Comme chaque albums, ARTPOP en vient lui aussi à son lot de critiques de la part des professionnels de la musique et journalistes. Voici un article, qui sera mis à jour au fur et à mesure, pour regrouper les avis autour du dernier album de Lady Gaga:
Critiques Francophones
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– Pas fana du nouveau Gaga Sa pochette est censée annoncer la couleur. Un feu d’artifice sonore, de l’art et de la pop. Avec « Artpop », le nouvel album de Lady Gaga qui sort aujourd’hui, on est loin du compte. Pourtant, le disque commence fort avec « Aura », explosif cocktail de guitares hispanisantes et de boucles synthétiques. « Veux-tu me voir nue […] veux-tu voir la fille derrière l’aura ? » Ici, la star américaine est censée avancer à découvert et le montre. Dans le livret, pas une seule photo de Lady Gaga habillée, mais des clichés d’elle nue de face, une boule bleue entre les jambes tout de même, de dos, les fesses au premier plan. Cela doit donc être ça le « Artpop » du titre? Pourtant, les poses relèvent de l’érotisme plus vulgaire que branché. Alors autant se concentrer sur la musique. Passé ce premier titre formidable, Lady Gaga déroule trop souvent une dance datée voire surannée comme l’affreux « Venus », des productions entendus mille fois à l’image de ce quelconque « G.U.Y » voire pompées chez ses concurrentes, tels ce refrain de « Sexxx Dreams », tout droit sorti d’un disque de Kylie Minogue, et « Donatella » de l’époque « Music » de Madonna. Deux titres avec Madeon C’est là que le bât blesse quand la comparaison se dessine avec les autres pop stars du moment. A côté de la malice d’une Katy Perry ou de l’efficacité d’une Rihanna, Lady Gaga semble à la traîne, courant après une couronne qu’elle a perdue, à négliger le fond au profit de la forme. Difficile de se passionner pour les guitares faussement rock de « Manicure » ou les mélodies insipides d’« Art Pop » et « Fashion » Heureusement, Lady Gaga a quelques sursauts quand elle va chercher à la rescousse les rappeurs T. I. et Twista le temps du décoiffant « Jewels N’Drugs », R. Kelly pour le redoutable « Do What U Want ». Il se passe enfin quelque chose, comme lorsqu’elle se frotte au petit prodige français Madeon, qui l’emmène sur son terrain de jeu, ses sons électroniques moins attendus et réalise avec elle « Mary Jane Holland » et « Gypsy ». Mais ça ne suffit pas à faire d’« Artpop » le grand disque qu’aurait aimé nous vendre Lady Gaga. « Je vis pour les applaudissements », répète-t-elle dans son single, réussi lui, « Applause ». Cette fois, elle pourrait en manquer. Source |
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– Artpop de Lady Gaga : un nouvel album décevant, mais pas si mauvais Le voilà enfin. Le nouvel album de Lady Gaga est disponible depuis lundi. Après une attente d’environ deux ans et un teasing sans précédent, les fans étaient plus qu’impatients ; même si, pour beaucoup, cet album n’est plus une surprise puisqu’il avait fuité sur le net il y a quelques jours déjà. À coup d’apparitions, plutôt mesurées et contrôlées, quand on se souvient de ses frasques passées… c’est tout de même en grande pompe, au cours de son « ArtRave party », dimanche soir à New York, que Lady Gaga a lancé « officiellement » son nouvel album. Donc, en attendant son concert spatial, autre annonce faite par la star, la semaine dernière, vous pouvez toujours écouter « Artpop » (numéro un des ventes un peu partout dans le monde à sa sortie), confortablement installés dans votre fauteuil, ou plutôt irrésistiblement attirés sur le dancefloor. À la première écoute… c’est plus qu’un doute qui m’a envahi… une vraie déception. Tout ça pour ça ? Juste ça ? Loin de la « révolution Artpop » promise et attendue. Et oui… plus on attend, plus on espère. Mais visiblement comme le soufflet, plus on attend plus l’effet escompté retombe. Mais finalement c’est pas si mal. Just dance On connaissait déjà tous « Applause », le premier single tiré de l’album. Et même si celui-ci avait déjà pu légèrement décevoir certains, au final, il n’est pas si mal, comparé au reste. Efficace, dynamique, entêtant… on en demande pas beaucoup plus. Et une chose est sûre, les dancefloor s’en régalent déjà (et jusqu’en Chine, je vous assure!). Il en est de même pour son « Do what you want » en featuring avec R. Kelly ou encore « Venus » qui ne s’en sortent pas si mal. Le tout est, dans tous les cas, très (trop) électro, bien moins pop qu’ont pu l’être les précédents albums. En somme ce n’est peut-être pas la musique que l’on a envie d’entendre sur un disque, mais pour sûr, vous prendrez plaisir à bouger dessus en boîte de nuit. Mis à part les trois premiers singles, vous pourrez aussi apprécier « G.U.Y. », « Manicure », éventuellement « Donatella » ou dans un autre genre « Artpop » qui restent des titres tout à fait agréables à écouter. Ni très originaux, ni très excitants, ils n’en demeurent pas moins efficaces. Titres inutiles Certain titres sont pour moi tout à fait inutiles. À commencer par « Mary Jane Holland ». C’est probablement le plus inodore, incolore et indolore de tous les titres de l’album. Je ne comprends toujours pas ce qu’il fait là, mais qu’importe. Je me serais également plus que passé du « Jewels n’ drugs ». Bien trop rap. Pas grand chose à voir avec l’univers Gaga. Je zappe à tous les coups. Celui-ci n’est pas inutile ; il est insupportable. « Fashion » vient allonger à la liste de titres « en trop ». Aussi lent que monotone. J’ajouterais également « Sexxx Dreams », un peu mou, trop « déjà vu »… pfiou! Les coups de cœur Ce n’est pas pour autant que l’album dans son entier est mauvais. Au contraire, on y trouve aussi de très bons morceaux, essentiellement dans la deuxième partie de l’album. À vrai dire, trois titres tirent, pour moi, leur épingle du jeu, et de loin. En haut du podium c’est très clairement « Dope » qui se dégage. C’est l’Ovni de l’album. La Gaga qu’on aime, celle que l’on voit lors de ses performances vocales en live. C’est un des rares titres où l’on peut entendre sa voix et l’apprécier. Ouf ! Ensuite, il y a « Swine », pour le moins électro, mais différent, surprenant et « So Gaga ». On adore. Un doux mélange de voix et d’effets sur un rythme clairement travaillé, et extrêmement prenant. Voilà qui vient relever un tout un peu plat. Pour compléter le podium, « Gypsy » vient définitivement vous faire bouger. Un incontournable. Un rythme au top, une voix parfaite, tout Gaga est là. Et enfin, le titre « Aura » reste pour moi une bonne surprise. Il a un « je ne sais quoi », un savant mélange de modernité, et de nostalgie, de paroles simples et de rythme plus complexes… une réussite tout simplement. Voilà donc ce que nous propose La « mother monster » avec son nouvel album. Je ne sais pas vous, mais personnellement, j’attends avec impatience la sortie de son album « jazz » avec Tony Bennett, prévu pour le 1er janvier (?). J’espère enfin pouvoir ENTENDRE Lady Gaga chanter. PS : Je regrette déjà l’absence, sur cet album, du sublime « Princess die », qu’elle avait chanté lors de plusieurs de ses concerts, et qui n’avait pas manqué de me donner les frissons que j’espérais et qui manquent à cet opus. Source |
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– Un album inégal mais bien plus convaincant que Born this way Attention, clignotants au rouge. Après un fracassant premier album et un second en forme d’autoroute vers l’ennui, Gaga Germanotta joue son va-tout avec « Artpop », troisième opus qui confirmera ou infirmera son statut de reine pop, convoité par Katy Perry et quelques autres aspirantes. Le premier single lâché sur les internets, « Applause », manquait cruellement de peps, de surprise, d’originalité. Les coquilles Saint-Jacques sur les seins dans la vidéo, OK, mais c’était un peu court après le costume en steak. En ce qui concernait le son, on était plutôt en mode rincé, répétition de ce que la diva électronica avait déjà offert sur ses précédents singles. Bref, avantage à « Roar » de Katy Perry sur ce coup-là, avec son clip exotico-kitsch coloré comme un bonbon. Cette fois, c’est l’album. Le troisième donc, celui de la dernière chance dans un monde pop où tout va trop vite, où une star est déclassée après son premier faux pas, où un buzz chasse l’autre à la vitesse d’Usain Bolt. Une ouverture d’album inquiétante Ça commence avec une guitare acoustique flamenca. Gagacoustique ? Non, une voix trafiquée enchaîne, puis une variation sur le thème de Carmen et un beat musclé accompagné d’une basse synthétique. « Veux-tu me voir nue, mon amant ? Veux-tu voir la femme qui vit derrière l’aura ? » Les thèmes classiques de Gaga, et une ouverture d’album inquiétante : la chanson n’est pas désagréable, mais on est loin du tube. L’avoir choisi pour démarrer l’album augure mal de la suite. Poursuivons l’exploration. « Venus » multiplie les références à Aphrodite (le nom grec de Vénus), la déesse de l’amour, sur un beat plutôt original, plein de fractures et de changements de tempo. Neptune, le dieu de la mer, est également invoqué. Le sample du « Rocket #9 », de Zombie Zombie, duo français composé de Neman (batteur de Herman Düne) et Etienne Jaumet (saxophoniste et collectionneur de synthés vintage) est bien exploité. On n’est pas dans le hit évident façon « Poker Face », mais dans du Gaga bien frappé. « G. U. Y. (Girl Under You) » reprend la référence à Aphrodite via son fils Himeros, mais la musique est hélas moins aventureuse. « Sexxx Dreams » sent le remplissage, « Jewels & Drugs » marque la première grosse collaboration de l’album avec trois rappeurs de poids : Twista le MC supersonique, T. I. le guest de « Blurred Lines » et Too $hort la légende d’Oakland. Instrumental trap music (on dirait du Therapy et on attend – en vain évidemment – le feat de Booba), mélodie soft du refrain clamant le désir pour la drogue plutôt que pour les bijoux, la drogue en question étant, comme on le sait depuis Roxy Music, l’amour (et Lady en veut plus, encore). « Do What U Want », le clou de l’album « MANiCURE » tourne