AHS : Hotel – Critiques sur Gaga

AHS : Hotel – Critiques sur Gaga

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THE DAILY BEAST

Les premiers pas de Stefani Germanotta en tant qu’actrice sont évidemment ce qui attire le plus l’attention sur la dernière saison de l’anthologie d’épouvante dérangée et souvent décalée de Ryan Murphy ; et Hotel est plus dérangée et décalée que jamais, rendant notre découverte de la performance de Gaga une expérience positivement angoissante. Elle joue la Comtesse, une obsédée du sexe mondaine et peut-être un vampire, nous n’en sommes pas sûrs. Sa performance de diva majestueuse et haute-couture dégouline d’assez de manières et de prétention pour faire de Joan Crawford une actrice ‘Method’. Sa façon délibérée, peut-être crispée de réciter son texte est-elle signe d’une performance incroyablement contrôlée et convaincante ? Ou est-ce simplement une mauvaise performance ? Hey, c’est une série de Ryan Murphy. Tout est beau et fou, donc le bon côté, c’est que ça ne compte pas vraiment de toute façon.

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DIGITAL SPY

Globalement, l’épisode est une heure d’excellente télévision – composée de moments stupéfiants, de scènes angoissantes, et de Lady Gaga à son point le plus grandiose. Maintenant que nous nous sommes enregistrés à l’hôtel d’American Horror Story, nous ne sommes pas sûrs de vouloir partir.

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FLAVORWIRE

Notre premier aperçu de Lady Gaga est une séquence de séduction qui suit la mystérieuse propriétaire de l’hôtel que joue la chanteuse, et son bel amant pas si mystérieux, le personnage de Matt Bomer, alors qu’ils entraînent un autre couple dans l’hôtel après les avoir séduits lors d’une soirée cinéma dans le cimetière local. Ce qui suit est sexy, gore, muet, et entièrement accompagné par « Tear You Apart » de She Wants Revenge. En clair, c’est un clip. Gaga, dont la théâtralité colle parfaitement à l’esthétique précise mais chaotique d’American Horror Story, est une bouffée d’air frais.

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THE GUARDIAN

Mais c’est Gaga la star, et elle arrive à s’accaparer toutes les scènes dans lesquelles elle figure. Cela est surtout dû à sa garde-robe, qui est aussi chic que prévu […] Chaque look est frappant, et elle les porte magnifiquement bien.
Sa performance, cependant, manque d’étincelles. La Comtesse affiche une sorte d’ennui expérimenté, comme si elle avait déjà tout vu et que pas grand chose ne l’amusait. Le rôle est en plein dans le détachement, son dialogue est plein d’ironie et de sarcasme instable. Sa technique, si on peut l’appeler ainsi, est tellement limitée qu’elle pourrait être vue comme crispée : un assortiment de poses qui laissent les costumes faire le travail.
Cependant, peut-être que c’est plus que ça. […] Ce qui apparaît au premier abord détaché pourrait, nous l’espérons, se transformer en quelque chose de mieux au cours des 13 épisodes. Lorsque nous en apprendrons plus sur la Comtesse, tout devrait devenir clair et le manque d’émotions du personnage ressemblera plus à du génie qu’à une chanteuse essayant sans succès de faire la transition de chanteuse à actrice.
Vu l’abandon dont elle fait preuve dans ses scènes plus graphiques et le plaisir qu’elle y prend, je pense que Gaga laissera tomber l’exagération lorsque son personnage aura évolué. […] Je pourrais interpréter la performance entière de la mauvaise façon, peut-être qu’elle est juste très solide, mais une « performeuse » aussi expérimentée que Mother Monster est assurément capable de plus de choses que seulement être magnifique dans une robe ‘too much’.

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THE HOLLYWOOD REPORTER

Lady Gaga, qui succède de façon efficace à Jessica Lange, a attiré la plupart de la médiatisation pour ses débuts en tant qu’actrice. Après une heure, il nous reste à voir comment Gaga gèrera les longs dialogues ou la versatilité émotionnelle, mais initialement, elle est seulement censée représenter un concept visuel, ce qu’elle fait de manière convaincante. Elle se pavane en habits haute-couture avec confiance, elle fait des scènes de presque-nu sans embarras, et ses manières font penser à la star de « Nosferatu Le Vampire » Max Schreck, ce qui pourrait sembler non-voulu, si plusieurs personnages n’assistaient pas à une diffusion de ce classique de F.W. Murnau dans un cimetière.

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LATINO WEEKLY REVIEW

Cette saison d’American Horror Story, AHS Hotel, est composée d’un casting de stars, incluant la tristement célèbre Lady Gaga. Elle est envoûtante et brillante dans son rôle de la Comtesse Elizabeth, un personnage tordu et assoiffé de sang.

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MELTY (FR)

Lady Gaga ne déçoit pas : terrifiante un moment, gentille de l’autre, nous avons hâte de voir comment son intrigue évoluera.

