’ère TF en particulier <3 les live de american idol, taratata, much music awards… trop de souvenirs)
Parfaitement, il n’y a aucune once d’art dans ARTPOP. Rien que le livret, c’est juste vide de sens, « expliquer le processus pour choisir la pose de la statue de la cover » sérieusement ? On en a légèrement rien à foutre quoi.
En plus, elle ne fait que faire des collabo avec des artistes reconnus, Gaga ne fait rien. Pour moi, elle ne produit rien artistiquement, tout ce qu’elle a eu à faire c’est gratter l’amitié avec des artistes pop.
Au moins à l’époque TF/M, elle (+ sa team) avait le mérite d’aller chercher de supers costumes (que certes elle ne créait pas), mais qu’elle associait avec des accessoires, mises en scène, décors de scène, etc, etc. Pareil, les interludes du Monster Ball étaient toutes sublimes et recherchées.
Je suis pareil que toi, je préfère regarder 1000 fois le live de Bad Romance/Speechless aux AMA que sa performance moisie d’Applause aux GMA.
Ce qui m’exaspère chez la moitié des fans, c’est qu’ils accusent les journalistes de descendre Gaga. Mais c’est elle qui les incite à la démonter. Et pas l’inverse.
A l’époque TF/TFM, elle était quasiment intouchable tout simplement car c’était consensuel de dire que Gaga était révolutionnaire et donnait un nouveau souffle à la pop.
Actuellement, Gaga gère de manière affreuse sa communication et ses buzz, je trouve que le plan marketing de Katy Perry est mille fois mieux. Sa performance aux EMA (même si vocalement à jeter) était tout simplement splendide, et perso, je veux voir Gaga faire des performances du genre, pas KP quoi.
+1 de manière générale
et un autre +1 en ce qui concerne KP, j’ai été bluffé par sa sa perf aux EMA (même remarque que toi concernant la voix) et la trouve bien meilleure que tous les live de ARTPOP. Je n’ai jamais aimé KP, mais son travail est intéressant, et l’exploitation de ses albums n’a jamais été foireuse…
Franchement ton com’ me rassure, je me retrouve totalement dans tout ce que tu dis, en particulier pour les vieux live de Gaga et les interludes de TF et TFM (ils étaient magiques, là on pouvait parler d’ « art »).
J’espère que l’exploitation de ARTPOP va réellement dévoiler le côté « art » de l’album au travers des live et des clips, mais pour le moment c’est raté… Elle a l’air de totalement laisser tomber la promo, alors que c’est pourtant cette même promo qui l’a propulsée sur les scènes mondiales, c’est dommage.
Alex je ne suis pas d’accord avec toi ! tu a le droit de ne pas aimer l’album mais ce n’est pas de la MERDE quand même, c’est du boulot à tout confectionné. Cependant je trouve les critiques insultante car pour moi c’est l’album qui arrive en 2ème position
-BORN THIS WAY
-ARTPOP
-The Fame Monster
-The Fame
même la critique de francetvinfo est injuste!!!! (ceci dit je trouve sa HONTEUX de la menacé comme certains l’on fait )
Tout à fait d’accord même si j’aime bien l’album et que pour moi ce n’est pas son pire album, mais là ça part en cacahuètes !
Coté marketing il faut vraiment qu’elle reparte en simplicité et pas se prendre au sérieux et d’en faire des couches en sortant son album 1 an et demi après avoir donner le nom ..
Et oui il n’y a pas d’art dans ARTPOP, à pat dans les photoshoot et encore.
Bref je veux vraiment qu’elle se ressaisisse pour le prochain album sinon c’est la fin.
Excellente critique du Billboard ! :)
Voici ici aussi un excellent article : http://m.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fsodomeetgomorrhe.com%2F2013%2F11%2F12%2Flady-gaga-artpop-retour-de-passion%2F&h=oAQFmaykN&s=1
Je dois admettre ( même si ça me fait mal au cœur ) que ARTPOP est le moins bon des albums de lady gaga… Il est sorti quand? Y a deux semaine et je suis déjà lassé… Comme d’autre je zappe la moitié des chansons… Je dois préciser que born this way a été le seul album que j’ai écouté EXCLUSIVEMENT pendant plus d’un an, c’est a dire que je n’ai écouté que BTW et uniquement ça pendant un an et demi , alors que la deux semaines après l’album me donne mal a la tête… Quelles sont les chansons a sauver , venus ( que j’adore mais qui est loin de faire l’unanimité ) , Dope et artpop…c’est tout! Après y a des chansons plutôt sympa genre do what you want, applause, fashion! Mais on est loin du concept annoncé de réunir l’art et la pop…
Alors reste a espéré que les titres plus conceptuels ( selon gaga …) dispo plus tard via l’appli , remontent un peu l’estime que j’ai de cet album.