autour d’un riff de guitare un rien vulgaire mais conçu pour la scène, visiblement. Le clou de l’album arrive en septième position : « Do What U Want », duo avec R. Kelly, est une vraie réussite, sexe et grand public, parfaite combinaison entre deux artistes partageant un goût prononcé pour l’amour charnel dans leurs lyrics. Des paroles bien matérialistes pour le R. (« Tom Ford, private flights/Crazy schedule, fast life »), un refrain self service pour Lady G. (« Fais ce que tu veux avec mon corps, tu ne peux pas bloquer ma voix car ma vie ne t’appartient pas, mais utilise mon corps »). Beau duo entre la Marilyn de l’Artpop et le président du R&B. La suite ? Beaucoup de pop synthétique, une ode à Donatella Versace (« Donatella », avec la rime « boulangerie » en français dans le texte), une chanson à tiroirs sur la marijuana, « Mary Jane Holland » (rappelons que Gaga s’était déguisée en Cannabis Queen pour la fête d’Halloween en 2012)… Et « Dope », balade au piano sur l’addiction à un amant dont elle a plus besoin que de la drogue. Belle performance, des vocaux dénudés et une ambiance dramatique qui sied bien à la Germanotta. Produit, ou plutôt « réduit » par Rick Rubin » pourrait-on dire, tant le rap mogul a laissé à Gaga l’espace vide pour plus d’émotion, sans fioritures ni arrangements pesants. Retour à du 4×4 efficace avec « Gypsy », single à venir c’est certain, pumping beat et break puissant, le tout soutenu par une jolie mélodie. Appréciation globale : un album inégal mais bien plus convaincant que son second opus « Born This Way », bâclé et peu inspiré. Reste une question dans ce monde pop où seul compte le chiffre : carton planétaire ou échec commercial reléguant la reine déchue aux oubliettes de l’histoire de l’art pop ? Car on le sait bien, hélas, seuls les chiffres de vente seront pris en compte par la foule capricieuse et les médias avides de turnover. C’est le prix à payer pour les pop stars. Source |
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– ARTPOP, et la musique dans tout ça ? Lady Gaga ou l’art du storytelling permanent. Pas un jour ne passe sans que la chanteuse américaine invente une nouvelle raison de faire parler d’elle. Un nouveau look, une confession intime dans un magazine, un strip-tease intégral dans une boite gay, une séance de « relaxation » naturiste en forêt, ses fesses dans un string à fleurs sur une pochette de single…. Fin octobre, Stefanie Germanotta sortait dans les rues de Londres, tout de noir vêtue, histoire de faire le deuil de son chien… avant de réapparaître quelques jours plus tard à New York en arborant un dentier spécial Halloween. Puis d’annoncer un prochain concert dans l’espace. Et la musique dans tout ça ? Avec ARTPOP, Gaga fait sa rentrée après toutes les autres stars de sa catégorie, sinon Britney Spears qui fait patienter ses fans encore une semaine. Avant elles, les Katy Perry, Justin Timberlake et autres Miley Cyrus ont pris d’assaut les charts avec des disques efficaces mais sans surprise, reproduisant à peu de chose près la formule de leur succès précédent. On aimerait dire autre chose de la diva new-yorkaise qui fraye avec les vedettes de l’art contemporain, de Jeff Koons à Marina Abramovic. Hélas, ou heureusement, Lady Gaga fait du Lady Gaga. Pour le meilleur et pour le pire. Un dancefloor futuriste tendance psychédélique Le meilleur d’abord. ARTPOP est un disque idéal pour faire son jogging. Ou de la gym en salle. Sans rire. Comme ses prédécesseurs, c’est un condensé d’électro-pop survoltée : rythmiques martiales, refrains scandés, gimmicks sonores entêtants. Au bout d’une heure sous le casque, l’auditeur ressort essoré, un peu étourdi, voire assourdi. Dans ses meilleurs moments, Lady Gaga est la reine d’un dancefloor futuriste tendance psychédélique. Difficile de résister à des pépites rugissantes comme « G.U.Y. », « Artpop » ou « Swine » et son break hardcore infernal. Le reste du temps, on frise l’auto-parodie sur des tubes calibrés comme « Venus », « Do Want You Want », « Gypsy » ou « Applause », tellement familiers qu’on croirait entendre des chutes de moquettes de Born this Way, à peine rehaussées par une production rutilante, à faire rougir un vendeur de chaînes stéréo dernier cri. Reste la botte secrète de la Miss : la sincérité. Sur « Dope », LA ballade de l’album, Gaga chante toute seule derrière son piano, accompagnée de légers bruitages synthétiques. On l’entend respirer, crier, pleurer. C’est simple, beau, sans prétention. A quand l’album acoustique ? Source |
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– Lady Gaga : un 4ème album, celui de l’indigestion ? NOTRE AVIS | La « reine de la pop » sort ce lundi l’album Artpop. Une couverture où on voit la chanteuse nue façon statue antique, des vocalises au vocodeur, des textes sur le sexe, la drogue, la mode… Lady Gaga fait du Lady Gaga pour la quatrième fois en musique. Elle veut de « l’Art dans sa pop ». Mais le mélange est-il savoureux ? Son nom est plus souvent dans la rubrique people, et pourtant Lady Gaga fait encore de la musique. Son quatrième album sort ce lundi. Artpop a le projet très ambitieux, selon la chanteuse, de « mettre de l’art dans sa pop ». Et tant pis pour l’excès, chez Gaga, tout est bon pour exister : truster les réseaux sociaux, porter des robes à base de morceaux de viande, annoncer un concert dans l’espace ou montrer ses fesses sur les extraits YouTube de son nouvel album. Cette fois, l’ovni new-yorkais crédibilise même son escalade dans le kitsch, en embauchant Jeffs Koons, pape de l’art provoc’ qui génère du dollar. Il a réalisé les photos du disque façon nu de l’antiquité, mais en plastique et qui fait mal aux yeux. Les fans adorent. Selon le site Melty, l’album Artpop est arrivé lundi en tête des ventes de l’iTunes Store en quelques heures. Alors Lady Gaga fait-elle encore de la musique ? Oui, et c’est à peu près la même qu’avant, des vocalises au vocodeur sur fond de dance entendue 100 fois. Ce qui avait fait son succès au MTV Europe Musci Awards en 2011. Elle parle comme d’habitude de mode, de célébrité, de sexe et de drogue, au contenu explicite, comme dit l’étiquette, mais pas de quoi non plus crier au scandale. Ce qui est peut-être un souci. Rien, dans Artpop, ne fait soulever un sourcil, ni les images, ni la musique, qui pourrait être la bande son d’un film ringard sur une star de la pop. Au final, Lady Gaga a peut-être inventé la musique de son époque, celle pour sonnerie de téléphone portable, qui s’écoute trois secondes, pas plus. Source |
Afficher le spoiler: DH BE | SelectionnerOuvrir> |
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– Le dernier Lady Gaga: de l’art et de la pop? Pas vraiment… Ça y est, le 4e album de Lady Gaga, ARTPOP, est dans les bacs. Au final, beaucoup de foin pour quoi ? Les temps sont plutôt cléments pour ceux dont les oreilles frétillent à la simple évocation du terme popstar. Il y a quelques semaines, Katy Perry publiait son nouvel opus, Prism. Aujourd’hui, c’est Lady Gaga qui offre à la planète – en attendant la galaxie, puisqu’elle planifie, effet Gravity oblige, de se produire dans l’espace – son nouvel album, le quatrième, ARTPOP. Avant le retour programmé, début décembre, de la princesse Britney Spears. Quand on est donc une artiste pop d’aujourd’hui, il faut batailler dur pour évidemment mériter sa place au firmament, mais avant tout pour simplement attirer à soi quelques spotlights. À ce deuxième jeu, Lady Gaga n’a rien à envier à la concurrence. Seule la petite Miley Cyrus lui fait de l’ombre. Mais l’excentricité et le buzz en matière musicale n’ont jamais permis de solidifier les bases d’une longue carrière. Si Madonna n’avait été qu’une éternelle fausse vierge agrippée à sa croix, son histoire se serait arrêtée là. Lady Gaga, qui s’est depuis mis la Madone à dos à force de copycat, n’a visiblement pas retenu cette leçon-là. La reine autoproclamée d’une nouvelle pop – elle est en ce sens aussi influencée par le king égocentrique du hip-hop Kanye West – intitule son nouvel album ARTPOP. Un choix audacieux (et en lettres capitales !), guidé par une pochette réalisée par l’artiste Jeff Koons. Et c’est à peu près tout ce qu’on trouve en relation avec ce terme qui, pour Lady Gaga, exprime son envie de faire « l’inverse de Warhol […], c’est-à-dire mettre de l’art dans la boîte de soupe ». Ce qu’on entend, souvent, tout au long de cet ARTPOP, c’est justement de la soupe recouverte de sons techno (Aura), gangsta (Jewels N’Drugs), peu inventifs (Donatella) ou parfois venus du siècle dernier (sa sempiternelle influence madonesque des années 80). Et notre déception est encore plus grande quand on se rappelle tout le potentiel de Stefani Germanotta démontré sur ses deux premiers albums, qui trouve ici quand même écho sur Dope (hormis les paroles) en piano-voix. Un titre comme on attendait de la Gaga. Talentueuse. La retrouvera-t-on un jour telle quelle ? Ses Little Monsters, eux, ne se posent pas la question. Ils adhèrent à son art, quel qu’il soit. Source |
Afficher le spoiler: Le Figaro | SelectionnerOuvrir> |