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SCREEN CRUSH

C’est comme si le personnage de Lady Gaga créé par Stefani Germanotta était apparu dans le but précis d’apparaître dans American Horror Story. Tout, de sa présence stupéfiante, à son pur pouvoir de star en passant par son excentricité toujours outrancière, font d’elle la parfaite candidate pour la série de FX. Bien qu’elle ne comble pas le vide laissé par l’ancienne héroïne Jessica Lange (qui le pourrait ?), elle apporte assurément un magnétisme châtoyant de diva au principal rôle féminin. Murphy veut que l’audience déguste chaque instant où la Comtesse apparaît à l’écran, que ce soit grâce à ses magnifiques costumes ou ses fantomesques sourcils décolorés et sa peau claire, et il est dur de ne pas le faire. Mais sait-elle jouer ? Cela reste à voir, puisque Gaga ne joue pas grand chose de plus qu’une version accentuée de son personnage de popstar. La Comtesse jouée par Gaga ressemble à une caricature des starlettes du Vieux Hollywood, avec peu de dialogue et un accent Transatlantique instable. Elle n’est pas incroyable, mais moins elle en dit, et plus elle devient intrigante. Après tout, nous ne regardons pas American Horror Story pour voir des performances d’acteurs parfaites, nous le regardons pour les personnages, et Gaga est le personnage le plus frappant de la culture pop de nos jours.

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SHE KNOWS

« Oubliez Lady Gaga, AHS : Hotel présente au monde entier Stefani Germanotta. »
Gaga joue une femme de 100 ans appelée La Comtesse, qui souffre d’hémophilie, lui donnant une soif insatiable de sang – et de sexe. Du sexe si intense que Murphy a ressenti le besoin de présenter ses excuses auprès de la famille de Gaga pour quelques scènes. Bien sûr, il n’y avait pas de quoi être désolé. En effet, la scène met mal à l’aise. Mais seulement car on est si enchantés par la beauté magnétique que créent Murphy et Gaga à l’écran que l’on en perd la notion du temps. Gaga et Bomer sont électriques. La scène en question comprend très peu de dialogue – Non parce qu’elle se concentre sur la provocation, mais parce que le dialogue n’était pas nécessaire pour raconter l’histoire des personnages.
Le premier épisode d’AHS : Hotel était probablement le meilleur épisode de toute la série. Et la performance de Gaga m’a honnêtement complètement prise par surprise. Il n’y a aucun doute : elle est brillante dans tout ce qu’elle entreprend. Ce à quoi je ne m’attendais pas était à quel point sa présence serait captivante, donnant ainsi un personnage inquiétant et beau, une femme aussi désirable que terrifiante.

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SLANT

Lady Gaga est plus vibrante que n’importe quel membre du cast d’American Horror Story, transformant les dialogues malicieux en quelque chose d’ensorcelant, peut-être même sexy…

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SMALLTHINGS (FR)

Pourtant, il y a des moments de grâce, des moments à l’image de Lady Gaga : incompréhensibles et fascinants. Sa première scène est une orgie macabre englobée dans une économie de dialogues. C’est brut, érotique, violent. L’aura de la chanteuse a nourri les ambitions des scénaristes et semble proposer un gigantesque morceau de choix pour les adorateurs d’un univers intemporel, indescriptible et incohérent.

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TIME

« Le rôle de Lady Gaga dans American Horror Story est sa plus belle réinvention. »
Pendant son temps à l’écran dans le rôle de la propriétaire d’un mystérieux hôtel hanté, Lady Gaga parle avec un accent vaguement Européen, sur lequel on ne peut mettre de nom : appelons-le l’accent Actriçois. Elle rend évidentes toutes les références sous-entendues aux drogues et au sexe en s’enfilant des lignes de cocaïne devant la caméra et en participant à un ménage à quatre mortel. […] Avec AHS, Gaga arrive à faire quelque chose que les cycles sans fin des promotions d’albums ne lui permettaient pas de faire : Nous laisser sur notre faim.

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VARIETY

Gaga n’a qu’un petit nombre de répliques courtes, mais et alors ? Elle apparaît glorieuse à l’image, dans un hôtel où la disposition des cheveux est d’une importance capitale, où l’intrigue compte à peine, et où les plaisirs sensuels vont de paire avec des litres de sang.

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THE VERGE

Gaga colle parfaitement à la série ; elle projette une combinaison électrique de danger et de luxure qui fait battre à toute allure le coeur de cette saison. Elle est féroce, et il en va de même pour Bomer ; après la saison de l’an dernier avec des clowns effrayants, le duo donne le ton pour Hotel avec l’alchimie sexuelle flagrante de leurs personnages, remplissant l’écran d’une énergie semblable à celle d’une after-party dans un club fétiche.

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VICE

Il va sans dire que Gaga a sa propre fanbase très dévouée – ses Little Monsters sont l’une des fanbases les plus obsédées de l’univers. En plus d’être un choix de casting très judicieux (l’énergie bizarre et sexy de Gaga correspond tout à fait à American Horror Story), inviter Gaga dans la série permet aussi l’association de deux fandoms enragées, ce qui assure forcément le succès de cette saison. […] Lady Gaga joue une Comtesse assoiffée de sang, insatiable de sexe, consommatrice de cocaïne et amatrice de haute couture. Bien que sa technique ne soit pas vraiment digne d’un Oscar, cela importe peu – American Horror Story n’a jamais été vraiment connu pour sa nuance, de toute façon. La performance de Gaga est d’humeur changeante, tout comme la série elle-même : joueuse et dragueuse un instant, dangereuse et exigeante par la suite, et sexy et séduisante tout du long.

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THE WRAP

Ce ne devrait donc pas être surprenant que la raison principale pour laquelle l’audience « s’enregistrera » à l’Hotel d’American Horror Story sera de voir Lady Gaga dans toute sa splendeur sanglante. Ils ne seront pas déçus.
Cette saison étant la première de la série à ne pas avoir Jessica Lange comme actrice principale, l’introduction de Lady Gaga arrive parfaitement à temps pour combler ce qui aurait autrement été un trou béant dans le casting.

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