En attendant j’attend l’album jazzy prévu pour le début d’année… J’espère juste que notre lady retrouvera un peu plus d’inspiration pour le prochain album, elle en est plus que capable.
Tout l’album me fait penser au refrain de Telephone : un grésillement inutile qui bousille toute l’instru.
La meilleure des critiques est celle que l’on se fait de l’album.
tout a fait
Moi ça fait deux semaines que je l’écoute et je ne m’en lasse pas. Il est frais et différent de ce que l’on entend en ce moment. Je ne fais guère attention aux critiques car la plus importante est la vôtre et même s’il n’est pas mon album préféré, il arrive deuxième (TFM passe devant) juste avant Born This Way et The Fame.
Et ? C’est juste de la music ! Elle n’essaye pas de faire du Adèle, Gaga est d’une originalité déconcertante, malheureusement, quand on attend d’une personne tjrs la même chose, et bien forcément, quand elle nous offre autre chose, et bien on est déçu. Mais arrêtez de vouloir la garder pour vous ! Je n’attends pas de Gaga qu’elle fasse tjrs la même chose, et de ce fait je suis tjrs agréablement surpris. Si vous passiez du temps à la comprendre à travers ses interviews, et bien vous vous rendriez vite compte du pourquoi et du comment ARTPOP est Gagalactic. Laissez vous transporter par l’univers Gaga. N’oubliez pas qu’elle est fan de Métal.
Je suis sûr que si elle avait resté la même les gens auraient dit : »elle n’évolue pas ,elle fait tjrs la même chose! »
ARTPOP sera n°1 au Bilboard TOP album US la semaine prochaine (en principe), selon BILBOARD ! :)
De quoi faire taire les mauvaises langues ! Paws UP !
Le CD tourne en boucle chez moi ! :)
http://www.billboard.com/biz/articles/news/5793190/lady-gaga-still-heading-for-no-1-beatles-set-for-31st-top-10-album
80.000 copies de artpop au canada en 3 jours, pas mal !!!
Une journaliste du Figaro enfonce le clou …..
http://www.lefigaro.fr/musique/2013/11/15/03006-20131115ARTFIG00541-lady-gaga-les-ventes-d-artpop-catastrophiques.php
Heureusement qu’elle va être en tête du Bilboard la semaine prochaine
Mais pourquoi ils s’acharnent sur elle comme ça c’est grave??!!
Je ne comprend pas les gens qui trouvent l’album « bruyant » alors qu’Alejandro et Dance In the Dark sont du même style.Pour moi Artpop est le meilleur album de Gaga. Elle a vraiment réussi à s’éloigner du commercial tout en restant grand publique. TF et TFM étaient trop commerciaux et BTW pas assez grand publique.
Ok elle a surestimé son album parce que de l’art il n’y en a pas des masses dans l’audio même et c’est dur de juger l’art mais si on profite de l’album comme on le ferai pour n’importe quel album et qu’on ne juge que la musique pas ce qui l’entoure l’album est très bon.
Je me demande si elle n est pas au courant de toutes ces critiques et que c est pour ça qu elle snobe la France lol
Je vois plus l’album sur la durée… En espérant qu’ils fassent les bons choix de single. J’ai une très grosse préférence pour GUY et Donatella !
En etre réduit à ensencer Perry…..
La meuf qui chante faux les 3/4 du temps
Rihanna a nettement amélioré ses lives depuis le début.de sa carrière contrairement à elle.
Puis si la mise en scène dans une performance est réussie mais que le live la voix ne suit pas c est que la performance est râtée basta depuis quand les artifices passent avant l émotion et la voix ?
Fuck les critique
Elle fait se qu’elle veut
Sa c est de l art …!.!!.!.!.!!.!.!.!.!.!.!.!.!.!!..!!:!!.
10- Donatella
Autant je me fixais pas sur ces critiques car je m’étais dit depuis le début : <> Il y avait juste la critique du Billboard qui était intéressante je pense (sans compter la chanson ARTPOP qu’ils en ont pas trop parlé et qui est ma préférée…).
Mais là je viens de lire sur Figaro que les ventes sont une déception [et je me suis mis à pleurer]. Je pensais pas que ça arriverait car les fans compenseraient…
Malgré toutes ces critiques tres severes, je tiens a dire que Venus est numero 1 au top 50 espagnol e Dope devant Applause au Bilboard americain ( 8 et 10eme), et ce ne sont pas des singles :O donc pour l’instant des plutot tres bons chiffres.
Par cotnre sur l’album je suis partagé je prefere ( pour l’instant) born this way. Mais je trouve juste que Dope et Gypsy sont des chansons magnifiques, j’adore aussi Applause, Manicure, GUY et quelques autres.