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CRITIQUE – Pour notre spécialiste musique Olivier Nuc, le troisième album de la chanteuse américaine, publié hier à grand renfort de marketing, est pourtant un ramassis de morceaux banals et clinquants. Ceux qui ne savent pas que Lady Gaga a sorti son nouvel album hier ont sans doute passé un séjour prolongé dans l’espace. La chanteuse monopolise l’espace médiatique terrestre depuis de longues semaines. Alors que personne n’avait encore entendu une note de l’album Artpop, elle faisait l’événement de la rentrée. Ce troisième album de la star américaine est sorti, et le moins que l’on puisse en dire est qu’il ne tient pas ses promesses. Notamment celle qui vise à introduire en musique l’exigeance avec laquelle elle manie l’art de la mise en scène et la science du marketing -dans la pop. Le contenant -une pochette signée Jeff Koons – est à cet égard bien supérieur au contenant. Sur les quinze titres qui constituent cette superproduction, seuls deux bénéficient de mélodies réussies: le duo avec le chanteur de R&B R.Kelly () et le morceau-titre Art Pop. Une écoute particulièrement éprouvante L’écoute de la première moitié du disque est particulièrement éprouvante. Le son clinquant et ultra compressé n’aide pas à passer un bon moment. Les rythmiques sont frénétiques mais ne font preuve d’aucune originalité. On croit entendre de la dance-pop du genre de celle que l’on entend dans les magasins de vêtements bon marché, pas sur l’album d’une des plus grandes stars du moment. Les textes sont d’une bêtise abyssale. Lady Gaga y chante l’amour physique sans aucune sensualité, avec la vulgarité de ceux qui prétendent épater le bourgeois alors qu’ils ne livrent rien de dérangeant. Juste de l’ennui. À côté, les tubes de Madonna «sonnent comme du Schubert» Lady Gaga est grotesque dans le rôle de déesse du sexe dont elle s’est affublée. On a l’impression de déambuler dans les couloirs d’un peep show tout à fait ordinaire, dont elle serait la cynique et grossière tenancière. La deuxième moitié de l’album est moins ridicule, mais qui aura eu l’endurance de tenir jusque là pour entendre des morceaux d’une confondante banalité. Des chansons «à côté desquelles les tubes de Madonna sonnent comme des pièces de Schubert», pour reprendre le bon mot du chanteur canadien Rufus Wainwright. Source |
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« ARTPOP » : Lady Gaga agace, inspire, frustre et fascine sur son nouvel album « ARTPOP » est sans conteste l’un des albums les plus attendus de l’année. Troisième album de Lady Gaga emmené par les singles »Applause » et »Do What You Want », il voit la chanteuse collaborer avec une nouvelle équipe sur des titres souvent trop produits, tandis que RedOne, David Guetta et will.i.am font chacun une petite apparition. « My artpop could mean anything », annonce fièrement Lady Gaga sur la plage principale de son troisième album, « ARTPOP ». Une façon de se dédouaner face à ce projet qui semble dire tout et parfois son contraire, partir dans toutes les directions et surtout, parfois, trop loin. La créativité de Lady Gaga, sa prétention à faire plus que de la « simple » pop – la pop n’est pourtant jamais si simple – est l’une des plus grands forces de la chanteuse, et la rend plus intéressante et intrigante que ses petites camarades. Mais c’est aussi sa faiblesse. A trop vouloir en faire, Lady Gaga ne parvient que trop rarement à se canaliser. Comme sur « Born This Way », c’est son ambition qui gâche tout, même quand elle propose des choses géniales. Une production surchargée C’est aux petits nouveaux Nick Monson, Dino Zisis, Zedd et Madeon que la chanteuse a fait appel sur un album qui laisse au placard les influences rock de son prédécesseur pour retrouver le dancefloor. Mais, sans doute décidée à montrer qu’elle donne (toujours) le ton de ce qui est tendance en pop, la chanteuse tombe souvent dans l’excès. Nombreux sont les titres où les mélodies et les voix sont étouffées par des couches de synthés qu’on peine presque à distinguer. Dommage, parce que, plus d’une fois, Lady Gaga trouve une bribe de formule magique avant de perdre complètement le fil. « Do you wanna see the girl who lives behind the aura? », propose-t-elle par exemple sur « Aura », plage d’ouverture dont le pré-refrain est digne des meilleurs moments de « The Fame » et « Born This Way ». Dommage que la production surchargée signée Zedd et Infected Mushroom, pas aidée par une construction sans queue ni tête, fasse frôler le comique au produit fini. Même constat sur « Venus », où le refrain très accrocheur est plombé par des paroles où Gaga évoque Botticelli, les soutien-gorges en coquillages, et se permet une blague digne d’un collégien en évoquant Uranus (« Don’t you know my ass is famous? »). Produite par la star elle-même, une première, le titre sonne au final comme une démo qui mériterait de nombreux ajustements. La chanteuse redresse la barre sur les titres suivants, plus simples, plus efficaces et plus cohérents. « G.U.Y. » rappelle l’époque « The Fame Monster » et « Sexxx Dreams » permet à Lady Gaga de… s’amuser ! Dans un album où tout est si lourd au point d’être parfois fatigant, le changement d’atmosphère est plus que bienvenu. Un album frustrant, à l’image de son interprète Car quand elle lève le pied et n’essaie pas de sauver le monde, la pop et l’art à la fois, Lady Gaga est capable de frapper fort. « Do What U Want », deuxième single accidentel, est une réussite, et « Gypsy », sur lequel la chanteuse a eu la bonne idée de faire revenir RedOne, rappelle les meilleurs moments de « Born This Way » avec son refrain épique et sa production plus sage. Non pas qu’il faille être tout le temps sage. Quand elle s’emballe sur le déglingué « Swine », où elle évoque son dégoût pour un porc dans un corps d’homme, tous les synthés du monde semblent appropriés. Et « Artpop », plage principale de l’album, surprend et séduit par son côté calme, là où on attendait plus, voire trop. « Give it time, sometimes the simplest move is right » chante-t-elle, très à-propos, sur le titre. will.i.am et David Guetta viennent donner une couleur funk étonnante sur « Fashion! », pas plus mémorable que son hymne à Donatella Versace sur « Donatella », où les paroles frôlent parfois le ridicule. Et tant qu’on parle de ridicule, « Jewels n’ Drugs », où elle invite pas moins de trois rappeurs, n’est pas du tout à sa place. Pas franchement plus cohérente avec le projet, la ballade « Dope » est pourtant bien plus importante sur ce disque. Au piano, l’artiste chante sa dépendance au… public. « I need you more than dope », se lamente-t-elle ainsi, mettant en avant sa vulnérabilité à travers les fêlures de sa voix. De tout l’album, c’est sans doute la seule fois où Gaga donne vraiment à voir celle qui se cache derrière l’aura, derrière la burqa, préférant un jeu de mots risible sur un autre titre qui évoque la drogue, « Mary Jane Holland ». Et c’est seulement après tout ce méli-mélo de titres électro que débarque « Applause », premier single qui revient au tout début, « The Fame ». Pas forcément immédiat et sans doute déroutant pour le grand public, le titre reste pourtant l’un des points forts d’un album où Lady Gaga en donne souvent trop, et à la fois trop peu. Frustrant, agaçant, entêtant, impressionnant, décevant, brillant, dérangeant et étonnant, « ARTPOP » est tout à la fois, comme peut l’être l’art, la pop, et Lady Gaga elle-même, finalement. Source |
Critiques Américaines
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– Lady Gaga a besoin d’aide avec son dernier album La mission de l’art, particulièrement l’art moderne, est de provoquer – de présenter des concepts excentriques, d’explorer des idées non-traditionnelles, de mettre au défi les normes traditionnelles – et de vous laisser vous poser beaucoup de questions, de chercher des réponses. Si c’est le but du quatrième album de Lady Gaga, « Artpop », alors elle a déjà le succès dans ses mains. Cependant, si le but est de divertir, elle échoue, bien qu’au moins elle le fasse dans ses tenues spectaculaires typiques. « Mon artpop pourrait vouloir dire n’importe quoi, n’importe quoi. J’essaie de me vendre, mais en fait je ris car j’aime la musique et pas ce qui brille, » chante Gaga de sa voix presque monotone, soutenue par un rythme électro futuristique, sur la chanson-titre. C’est ici que se trouve le problème ultime : en dépit de ses buts ambitieux, l’album « Artpop » fini par être un artifice insipide, avec une Gaga se reposant sur des grooves dance familiers et des paroles absurdes qui pourraient être provocantes mais ne fédèrent que très peu. « Donatella » peint le portrait d’une mannequin narcissique, superficielle, avec des paroles comme « Je suis une (juron) riche, je suis de la classe supérieure… je fume des Malboro rouges et bois du champagne. » Il n’y a pas ici de narration, et bien que le groove électro soit plein d’énergie, la déconnexion avec les paroles le fait tomber à plat. « Jewels N Drugs » inclus T.I., Too Short et Twista, et les rappeurs sont la partie la plus intéressante de cette ode pseudo-gangsta à l’amour pour le commerce de drogue – ce qui en dit long. Ca sonne ridicule avec Gaga entonnant : « Bijoux et drogues, joue de l’arnaque, étouffes-les, si tu veux être mauvais, rien ne remplace la famille, nous savons comment faire de l’argent. » Clairement, Pusha T et Rick Ross ne subissent aucune compétition concernant le business de la drogue. « Sexxx Dreams » est un apparent fantasme entre filles qui est remarquablement anti-sexy grâce au flot sans imagination de Gaga : « Je pensais à toi, ça fait plus mal que je ne peux le dire, et c’était plutôt cochon, toute la nuit, et la manière dont tu me regardais, au secours. » Oui, du secours est définitivement nécessaire sur ce morceau (c’est comme si elle n’avait jamais écouté une chanson de Prince). R. Kelly lui apprend quelque chose sur le sexy (et de manière surprenante pas complètement grossièrement) lorsqu’il apparait sur l’un des quelques rayons de soleil de l’album : le groove mid-tempo « Do What You Want ». Mais de là, l’album dévie vers un nouveau faux-pas avec l’insultant « Swine ». Les quelques moments qui résonnent sont ceux où il semble que nous entendions quelque chose qui nous donne la véritable émotion de Gaga, ou Stefani Germanotta. Sur la balade mélancolique « Dope », Gaga prend son essor alors qu’elle admet ses échecs mais supplie pour une chance de plus de la part de celui qu’elle aime, chantant, « J’ai plus besoin de toi que de la drogue. » C’est puissant et touchant, et atteint véritablement le cœur. « Gypsy » est une autre chanson forte, où Gaga explique son amour pour la vie tourbillonnante en tournée à quelqu’un qui veut la voir de manière sédentaire. « Je ne veux pas être seule pour toujours mais je peux l’être ce soir, » chante-t-elle. Mais nous avons rarement ce genre de sentiment sincère. Au lieu de ça, « Artpop » exploite des thèmes familiers déjà entendus sur « Born This Way » et « The Fame », et cela sonne comme quelqu’un qui est collé au même niveau artistique – ironiquement, étant donné à quel point Gaga veut être vue comme une artiste. Au final, « Artpop » est une pièce de pop art qui échoue dans sa mission. Source |
Afficher le spoiler: Billboard - Note 84/100 | SelectionnerOuvrir> |
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Voir l’article en version originale : Billboard Pendant que la plupart des artistes normaux se soucient profondément des détails de leur musique ainsi que la manière dont celle-ci sera présentée au monde, Lady Gaga est l’artiste travaillant le plus dans le milieu de la pop car elle veut être certaine que toutes les pièces de son travail évoluent et innovent. Son premier tube, « Just Dance », est une construction habile sur le fait d’être délirant et bourré tout en enchaînant une solide soirée; parce que c’est fait de manière électro-pop jam, cette intelligence était destinée à un grand public. Depuis, Gaga a fait tout ce qui était en son pouvoir pour changer la pop musique en un lieu de découvertes qui va au-delà de l’argent comptant, avec un audacieux choix vestimentaire, en passant d’une multiplication de lives, à des collaborations artistiques, à son engagement culturel allant bien plus loin que la transition d’un couplet à un refrain. Quand Gaga a voulu annoncer un mouvement social, elle a ciblé son premier single « Born This Way » sur les droits LGBT; quand elle a voulu affranchir les ignorants sur la magie de Jeff Koons, elle a embauché l’artiste de renommée mondiale pour créer une réplique nue de son personnage de « The Fame » pour la couverture de son dernier album. Bien entendu, il y a des moments où le simple plaisir d’un couplet et d’un refrain est suffisant pour satisfaire, mais Gaga a toujours voulu plus — et quand elle a trouvé le succès, elle a confirmé sa réussite comme jamais aucun artiste ne l’avait même sentie. « ARTPOP », le successeur de « Born This Way », demeure naturellement avec cette ambition profonde de vouloir repenser « l’album pop3 comme une entité, encore plus que l’a fait le dernier album de Lady Gaga. Ce n’est pas surprenant qu’ARTPOP soit combiné à une application interactive mixant musique, art, mode et technologie, puisque c’est précisément ce qu’ ARTPOP essaye de réaliser ; Gaga saisit les bibelots culturels comme jamais, et veut les synthétiser avec une déclaration hallucinante de 15 chansons. Quand Gaga équilibre ses conceptions lunaires avec une composition dynamique – lorsqu’elle mixe brillement l’art’ avec la ‘pop’, si vous voulez — les résultats sont souvent euphoriques. « Dope » et « Gypsy » sont d’irrésistibles récits de l’enfer et du paradis sur la seconde moitié de l’album, et lorsqu’à mi-chemin s’installent le séduisant « Sex Dreams », le turbulent « Jewels n’ Drugs », l’effervescent « MANiCURE » et le glissant « Do What U Want », c’est une longue expérience d’écoute qu’aucun fan de pop n’entendra cette année. Bien sûr, certaines des pistes les plus alambiquées bafouillent avant que Gaga ne puisse mener à bien sa vision, mais même les plus faibles moments d’ « ARTPOP » sont si minutieusement construits et ardemment imaginés qu’on ne peut s’empêcher d’admirer l’effort. Captant de manière cohérente le R&B, la techno, le disco et la musique rock en tant qu’artiste pop, tout en parlant de sexe, de drogues, de luxure, de Dieu, de succès et de créativité, Lady Gaga a offert à ce jour à ses fans son album le plus diversifié musicalement. « ARTPOP » est imparfait, tout comme l’est sa créatrice. C’est un album compliqué qui doit être applaudi (jeu de mot intentionnel) pour inspirer l’interprétation, tout en disant aux fans que c’est toujours bon de simplement danser. Quelles chansons d’ARTPOP sont nos préférées? Voici un résumé titre après titre du dernier album de Lady Gaga. 1 – Aura Deux ans après avoir donné le coup d’envoi de « Born This Way » avec l’inspirant « Marry The Night », Gaga commence « ARTPOP » avec un voile exotique, en rapprochant la culture musulmane aux pièges de son fameux style de vie. « La pop star énigmatique est marrante, elle porte une burqa pour la mode / Ce n’est pas tant une déclaration qu’un geste de passion, » crache Gaga dans une chanson qui positionne « ARTPOP » comme un album avec d’ambitieuses idées et des passages électroniques casse-cou. 2 – Venus Un mash-up d’astrologie, de mythologie romaine et de sexe, « Venus » est la première chanson produite par Gaga elle-même, et exploite un groove disco et gluant que la chanteuse exploite pleinement dans le pré-refrain cuivré. Le second single planifié d’ « ARTPOP », remplacé par « Do What U Want », « Venus » rate sa cible sur certaines de ses ambigüités (« Vous êtes hors de ce monde / de cette galaxie, de cet espace et de ce temps! » crie Gaga), et plus particulièrement sur l’outro intergalactique ; et encore, il est facile d’identifier la passion de Gaga pour le concept, et elle tente de faire de son mieux pour s’en tirer. 3 – G.U.Y. Après avoir décollé pour un paradis sensuel avec « Venus », Gaga revient sur Terre avec « GUY » (qui signifie « Girl Under You », « Fille au-dessous de toi »), une sirène dance frissonnante qui fait la distinction entre l’égalité des sexes et la soumission sexuelle volontaire. La production de Zedd met le feu aux poudres et fait fourmiller de provocations les paroles de Gaga, et le coup de poing du hook martèle le message pour créer le premier vrai morceau remarquable de « ARTPOP ». 4 – Sex Dreams Et c’est ici que la sexualité et les plaisirs des synthés pop de « ARTPOP » fleurissent pleinement: « Sex Dreams » dans lequel Gaga pose en équilibre une relation qui se désagrège et un fantasme lascif, et jongle même avec l’esthétique couleur pastel des années 80 et une analyse classée X de désirs non exprimés. A la conclusion «Je ne peux pas croire que je te dise ça … », Gaga semble libre et légère, laissant son public tournoyer sur la piste de danse. 5 – Jewels n’ Drugs (feat. T.I., Too $hort and Twista) La transition entre l’éblouissant « Sex Dreams » et T.I frappant sa poitrine au début de « Jewels n’ Drugs » est plus qu’un peu discordante, et le sommet hip hop assisté de Gaga existe dans son propre monde crasseux sur «ARTPOP». Bravo à Gaga pour avoir réfracté son dernier conte sur l’addiction à la célébrité à travers le prisme du hip-hop, et d’avoir touché un vétéran de classe mondiale comme Twista pour aider à faire le travail. 6. MANiCURE Un choix évident pour un futur single, l’entrainant « MANiCURE » offre tout ce qu’un fan de pop désirant un nouveau « Pokerface » peut vouloir. Avec un refrain qui est greffé dans le cerveau de l’auditeur après une seule écoute, les double-sens provenant des cris de « MAN! CURE! » et un arrangement coloré mis en évidence par une dépression de guitare funk, cette ode aux profits superficiels honore le haut plafond des hits de Gaga. 7 – Do What U Want Ce duo avec R. Kelly n’a jamais été censé être un single avant la sortie de « ARTPOP », mais le morceau sombrement éclairé de synthé-n-B a explosé lors de sa sortie, et les plans ont rapidement changé. L’aspect le plus surprenant de « Do What U Want » est que les gémissements de Gaga et la manière romantique de chanter de Kelly vont parfaitement ensemble – de la demande d’ouverture du micro du vétéran de la soul aux cris de Gaga à la fin de la chanson, le duo a conçu un plan spécifique pour leur collaboration théâtrale, et ils l’exécutent de manière efficace. 8. ARTPOP « Mon ARTPOP pourrait vouloir tout dire », chante Gaga sur la chanson-titre de l’album, en ajoutant plus tard « Viens à moi, sans tes sous-entendus et tes fantasmes. » Gaga est une artiste qui crée pour la création, et c’est son manifeste, mis en place par une bête electro-jazz qui devient de plus en plus sauvage à chaque seconde qui passe. 9. Swine Gaga transporte ses auditeurs dans un coin colérique de son esprit pour le morceau criant et industriel « Swine ». La chanteuse semble physiquement dégoutée alors qu’elle éjecte de sa vie un « animal », et les claviers hurlant concoctent un sens du chaos alors qu’elle peste contre le porc anonyme. « Swine » n’est pas aussi accessible ou intelligemment écrit que les autres morceaux d’ « ARTPOP », mais au fur et à mesure, il devient fascinant. 10. Donatella Emmenant les fans de pop en virée dans le monde de la mode et cadrant ses vues sur l’une des plus fortes figures de ce milieu, Gaga fait de « Donatella » un hymne pour les marginaux qui ont le droit de se sentir beaux. Contrairement à « G.U.Y. », le travail de production de Zedd n’hypnotise pas complétement ici, mais comme la chanson précédente d’ « ARTPOP », Gaga embrasse ostensiblement le concept avec sincérité. 11. Fashion! Peut-être le plus direct sur « ARTPOP », « Fashion! » est un retour au poing levé qui n’a pas peur de mettre en valeur sa théâtralité et d’exalter le processus « d’être beau et se sentir bien ». Un partenaire inoffensif à « Donatella » sur la liste des titres, « Fashion! » souligne une fois encore l’idée que l’impact de Gaga sur la culture s’étend bien au-delà du monde de la musique. 12. Mary Jane Holland Au-delà des références au cannabis et la concentration sur l’intensité des rythmes vrombissants qui les soulignent — « Mary Jane Holland » permet à Gaga de s’essayer à une mer de rythmes boueux, qui finissent par se retirer et flotter sur la confession « Je sais que maman et papa pensent je suis une épave / Mais ce n’est pas grave car je suis riche comme la pisse ». Cherchant des réponses sous la forme d’une nouvelle identité, la voix de Gaga survit assez longtemps pour durer plus longtemps que la tempête d’electro-dance music (EDM). 13. Dope « Mary Jane Holland » faisait allusion à la dépendance avec la phrase « je t’aime, je t’aime plus que … mon plus sombre péché», et sur l’excellent « Dope », les drogues équivalent à la seule chose dont Gaga a le plus besoin… autre que l’homme qui pourrait lui sauver la vie. La ballade est construite d’une manière qui rappelle un spectacle de Broadway, mais les sons électroniques pulsant sous les percussions basent aussi la chanson dans la pop contemporaine. Gaga semble cassée ici, et l’effet est blessant et brillant. 14. Gypsy Ce n’est pas grave si vous essayez de résister aux frissons qui descendent sur votre colonne vertébrale au cours de cet hymne épique à la navigation sur une route inconnue et aux instincts de confiance – sachez juste que c’est beaucoup plus amusant de se laisser aller et de vous lâcher. « Je ne veux pas être seule pour toujours… mais je peux l’être ce soir, » glisse Gaga dans le refrain de cette chanson, qui exploite la palette de rock classique de l’album « Born This Way » et prend de la confiance en allant vers la fin de la chanson. 15. Applause Gaga a dit qu’elle envisageait de jouer « ARTPOP » du début à la fin en concert, et si c’est le cas, le premier single « Applause » fera un rappel assez excitant. Les couplets sont encore un peu maladroits, mais le hook est encore plus dansant après avoir été digéré des douzaines de fois dans le Top 40 à la radio. Comme toujours, Gaga a tourné une idée ambitieuse en un jingle pour les masses. |