Ce qui m’etonne c’est l’amour des medias pour DWYW, qui est certes une bonne musique mais qui me parait assez faible pour etre un single, alors affaire a suivre^^
En tout cas j’ai hate de voir un nouveau clip
Et un petit coup de gueule aux NRJ music awards ou Lady Gaga n’est nommée dans aucune categorie :O
Vous exagérez même Madonna a floppé Erotica a floppé sa race lors de sa sortie maintenant c est un classique cet album
Ce qui compte c est de rebondir on ne peut pas toujours être au top
C’est tout à fait vrai !
Madonna a été dans un grand vide entre 1992 et 1998 !!!!
Elle a rebondit enfin avec Ray Of Light. (1998)
Pas la peine de se faire la moindre illusion quant au destin d’ARTPOP : ça va être un énorme FLOP! Je penche pour 4 fois moins de ventes que BTW minimum. Les critiques sont assassines, les classements sont catastrophiques alors que l’on est en 1ère semaine avec tous les achats d’une fan base sensée être gigantesque, les prochaines semaines vont être un cauchemar, une plongée dans les abysses. Le disque est mauvais objectivement, il a tous les défauts de Born This Way (production surchargée, trop de bruit, trop de cris…), la plupart des paroles sont débiles, peu de mélodies sont efficaces, tous les titres sonnent comme des chutes des 3 premiers disques en beaucoup moins bien et la seule innovation c’est l’atroce et ridicule Jewels & Drugs (franchement pourquoi mettre ça sur un disque quand on a un Princesse Die dans les cartons?! Aucun single choisi n’aura la potentiel pour devenir un vrai tube, ça fera comme l’exploitation de BTW. Do What You Want est le meilleur morceau mais ce n’est pas non plus une bombe atomique, il va valloir un excellent clip et une promo réussie mais vu comme ça démarre… Et à la rigueur Gypsy est appréciée OK mais c’est un tel copier-coller de The Edge Of Glory… Franchement j’ai fait le tour de ce disque en 2 semaines alors que 4 ans après Monster reste un EP dont on ne peut pas se lasser. Aucune chanson d’ARTPOP n’arrive à la cheville de :
Just Dance
Poker Face
Paparazzi
Bad Romance
Telephone
Alejandro
Monster
Dance In The Dark (et dire que ce n’est pas un single!)
So Happy I Could Die (idem!)
Soit elle prend une longue pause et revient transformée de A à Z, soit elle est finie.
OUT DJ White Shadow, OUT le marketing à outrance, les concepts à 2 balles, la provoc’ moisie, le cul à l’air en permanence, la prétention mégalo, etc.
Je suis en partis d’accord avec les critiques de certains journalistes … L’album m’a déçue ET deçois! Avoir la prétentieux de dire que ca va etre l’album du siecle est une enormité sans nom. Je vais aller encore plus loin dans ma critique ( de peur qu’on dise que suis un « hater » pas objectif).
1- Je ne sais pas s’il y a des gens qui étudie la musique, mais en général quand on produit un album, on fait en sorte de faire une ligne directrice: en gros, les chansons et/ou les thèmes doivent se suivre ou être plus ou moins en accord. Dans cet album ce n’est absolument pas le cas! C’est totalement anarchique, et pourtant Dieu sait le temps qu’elle a mit ( ou perdu ) pour le faire.
2- Je considère que Lady Gaga est une artiste-compositrice, en mon sens elle aurait put mettre au profit SES gouts, SON talent, et SA voix pour nous produire quelque chose de plus authentique. Quand on écoute l’album, parfois on a l’impression de pas du tout la reconnaitre, il n’y a plus aucune identité.
3- Je sais que beaucoup de fan se voile la face, mais ca ne vous pas parut louche qu’elle est autant retardé la sortie de son album ? En genre ce genre de procedé veut dire qu’il y a un manque cruel de créativité! D’ou les critiques aussi négatives qui sont bel et bien OBJECTIVES! Maintenant, elle va tout miser sur les projets parallèles a cet album.
4 – Meme dans les club gay (gay firendly) les établissements deviennent de plus en plus retissent a diffuser du lady gaga, comme si le soufflet était retombé ( Je vis a Paris hein )
5 – Le pire dans tout ca, c’est que cet album est extremement marketé, ce qui induit qu’il est inévitablement commercial, et ce n’est pas pour autant que son album fonctionne.