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Lady Gaga est au sommet lorsqu’elle joue la reine néon des marginaux du monde entier. Et à force d’une patience constante, ses Petits Monstres ont rempli le plus grand chapiteau de la pop moderne. Mais dans les cinq années depuis l’arrivée de Stefani Germanotta, bizarre est devenue la tendance qui a de manière écrasante nourrie la pop culture – des Tumblrs punk à American Horror Story. Alors pour que Gaga reste au top en 2013, elle doit continuer à faire fonctionner la machine folle. Pour le meilleur et pour le pire, Artpop accompli son mandat. C’est un album bizarre de musique disco marécageuse (avec une grosse poignée d’incursion dans le R&B), qui aspire à lier la galerie de la culture et le paradis des radios, en préférant les concepts aux refrains. C’est sexuel mais pas sexy, remplit de créateurs de mode méchants et de jeux de mots comme « Uranus / Don’t you know my ass is famous ? » et « Touch me, touch me, don’t be sweet / Love me, love me, please retweet. » Gaga veut nous faire croire que le disque a été inspiré par Marina Abramovic, Jeff Koons et Sandro Botticelli ; au meilleur de lui-même, il semble plutôt créativement réalisé par Ru Paul, Dr. Ruth, et Beavis et Butt-Head. Artpop s’ouvre avec quatre morceaux de lancinants sexe future / sons d’amour (NdT : jeu de mot sur l’album de Justin Timberlake : FutureSex/LoveSounds) où Gaga fait serment d’étaler ses intentions, et son corps, nus. Elle utilise l’humour malin d’une drag queen sur le voyage intergalactique « Venus », examine le sexe et le pouvoir dans le gotique « G.U.Y. » (qui signifie « girl under you », « fille en-dessous de toi », et courtise un(e) amant(e) dont « le petit-ami est absent ce weekend » sur le sexy « Sexxx Dreams ». Oui, nous pouvons lire son visage impassible. Mais juste quand Artpop entre dans le groove de la pop & B high-tech, ses impulsions créatives volent en éclat. Elle joue la fille qui lance le hook pour l’auto-parodique chanson gangsta « Jewels N’ Drugs » avec Too $hort, Twista et T.I. et plonge dans ses propres jeux de mots mièvres sur le glamour « MANiCURE ». « Dope », produite par Rick Rubin, est une balade pompeuse sur les pentes glissantes de la romance et des drogues qui cherche du côté d’Elton John et s’écrase au sol à côté de Meat Loaf. Les précédents albums de Gaga – l’électro-pop de 2008 The Fame et sa suite brillante The Fame Monster, et l’inventif et nostalgique Born This Way de 2011 – étaient largement le résultat d’un partenariat avec les producteurs RedOne et Fernando Garibay. Paul « DJ White Shadow » Blair a travaillé sur la plus grande partie d’Artpop, mais il y a une pile de noms dans les crédits incluant Zedd, Madeon, David Guetta, Infected Mushrooms et Will.i.am. Ses deux dernières années, Gaga s’est séparée de ses stylistes / chorégraphes et managers de longue date et a annulé une tournée mondiale pour se remettre d’une sérieuse blessure à la hanche. Artpop pourrait-il être une distraction pour cacher les drames derrière le rideau ? Ironiquement, Gaga rattrape son disque avec deux morceaux qui se débarrasse des artifices en faveur de sentiments honnêtes : « Do What You Want », un spectaculaire duo grognant et groovy avec R. Kelly ; et « Gypsy », un hymne dans le style des années 80 où Gaga admet son amour de la performance et son amour pour les disputes amoureuses régulières. « Je ne veux pas être seule pour toujours mais j’aime ma vie de gitane, » chante-t-elle sans s’abandonner. Aucun des morceaux n’est subtil, mais ils fonctionnent car ils ne sont pas nés du concept frileux que l’art et la pop ont besoin d’un mariage arrangé pour avoir du boulot. |
hard le parisien
Aie.
Enfin ça ne m’étonne guère… La France déteste Gaga…
Je ne tiens pas compte du tout de ces critiques… je ne vois jamais le temps passer quand j’écoute ARTPOP. Les 59 minutes défilent et je ne peux m’empêcher de m’imaginer à la place de Gaga en chantant à tue tête…
Gaga n’a pas été comprise avec BTW qui avait un message très fort!
Gaga n’est tjr pas comprise avec ARTPOP.
Il faut se faire une raison. Gaga ne fera jamais l’unanimité, mais n’est ce pas à ça qu’on reconnait une bonne artiste?!
« Lady Gaga semble à la traîne, courant après une couronne qu’elle a perdue, »
Nous verrons qui va courir quand les ventes d’albums feront surface, les français sont pathétiques, quand il s’agit de faire des critiques sur Rihanna qui n’écrit et ne produit rien ils sont très fort!.
Au moins les USA ont de bien meilleurs goûts et sont moins prétentieux que les français, au pire on s’en fou de la France, les titres marchent bien aux USA et partout en Europe et même en Asie, c’est le principal!
oui mais du coup elle fera moins de concerts en France, déjà qu’elle en a fait que deux (en réalité 3 avec le flop de nice) la derniere tournée :/
Je suis Belge de toute façon. ^^
Et bien, … c’est souvent « douloureux » toutes ces critiques …. Assez dures ces critiques, car l’album est BON.
Merci pour cette article. Au final certaines critiques ne sont pas trop mal comparer a d’autre qui sont simplement exagerer. e suis bien d’accord avec Le Nouvelle Obs
Les critiques avec Gaga ne cessent d’être au fil du temps mais on s’en moque j’ai envie de dire. Quand on lit des critiques telles que « Ne pas écouter ARTPOP car elle ressuscite R Kelly » ou « elle a écrit ARTPOP en 10 minutes » c’est simplement stupide. Déjà il est humainement impossible d’écrire 15 titres en 10 minutes. Qu’elle collabore avec qui elle veut, il représente parfaitement le message de la chanson :
Crachez sur nous, on s’en fout. ARTPOP est plus apprécié que BORN THIS WAY et elle est plus diffusée en radios, tant mieux pour elle.
Pour prendre un exemple, vous avez d’un côté les petits journalistes dans leurs bureaux et d’un autre Cher qui reconnait le travail de LG sur cet album. Quoiqu’ils en disent, c’est un très bon disque et on les emmerde.
Je suis plutôt d’accord avec toutes ces critiques. C’est vrai qu’on a un peu du mal a trouver la partie ART dans les musiques, et les mélodies et la voix de Gaga sont souvent masqués par les beats (par exemple pour DWYW, le beat est assez dérangeant, j’aurais plutôt mis de la batterie, comme avait fait Daft Punk pour son dernière album, je trouve que ça allège le son et ça le rend plus naturelle). A chaque fois que j’écoute l’album en entier, à la fin j’ai l’impression d’avoir la migraine. Et puis malheureusement je ne retrouve pas les sonorités 3D dont elle nous avait parlé et pourtant j’écoute l’album avec un casque de bonne qualité. Cependant je trouve l’album bon, avec des musiques efficaces, entêtantes et parfois originales.
euh:
1° …je croit pas vraiment que la partie art soit dans la musique… Je veux dire, je m’attendais vraiment pas a voir un album RÉVOLUTIONNAIRE et ARTISTIQUE mais juste de la bonne musique (et je pense avoir bien fait)… Le coté art ne sera que dans les visuels qui seront proposés en parallèle… c’est vraiment dommage que certaines personnes ne l’ai toujours pas compris et sont donc forcément déçu par la musique …
2°le coup de la 3D n’a jamais été confirmé… c’est juste des fans qui on un jour lancer des rumeurs sur les LM.com et tout le monde c’est emballé pour au final juste de la déception…
Oui mais quand Gaga a dit qu’ARTPOP serai plus artistique, elle ne parlait pas seulement de l’album et elle l’a dit ARTPOP : « ce n’est pas qu’un album » et justement pour moi le côté artistique c’est la cover, ces apparitions, l’artRave, l’appli etc.. Le problème c’est que ça les médias ne l’ont pas compris..
Pourquoi les médias français détestent-ils Gaga :(
Et après ils osent faire de bonnes critiques sur katy perry et rihanna… Y’a de quoi s’inquiéter !
Les critiques ne sont pa très bonnes ^^
C’est simple ce que les gens reproche à gaga c’est d’être trop différent des autres… Ils veulent juste une chanson complètement banal comme ROAR (oui désolé je la trouve hyper fade comparé à ces autres singles) ou du Rihanna…. Bref ce que les journalistes français recherche c’est des chansons comme Bad romance, gypsy, poker face, do what u whant ou encore just dance…. Toute ces chansons sont excellente voir parfaite mais c’est pas très original contrairement à Venus qui est hyper critiqué
Oui voilà c’est exactement ça ! C’est d’ailleurs assez amusant de voir comment ils sont tous là à prôner Do What U Want, qui est, une bonne chanson certes, mais quand même la chanson la plus facile, la plus accessible, et la plus radio-friendly de l’album. Honnêtement dans mon entourage c’est une des moins appréciée parce que justement elle paraît un peu « fade » confrontée au reste. Je ne comprends pas pourquoi tous ces médias veulent absolument changer la musique de Gaga, alors que c’est justement CA sa musique, quelque chose d’excentrique, qui part un peu dans tout les sens, qui nous étonne… Eux ils attendent des Roar, Call Me Maybe ou autre, alors forcément la pilule passe mal.
Mais quels connards… Désolé d’utiliser un terme vulgaire sur votre site Gagavision, mais là y a pas d’autres mots. Et on appelle ca des journalistes ? Donner des avis subjectif en déformant la réalité, en ne donnat pas toutes les informations, j’appelle ca du foutage de gueule, et de la critique facile visant à détruire quelqu’un. Ca ne m’étonne pas de la part des journalistes francais, ils détestent toujours autant Gaga.
Un vrai journaliste donnerait des informations objectives et complètes. Par exemple, l’article du Parisien, au lieu de dire que les photos du livret n’ont rien d’artistiques, que ce ne sont que des photos d’elle nue, ils devraient peut être penser à chercher ce que signifient ces photos, ils sauraient alors que ce sont les photos prises par Jeff Koons quand il étudiait la pose que Gaga aurait sur sa sculpture !
Ca me dégoute, et ca me dégoute encore plus parce que ces critiques ont de l’importance, on a beau dire qu’on s’en fout, ces critiques seront lues par des milliers de gens qui ne sont pas forcément fans de Gaga, et qui se laisseront tromper, et qui auront du coup une image faussée de Gaga. Tout ca est triste, quel monde de merde…
Ce sont des critiques et non des articles… ils ont le droit de donner leurs avis !! (même si très négatifs…)
Désolé mais une critique rédigée par un professionnel se doit d’être objective et n’est en aucun cas un avis personnel
« ils devraient peut être penser à chercher ce que signifient ces photos, ils sauraient alors que ce sont les photos prises par Jeff Koons quand il étudiait la pose que Gaga aurait sur sa sculpture ! »
C’est vrai que c’est très artistique…
UNDERPROW -> Les photos prisent par Jeff Koons ont un interêt artistique, désolé d’insister. Elles résultent d’une démarche artistique. Je suis en fac d’Arts Appliqués, je pense que je peux me permettre d’affirmer ca. L’aspect visuel ne définit pas si une chose est artistique ou non, regarde les monochromatiques bleus de je-sais-plus-qui, c’est des immenses tableaux avec uniquement du bleu, sans nuances, sans rien, juste du bleu uni, et pourtant c’est de l’art, parce qu’il y a une démarche artistique et le désir de créer une oeuvre qui provoque (au sens large du terme) le spectateur.
Totalement d’accord avec toi. Et il me semble qu’il s’agisse du bleu de Klein ^^
D’année en Année d’album en album les critique sont toujours la ! mais les fan revienne encore plus nombreux a chaque foit !! chui au lycée et artpop plais beaucoup applause plais beaucoup aussi en en parle de gaga entre potes et les critique sont souvent mauvaise et le font expret pour etre lu car ils save quon va lire pour la défendre et ils raporte des sous !!
puis en france on prefere avoir de limportance pour une bimbo qui cris allo a chaque phrases !!! qu’au star americaine qui font des cho enorme en france (surtout gaga ;) ) qui a la fin sont enlever de youtube pour droit d’auteur! aussi les nrj muic awards truquer car se qui remporte ses ceux qui sont present lors de la soirée donc faut pas s’étonner !!! les star gaga vienne plus en france et artop est plutot tres bon et plairais
Quand je vois certaines critiques, je me demande si c’est des haters ou des journalistes qui font les articles…
Personnellement, les critiques médias de l’album ne m’intéresse pas, je préfère faire mon propre avis sur l’album.
Après la déception de BTW, pour ne pas perdre la confiance des Radio, le grand public elle devait revenir avec un album et des chansons plus « commerciale/simple ».
Je trouve que l’album a de nombreuses chansons qui suivent BTW, surtout dans les productions, mais aussi des morceaux plus « simple » tel que « DWUW, Applause.. » je ne sais pas à quoi certains s’attendaient.. Mais je trouve l’album plutôt bon.
J’espère qu’il fera de très bonnes ventes sur la durée :)
Comme je l’ai dit j’ai vraiment été fort dégoûté part certains critiques qui sont juste méchant, et critique aussi facilement. Sérieusement puisse « Le Parisien » faire faillite ! Je leurs souhaite de tout coeurs et les personnes qui commentent sur Charts in France qu’on puisse être aussi méchant vers eux comme ils le sont. Désolé, mais voilà quoi … C’est quoi cette méchanceté gratuite ainsi ? Les français sont tous (je parle d’eux) des gros critiqueurs, toujours vouloir rabaisser et carrément détruire ! Pfff ARTPOP à des défauts, oui il n’est pas parfait, mais il est vraiment bon ! Le concept de l’album est vraiment bien recherché, Gaga elle gère elle est beaucoup plus humaine tout en étant la Gaga folle et créative et j’aime ça. Faut même plus lire toutes ces critiques qui ont aucune valeur ! STOP THE DRAMA START THE MUSIC !
Bien, personnellement j’ai écrit un message à « Le Parisien ». Je n’aurait peut être jamais de réponse, et ca changera surement rien, mais je tenais à montrer mon mécontentement. J’ai bien sûr veiller à ne pas me comporter en fan enragé, j’ai argumenté pour dénoncer le manifeste manque de professionnalisme de certains journalistes
Quelle honte pour ces journaux de laisser ces pseudo journalistes rédiger des articles aussi haineux et stupide à l’égard d’un album que des millions de fans adorent déjà !
Je crois que la palme d’or de la stupidité revient aux critiques du Figaro et de France Info. Franchement, il faut être d’une ignorance abyssale et d’une inculture absolue pour écrire ce genre de brouillon ! On est même plus dans la critique objective, mais dans l’insulte systématique et gratuite !
Comment peut-on rédiger des trucs pareils où la bêtise haineuse se confond à chaque phrase avec la médiocrité. Pourquoi tant de haine ? Faudrait-il donc protéger à ce point les niaiseries musicales françaises de la concurrence internationale ? En fait, je pense qu’ils n’acceptent pas que cette artiste qu’ils qualifient de façon péjorative d’excentrique, voir de déjantée, soit l’une des femmes les plus puissantes et influentes du monde. Ils ne veulent pas reconnaître son incroyable talent d’auteur-compositeur, de véritable musicienne capable d’émouvoir et de subjuguer des salles entières avec uniquement un piano et sa voix…
+100000000000000000000 la jalousie tu sait… Ça mène loin parfois… :)
Ca fait redescendre sur terre des critiques comme ça !
Tout pas faux dans ces critiques. C’est quand même vrai qu’on entend assez mal la voix de Gaga dans la plus part des titres et pourtant ça devrait être la base.
Je lis l’introduction du parisien, ça me suffit déjà pour m’énerver. Je ne lirai pas la suite, j’ai envie de rester calme ce soir. (le pire c’est si vous allez sur les sites et lisez les commentaires des gens)
On s’en fou des critiques ! Tout le monde aime artpop dans ma classe ahah :D Vive Gaga vive les monsters!
Non mais je ris de lire certains de vos commentaires. La plupart des critiques présentes dans l’article sont signées par des gens dont c’est le métier et travaillant dans les plus grands médias français (le figaro, le parisien, le nouvel obs) qui savent de quoi ils parlent!
Certes c’est leur critique personnelle mais il faut aussi admettre qu’avec des années d’expérience ils ont de la matière sur laquelle se baser.
Si l’album était si bon que ça il serait toujours numéro un et les singles seraient TOUS dans le top 10 depuis leur sortie, ce n’est pas le cas, les chiffres ne sont pas catastrophiques loin de là, mais Lady GAGA ne vendra jamais plus autant qu’avec Bad Romance ou Just Dance qui sont pour le grand public les 2 grandes chansons de Gaga. C’est frustrant au début puis en tant que fan on s’y fait, c’est arrivé à Britney et Madonna qui ont des numéros 1 de temps en temps, alors certes beaucoup plus tôt dans leur carrière, mais ce qui a permis à Lady Gaga d’être partout, à savoir les réseaux sociaux, sont apparence, son style, ses frasques, ainsi que sa constante provoc lui valent maintenant un ras le bol du grand public. Elle aura toujours une fanbase présente, comme Britney par exemple (qui malgré ce que la plupart des gens pensent est loin d’être finie) mais ne remplira plus de stades comme elle a pu le faire sur certaines dates du born this way ball et ses tournées auront plus de mal à se vendre, comme pour Britney.
Je cite beaucoup Britney mais c’est que je trouve que dans le fond, l’exemple est le bon, elles ne font pas la même chose et n’ont pas la même volonté ni le même message dans leur travail.
Cependant, Britney est toujours là 16 ans après parce qu’elle n’a pas saoulé les gens avec des histoires à dormir debout comme par exemple la création de l’ARTPOP qui n’est ni plus ni moins qu’une incompréhension du Pop Art clairement.
Vous allez voir, au début c’est pas évident de voir que la chanteuse qu’on admire et aime n’est plus numéro 1 partout et est très critiquée, c’est ce qui est arrivé avec Britney dont je suis fan depuis longemps, mais à force on s’habitue et comme dirait Gaga, on ne s’intéresse qu’à la musique au final. Work Bitch a floppé d’un point de vue des ventes et Perfume aussi mais très peu de personnes sur Exhale (le plus gros forum de Fans de Britney pour l’info) ne pète les plombs sur des critiques négatives ou des chiffres décevant, mais tout le monde est heureux que Britney ait produit un travail qui lui plait et qu’elle ait l’air d’aller bien.
Vous n’avez pas l’air de vous soucier autant de ça en ce qui concerne Gaga qu’elle semble le vouloir. Alors certes sont concept tiré par les cheveux de ARTPOP ne tient pas debout du’n point de vue plastique et ne prend pas sur le grand public, mais elle aime ce qu’elle fait et au final c’est le plus important. :)
Non mais je crois que tu ne lis pas beaucoup les articles sur GGV ou sur GGD. Cela fait 13 semaines que « Applause » est dans le top 10 de Billboard et « Dope » est aussi dans le top 10 de ce même classement, donc voila, qui fait ça aujourd’hui ???
Le deuxième single de Katy Perry est un échec, et les nouveaux de Rihanna ne marchent pas aussi bien qu’avant. Pour Britney, elle est plus connue pour sa vie privée que pour ses chansons, bien la carrière –« .