Pour moi je ne suis absolument pas d’accord avec ces critiques je trouve que l’album a evoluer et je l’adore cet album mise a pard une musique (jewel and drug) qui n’a rien a faire sur cet album mais c’est un tres bon disque GYPSY NE RESSEMBLE PAS A THE EDGE OF GLORY c’est le meme style une balade electro mais elle est differente
Ps : c’est les journalistes qui raconte ce qu’ils veulent ( des conneries ) l’album est deja disque de platine je pense sa ne sera pas l’album de la decenie mais ils va quand ce vendre sufisament
Soit il y a des fans qui n’aiment pas mais elle en recupaire des nouveau donc au final sa revient au meme
Quand elle a dit que c etait l album du siecle c etait ironique justement en reponse aux critiques qui ont été faites quand elle a dit la même chose pour.l album BTW dc il faut se calmer
Ah mais je suis calme :)
Donc si je suis son raisonnement, d’apres elle, elle auraitdit ce genre de propos tout en pensant le contraire ? Donc si j’ai récapitule, elle affirmerai elle meme que son album est un énorme echec ?
Au bout d’un moment, fan ou pas, il faut etre un minimum objectif
LOL !
Franchement CR, même si ça n’est pas agréable à lire, quelle réelle légitimité à l’avis d’une journaliste du Figaro ou du Parisien, ou de divers tabloïds face à des critiques musicales comme le Bilboard ou Rolling Stone ? ;)
Les classements ne sont pas si catastrophiques… et elle est en tête pour débuter directement N°1 au Bilboard 200 (album chart) la semaine prochaine.
Maintenant, GAGA peut te saouler, y’a pas de soucis, le disque peut ne pas ne plaire, chacun ses goûts, mais SVP ne dis pas qu’il est mauvais.. mais plutôt que tu n’aimes pas. Ton avis n’est pas « parole d’évangile », et d’autres ne ressentent pas les choses comme toi. Moi, j’aime ARTPOP. Et j’ai beaucoup de plaisir à écouter les chansons, j’aime autant écouter GUY que Monster (Monster qui m’ennuie un peu pour le coup…. :)
GAGA est très décalée tout en étant dans le système, un drôle de paradoxe !
Elles est si « étrange » dans son personnage parfois, que forcément, certains esprits peu réceptifs ou peu ouverts la prenne pour une folle ! Et peut-être est-elle folle ! LOL !! Beaucoup de grands artistes vivent dans leur hautes sphères ! Joints ou pas !
Madonna a eu une période de traversée du désert, une VRAIE entre 1992 et 1998, les gens ont la mémoire courte….
Elle a commencé à sortir la tête de l’eau avec « EVITA », puis et surtout avec « Ray of Light », mais « Erotica » et « Bedtime Stories » ont été des flops immenses !! Et pourtant … j’aime beaucoup ces albums, Madonna était à l’époque perçu comme vulgaire, ringarde, ridicule et finie … Et elle est toujours là.
GAGA n’en est pas là. Mais elle dérange un peu.. elle n’est pas aussi « lisse » que Katy Perry par exemple, et moi j’aime ça ! Au moins, je ne m’ennuie pas avec LADY GAGA :-)
ARTPOP N°1 en Angleterre!
Tu plaisantes, dis donc vous vous plaigniez moins du manque « d’objectivité et de professionnalisme des journalistes », lorsque un journaliste de Rolling Stones avait PLEURE en écoutant The edge of glory en 2011, de sombre mémoire. Au moins les critiques du figaro ect n’ont pas été achetées, contrairement au cas de Rolling Stones où ils m’ont l’air d’être de gros vendus, pour avoir lu plusieurs de leurs critiques d’albums pop très grand public. Je trouve pas l’album hyper mauvais, mais il a pas volé son bon lot de mauvaises critiques…
Parcontre c’est vrai que Madonna a vécu un peu la même période mine de rien, tout le monde saturait ect ect, c’est clair qu’il faut pas croire que son premier échec soit hard candy à 50 ans
Pour le coup d’Edge of glory j’y mettrais pas ma main à couper, mais je me souviens bien d’une histoire dans le genre, ou avec un autre magazine peut être, en tout cas leur critique avait été bien trop élogieuse, pour moi c’était un peu ridicule…
Exatement T !!!!!
Euh .. @OhMyLord elle rigolait quand elle disait que c’était l’album du siècle elle a justement ajouté que les gens la prenaient trop sérieux ! C’était une façon de se moquer d’elle même quand elle a dit que BTW serait l’album de la décennie, elle a au contraire dit qu’ARTPOP serait immature, et si elle ne la pas dévoilé avant pour moi c’est qu’il était pas prêt .
D’accord avec @T ;)
« Ce troisième album de la star américaine est sorti, et le moins que l’on puisse en dire est qu’il ne tient pas ses promesses »
Le figaro ose critiquer, sachez que ces son 4 eme et non 3 eme album !!
ouais sauf que je suis pas fan de gaga loin de là