GaGa a encore plein de choses sous la main et je suis sûre que cette nouvelle l’ère
sera à la hauteur de toute les autres. Les critiques ne sont absolument pas objectives, et ils ne donnent que leur avis personnel au lieu de ce concentrer sur l’essentiel. C’est facile de critiquer, mais je doute qu’ils écrivent un album du niveau de GaGa si les rôles étaient inversés. Ils disent que l’album est nul et que c’était mieux avant ??? Mais si GaGa avait fait les mêmes choses qu’avant ils auraient été les premiers à dire que GaGa n’innove plus et qu’elle fait toujours la même chose, alors il faut arrêter un peu de se foutre du monde, ils n’y connaissent rien en musique et ne voient pas plus loin de leur bout du nez.
Certes les ventes ne sont pas celles de BTW, mais BTW c’est vendu très très bien au départ et après il a plongé dans les charts, alors il vaut mieux un album qui se vend sur la durée, qu’un album qui se vend comme BTW.
Mon gros problème avec ARTPOP c’est la destruction totale et définitivement de la voix de Gaga. Donatella, sérieux, le refrain, c’est digne d’une Britney Spears avec sa voix qui s’est transformée depuis Scream&Shout.
Et pourquoi faire des instrumentals si lourdes ? Elle avait déjà ouvert cette brèche dans Born This Way, là elle s’y est engouffrée.
J’aime bien le dynamisme de la musique, je n’en attendais pas moins, mais il y a moyen de rendre tout l’album bien moins « touffu » en son. On s’y perd, c’est dommage.
Ce que je crains le plus pour Gaga va se produire : l’album ARTPOP suit l’échec de Born This Way.
Ne croyez pas que je suis un hater, je suis plus que fan de Gaga et j’écouterai ARTPOP car j’aime sa musique pour la personne qu’elle est, le personnage qu’elle joue, qu’elle incarne, son univers, sa fantaisie etc. Mais là où elle s’épanouit niveau technologie, art (sculpture etc), mode, tendances et recherche artistique, on voit que la musique, la performance vocale et scénique se sont éclipsées. Pour apprécier du Gaga, il faut la connaître. Ce qu’elle montre à la télévision ou sur son album ne sont plus suffisants.
C’est exactement l’opinion que je me fais de l’album. L’écoute a pour moi été éprouvante, même si 3 titres sortent du lot.
Tu m’étonnes que Gaga a dit précédemment de ne pas s’attarder sur les critiques musicales. Elle devait s’attendre à ce genre de verdict. Jamais vu un tel déferlement de mauvaises critiques. Et malheureusement, pour moi, c’est justifié.
C’est très mal parti pour être l’album du millénaire, comme elle l’affirmait avec son éternelle modestie.
Vous me faites tous assez rire à vous focaliser sur ladite incompétence des journalistes français. Faut vraiment avoir des œillères pour ne pas voir que la presse étrangère fait également les mêmes critiques…
Et quand je vois certains dire que Lady Gaga n’est pas comprise car elle n’est pas commerciale… risible. Il n’y a pas plus aguicheur à l’heure actuelle que cet album. Elle a clairement voulu jouer la faciliter, il n’y a absolument rien d’expérimental contrairement à ce que laissaient entendre les communiqués. Bref pour moi ces critiques sont amplement méritées.
On a pas du lire la même presse étrangère…
@Wawa13 : « album du millénaire » elle se moquait d’elle-même lorsqu’elle disait que Born This Way serait l’album de la décennie!
Pour moi, les critiques je m’en fiche tant que l’album me plaît et que je l’écoute en boucle!
TaihinEletra tu es en fac d’Art et même pas capable de donner le nom de Klein alors que tu cite ses œuvres ?! On ne cite pas quand on ne connaît pas le nom de l’Artiste (règle pourtant très simple connue des étudiant d’Art Appliqué et d’Histoire de l’Art) – Un étudiant d’Histoire de l’Art. Sinon les critiques on sais très bien que ce n’est que des critiques, Born This Way s’est largement fait critiquer à ça n’a pas empêché les ventes d’exploser dans le monde !
C’est gentil de votre part de faire un recensement des critiques, mais je dois dire que je ne les lirai pas. Je ne me fies plus aux critiques depuis longtemps, surtout quand c’est Gaga ! Elle est dans une classe à part, elle fait quelque chose que jamais personne n’a fait au paravant (même pas Madonna). Gaga possède un talent inouïe et elle l’exprime d’une façon excentrique bien à elle, ce qui choque généralement le monde. Bref, pour moi, ARTPOP continue dans lignée de ses réussites.
Perso je peux comprendre une bonne partie des critiques, le concept de base de ARTPOP m’agace un peu, mais à côté de ça je trouve qu’il y a vraiment eu une recherche dans la manière de placer les pistes, l’album raconte une histoire qui suit la chronologie des titres.
Après, comme @Antoine l’a dit, on a clairement perdu en termes de voix, de recherche musicale et de prestations. L’album en soi me fait un peu penser à un mashup de tout ce qui s’est fait de mieux durant les deux dernières décennies, bien qu’il y ait quand même quelques titres vraiment recherchés et osés pour le tournant que prend la pop actuellement (Swine, Artpop et Aura en particulier). Les live sont moins recherchés également et la voix est noyée derrière l’instru et la piste vocale (même si à côté de ça j’ai adoré la prestation du Graham Norton Show ^^).
Bref pour moi l’album est génial, mais aurait pu être mieux avec les ajustements nécessaires et sans cette promo qui, pour les non initiés à Gaga, pourrait sembler très prétentieuse.
C’est drôle de voir comme les différentes critiques ne sont absolument pas d’accord! Elles perdent de leur crédibilité!
Donc d’après toi, des critiques sont crédibles que si elles vont toutes dans le même sens ? Il y a pour toi une définition incontestable de ce qui est bon et de ce qui ne l’est pas ?
Merci pour ton commentaire on-ne-peut plus intelligent.
Y’a une chose que GAGA fait mieux que Britney … ça .. suffit d’écouter .. alors les critiques négatives de certains journalistes … who cares ? !
http://youtu.be/UbjhL8sWAc0
Quel rapport avec Britney…. ? WTF ?
C’est vrai que les critiques ne sont pas toujours objectives. Et ce qui est très risible, ce sont les articles qui disent que l’album est décevant et plus bas, qu’il est futuriste etc. Qu’ils soient d’accord avec eux-mêmes parce que je suis plié en deux. Tout ça pour dire que si Gaga fait un concert en France, les places s’attacheront. Elle est appréciée chez nous, c’est juste qu’il existe des boulets de journaliste qui finissent par faire leur travail… très mal.
D’après toi, si un journaliste ne présente pas une opinion qui ne va pas dans ton sens, il fait très mal son travail ? Et puisque tu parles d’objectivité, quelle en est ta définition ? Comment peut-on dire « objectivement, cet album est bon » ou « objectivement, il ne l’est pas » ?
Alors là je dois reconnaître que je suis abasourdi à la lecture de certains commentaires du même type que le tien. C’est juste hallucinant (si ça peut te rassurer, t’es pas le seul …)
Leurs critiques sont écrites,par des stagiaires de toute façon les français sont des moutons il est de bon ton de taper sur Gaga donc ils le font quand gaga était adulée les papiers étaient positifs.
Je suis sur le cul, les critiques sont vachement rudes, et toujours cette comparaison avec Madonna, vraiment soûlant! Les journalistes français on vraiment une dent contre Gaga, je trouve ça limite quand même. Enfin bref, je m’en fous, ARTPOP je peux l’écouter en boucle sans jamais me lasser, c’est un vraiment très très bon album.
J’avoue avoir la même opinion que les critiques. Do What You Want et Artpop sont les 2 seuls titres dignes de figurer sur un album de superstar de la pop à forte prétention. Et encore ce n’est pas renversant mais correct. Tout le reste a bcp trop de défauts, paroles, mélodie, arrangements, interprétations ou les 4! Un disque bcp trop produit une fois de +, qui part dans tous les sens, fait mal à la tête et est trop souvent RINGARD : Venus, Jewels & Drugs, Fashion!, l’intro horrible de Applause. Pas de vrai gros tube, pas d’innovation, une com´ foireuse, tjs trop de looks, de buzz moisis, de provocation vulgaire… Non vraiment cette ère a tout faux, la magie n’est plus. Et on le voit dans les classements…
Euh les langues qui ne savent que critiquer…
Pourquoi vous écoutez ? Pourquoi vous venez sur le site ? Et pourquoi vous ne réussissez pas a tourner un peu la page ?
Mon avis : gaga comme tous autres chanteurs évolue
Vous aimez vous rester
Vous aimez pas … Bah d’un elle en a rien a foutre
De deux et je me répète passez a autre chose… Miley Cirus ou Rihanna
Moi ça me fait rire… C’est devenu à la mode de taper sur gaga, surtout en France. Je repense a Madonna en 2006 a la sortie de hard candy, les critiques l’avaient lynché. Et maintenant ils semblent nostalgiques de Madonna. Idem pour Michael Jackson, les histoires pas possibles sur lui pour finalement l’encensser en 2009. Bref, ok le concept artpop c’est du grand n’importe quoi mais bon tous ces gens devraient se déverrouiller le cerveau, picoler un peu et se laisser ensuite porter par artpop, ils comprendraient la force de cet album!
Se bourrer la tronche serait la solution … merci je vais essayer.
j’ai l’impression de lire les mêmes critique d’album en album à chaque fois c’est pareil:
elle pompe sur Madonna`
elle est moins bonne que Rihanna ou Katy Perry
elle ressort toujours la même chose
gaga est fini elle n’aura jamais la couronne après laquelle elle cours
Elle ne cours après aucune couronne Gaga fait ce qu’elle aime ce qui lui plait et elle exprime sa propre vision des choses
les photos de Jeff Koons sont belle je trouve même si elle est a poils c’est comme si son corps et l’art ne faisait qu’un elle ne se cache derrière aucun vêtement et ne se protège pas derrière un personnage c’est elle et l’Art qui fusionnent autrement dit ce que l’album exprime
Sa me fait rire de lire que les littles monsters l’aiment quoi qu’elle fasse et dise dans le genre « ses fans sont des moutons béni oui oui » c’est génial
pour ma part j’aime beaucoup Artpop je trouve qu’il est très entrainant et pour UNE fois sur un de ses album j’aime TOUTES les chansons
Sur BTW j’avais un peu de mal avec The Queen,Fashion of his love et Black Jesus
C’est maintenant en regardant en arrière que je trouve The Fame était un peut « commercial » mais c’était le but se faire connaître pour avoir sa place dans le monde de la musique et ensuite faire ce qu’elle veut (même si The Fame et The monster sont vraiment géniaux!)
Malgré tout j’espère que ces critiques seront fausse et comme dans Applause « To crash the critic saying is it right or is it wrong, »
Cest un bon album, pas le meilleur. Elle en a peut etre trop fait a nous dire que c etait l album de la decennie etc, du coup on s attendait à une veritable explosion . ( ce n est pas le cas )
Cela dit cest un bon album, frais, super pour danser.
Par contre impossible de l’ecouter d’une traite il est beaucoup trop bruyant ( migraine assurée )
En attendant Applause et Do What You Want n’arrête pas de monter dans les charts US et sa fait plaisir
Applause est #10 vs Roar #8
Do What You Want est #14 vs Unconditionaly #20
:))
Do What You Want est un tube mon père ma dit : « C’est ma chanson » quand elle est passé à la radio , quand je lui est dit que c’était Lady Gaga il a déplanne XD
Pour Mwa c l album que jattendai un album comme jamais j’ai écouté jaime.toute les musique alors que dans c précédent album certaine musiques ne me plaise pas plus que sa c sont seul album que je peut écouté en entier s’en change les piste telement chaque chonson son crée pour se succèdait L’une âpre lautre . Puis plusieur titre peuve devenir des single . Se que je veut dire c esque qune autre star pourrait nous donne un tel album .
Oui Rihanna, katy perry, miley et j’en passe, niveau album elle assure et quasi toute leur chanson peuvent etre des tube. Mais la force de lady gaga je pense c’est que elle compose c’est propre chanson, sont exentricité et que en live elle déchire (ce qui manque un peu a cette ère d’ailleur) Mais vraiment ce qui gache tout c’est qu’as chaque fois elle part dans des delire fou et dit n’importe quoi et sa devient lassant a force car les autre elle crie pas sur tout les toit qu’elle vont revolutioné la pop ect et c’est peut-etre pour sa qu’on est pas deçu après.. Bref Lady gaga si tu me lis suis t’es conseille STOP DRAMA STAR MUSIC.. ;)
Ce qui est con c’est qu’on dirais qu’ils aiment pas Gaga du tout même… encore moins au Québec. Pourtant je connais des personnes qui n’aime pas vraiment Gaga qui trouve que ARTPOP gère gravement et même l’ont acheter.. ils veulent seulement essayer de descendre Gaga au plus bas. L’album est super bien.
AURA la musique évoqué évidemment un film de… mais j’aime bien.
VÉNUS c’est ma chanson préférée de l’album, c’est lunaire, c’est mélodieux, j’adore avec un vrai travail sur les voix
G.U.Y. Pas mal par moment, un peu compliquée
SEXX DREAMS C’est Madonna qui parle, Kylie Minogue qui chante le refrain et qui fait la musique, par contre c’est bien Gaga dans les couplets.
JEWELS DREAMS C’est bien produit mais j’aime pas le rap
MANICURE J’aime beaucoup ce titre, c’est frais mais je regrette que ce ne soit pas la version simple de l’itunes festival
DO WHAT U WANT J’aime beaucoup, pour moi elle a voulu faire un espèce de grand mashup. La partie chantée de Gaga : on dirait que c’est Christina Aguilera qui chante, quand j’entend « My body » « if you break my heart » je pense direct à Mariah Carey et dans la prononciation de certaines phrases apparaît Mickaël Jackson. Pour la partie d’R Kelly, il y a les « Eh eh eh » qui évoquent direct Umbrella de Rihanna, et je pense aussi à « You Remind Me » de Usher pour certaines vibes.
ARTPOP « We Could Belong Together », zut ça m’évoque encore un titre de Carey et sinon un peu de Kylie dans le chant encore une fois
SWINE ça passe, thanks Courtney Love
DONATELLA I don’t care, i love it
FASHION Please Gaga, kill Madonna definitely
MARY JANE HOLLAND la chanson aurait pu être excellent mais elle gâchée par un effet « flanger » insupportable tout du long
DOPE Belle chanson qui fait ressortir ses graves mais j’aime quand elle force sa voix dans le nez
GYPSY J’adore, j’adore et j’adore avec le Tonight, rien de plus efficace pour faire un tube
APPLAUSE Todavia no esta muerte la Madonna ?
J’attends le jour ou elle nous fera un album avec sa personnalité d’un bout à l’autre, du théâtre, avec plus d’émotion, plus de subitilité. Elle peut avoir une voix incroyable notamment quand elle chante dans les graves. Je trouve dommage aussi qu’elle survende son travail. Et pour les interviews, elles devraient aussi accepter qu’on puisse lui formuler des critiques (je parle pas de Perrez).
On a quand même l’impression que certains journalistes ont pris un malin plaisir à descendre l’album! On voit clairement que c’est une critique de Gaga plus que de sa musique! Quand on voit la critique de Bilboard qui lui attribut quand même une très bonne note alors qu’ils ont été clairement déçus de son attitude au lancement d’Applause, on voit qu’ils n’ont tenu compte que de la musique!
J’avais beaucoup d’attente pour BTW et je n’avais pas été satisfait totalement parce qu’il manquait de fun ! Mais là je suis très content d’ ARTPOP, l’album est bien plus accessible (sauf 2 chansons), c’est juste de la pop version Gaga et vu que c’est la seule à ne pas bosser avec les producteurs du moment (sauf pour Fashion! mais une sur 15 ça va) comme les autres ben son album ne ressemble en rien à ce qui est sorti cette année! Et je ne trouve pas que les chansons soit trop produites contrairement à BTW… Bref je suis ravi j’ai un bon album pop entre les mains et je ne prend pas en compte ses discours sur l’art comme ça je n’ai que la musique!
Ben je suis plutôt d’accord avec les journalistes, l’album est franchement compliqué autant TFM excellent et BTW plutôt bon, mais la c’est franchement compliqué je vois pas le côté art si ce n’est que les photoshoot sont assez vulgaire mais ce n’ai pas un art juste une facilité pour choquer et faire parler mais peut importe gaga reste gaga sont album est plutôt compliqué il y a des musiques j’ai du en ecouter 1min et ça m’a gavé parceque j’accroche mais vraiment pas du tout, alors je pense qu’elle a pris un risque avec cette album autant il y a deux trois titres pas mal dedans mais loin d’être révolutionnaire, autant j’adore vraiment gaga, autant je n’aime pas son album…
Merci beaucoup pour la traduction de l’article par Bilboard car pour moi c’est celui qui va jusqu’au bout des choses et donc celui que j’attendais, et encore une fois une analyse complète chanson par chanson on ne pouvait pas demander mieux, ils ont le même avis que moi pour MANiCURE et G.U.Y pour les autres j’suis pas aller chercher aussi loin ;) et pour Dope je suis d’accord elle est complètement sublime ! Je suis enfaite entièrement d’accord avec eux ! Merci Bilboard enfin des personnes qui vont au bout contrairement aux autres qui recensent les points négatifs en passant à côté de la majorité de points positifs !
Marre et re-marre des médias ils arrivent toujours a le faire pleurer en racontant n’importe quoi
Si je peux me permettre GGV, vous n’avez pas posté la critique qui est de loin la plus intéressante au sujet d’ARTPOP sur le net. Je ne dis pas ça parce qu’elle est positive, mais parce qu’elle est la plus professionnelle (voir l’une des seules…).
Pour ceux qui comprennent l’anglais et qui voudraient la consulter, elle est à lire ici pour l’analyse et ici pour la critique :
ANALYSE http://eqmusicblog.com/an-analysis-of-artpop/
CRITIQUE http://eqmusicblog.com/album-review-artpop-by-lady-gaga/
La critique du Parisien peut bien être mauvaise ou « hard » comme l’ont dit certains, on s’en contrefout.
Il y a bien longtemps maintenant qu’on sait que le Parisien roule pour Katy Perry, ceci n’est plus une surprise. Après avoir eux-même orchestré le « combat des reines de la pop », et affiché leur préférence pour Katy en voulant nous faire croire qu’ils étaient journalistes; car oui des journalistes digne de ce nom auraient été beaucoup plus impartial que ça, enfin quand ils le sont vraiment, bien sûr. Et puis leur papier est lui même sans saveur parce que créer de fausses guerres est bien plus intéressant à leurs yeux que de faire un article percutant, mais ne leur en voulons pas trop si ils préfèrent travailler comme un magazine people.
Si on part de leur point de vu les chansons de Perry sont fulgurantes, mais qu’arrivera-t-il une fois qu’elle les présentera sur scène ? Ça vous plait à vous, rédacteurs du Parisien d’entendre des titres saturées de retouches et chanté en playback ? Ses lives sont si désastreux qu’elle n’a d’autre choix que de faire du playback, enfin tout le monde le sait. L’album Prism est juste aberrant de retouches vocales, quelle surprise j’ai eu lorsque j’ai appris que le single ‘Dark Horse’ était de Katy Perry. Une chanteuse doit faire des cd avec sa voix et pas avec le logiciel d’un mixeur, mais ça c’était à vous « journalistes du Parisien » de le souligner, chose qui n’a pas était faite.
Il est nettement plus difficile de produire des morceaux incroyables voir impossible à chanter lorsqu’ils sont réelement intérprétés par de vrais chanteurs à la base, pas comme le célèbre Firework de l’album Teenage Dream par exemple. Ahhh professionnalisme des soi-disant ‘journalistes’, tu leurs fait défaut à tous. K
Heureusement que Bilboard a pondu cet article .. ouf !
Et puis, je pense que Bilboard est plus a même de juger un nouvel album qu’un journaliste du Parisien ou du Figaro …..
Pour avoir lu toutes les critiques meme si elles ne changent pas mon point qui est que je trouve ARTPOP assez bon avec certains titres que j’écoute en boucle (G.U.Y, Gypsy,…), les critiques trouvent néanmoins quelques chansons pourtant bien et dans chaque articles, ce sont plus ou moins des titres différents qui sortent du lot donc dans l’ensemble, l’album n’est pas si mal d’ailleurs je l’adore, c’est de la bonne musique pour s’éclater =D après chacun son avis, ca m’empêche pas de dormir la nuit et d’acheter sa musique :)
Ps: merci à Gagavision pour tout ce qu’ils font et je trouve intéressant d’avoir posté ces critiques :)