Gaga a participé à un photoshoot et fait la couverture du prestigieux T Magazine, périodique dédié à la mode édité par The New York Times. Elle leur a aussi accordé une interview, que vous pouvez découvrir ci-dessous sans plus attendre.
Nous vous invitons aussi à voir les photos dans notre galerie ainsi que l’article sur le site du magazine en cliquant ici. On y apprend notamment qu’un documentaire sur la création de l’album Joanne est actuellement en préparation !
Vos avis sur ce nouveau photoshoot Monsters ?
MAJ du 22/10/2016 : Retrouvez la traduction complète de l’interview de Lady Gaga !
Lire l'interview de T Magazine (FR)
Un après-midi en juillet dernier, dans le West Village, aux Studios Electric Lady, le vieux rêve de Jimi Hendrix, j’ai rencontré Lady Gaga. Elle a monté une série de marches et a passé la porte avant que je puisse me lever, et m’a donné une accolade. Elle portant un chapeau noir Mary Quant, et était habillée d’un t-shirt blanc et un jeans noir déchiré.
La performeuse de 30 ans était à New York, dans ce temple de la musique, pour enregistrer son nouvel album, « Joanne ». Elle a dit qu’on pourrait tout aussi bien commencer en écouter quelques chansons et a ouvert le passage vers un studio de grandes consoles électroniques et de verre. Elle s’est assise sur un tabouret à côté des consoles et a branché son iPhone. Un cameraman – elle réalise un documentaire sur son nouveau projet – a filmé en permanence.
La première chanson qu’elle a passée, le premier single, « Perfect Illusion », est un morceau battant, fou, dansant. Une ballade a suivi, un hommage à sa tante Joanne, qu’elle n’a jamais connue mais dont on lui a donné le nom. (Elle est née Stefani Joanne Angelina Germanotta). Joanne est décédée à l’âge de 19 ans des complications d’un lupus, et Gaga dit, les larmes aux yeux, alors que la chanson touchante s’accroche dans l’air, que sa famille n’a jamais cessé de faire le deuil.
Pour nous sortir de là, elle a sélectionné un autre morceau entrainant. Elle s’est tournée vers moi en un instant et a joué de l’air guitar, a fait du playback et secoué ses épaules. A un moment, elle était debout dans ses Doc Martens, à danser et s’éclater, une femme possédée. Il est impossible de résister à cette Gaga remuante, à quelques mètres de moi – et pourquoi le voudrait-on ? Comme avec chaque pièce qu’elle traverse, Gaga est entrée ici et a tout mis sur le tapis. Dans son travail, sa confiance est vivace, tout comme les risques qu’elle prend.
Gaga, qui a grandi à New York, dans le Upper West Side, avait 13 ans lorsqu’elle essayait des vêtements dans une boutique avoisinante où le gérant l’a entendue chanter pour elle-même. Il a pensé qu’elle avait une voix géniale et lui a suggéré de contacter son oncle, Don Lawrence, un coach vocal qui a travaillé avec Christina Aguilera, Mick Jagger et Billy Joel. Gaga dit qu’elle tremblait la première fois qu’ils se sont parlés. Lawrence lui a donné un rendez-vous. Elle a chanté « Hero » de Mariah Carey, et il lui a dit qu’il ferait de la place pour elle dans son planning, et lui a fait un tarif spécial, à condition qu’elle s’entraine chaque jour. Elle a promis qu’elle le ferait.
Ils se rencontraient les mercredis à 18 heures. A la fin de chaque cours, sa voix était si chaude, pas seulement dans sa gorge, se rappelle-t-elle, mais profondément dans tout son corps. Elle quittait son studio et chantait dans le hall de son immeuble à cause de la bonne acoustique. En rentrant chez elle, elle dit qu’elle chantait toujours « à pleins poumons, je me foutais de savoir qui m’entendrait, je chantais encore et encore, je n’arrivais pas à croire quel bien cela faisait ? Cela me procurait un tel sentiment de guérison. »
Dix-sept ans plus tard, Lawrence lui fait toujours travailler ses gammes, « comme une armée. » Il l’a entrainé pour les Oscars, il était là pour sa « Star-Spangled Banner » au Super Bowl 50, il l’écoutait deux jours plus tôt aux Studios Electric Lady. La famille est la chose la plus importante au monde pour Gaga, et Lawrence fait partie de sa famille.
Une célébrité mondiale à l’âge de 22 ans est précoce, mais pas soudaine, pas si la volonté d’en arriver là vous a possédée depuis votre enfance, vous faisant rester en haut des marches en chantant sans arrêt la même chanson, testant la patience de votre famille, qui vous a néanmoins comprise et soutenue. « Je me rappelle tellement clairement que j’étais passionnée et bouleversée par le mystère de Judy Garland dans « Le Magicien d’Oz, » de sa voix et de son pouvoir, » dit-elle. « Cela me faisait pleurer, et même lorsque j’étais toute petite, j’ai toujours voulu être actrice. » (Comme si elle y était destinée, Gaga jouera dans le remake de « A Star Is Born » par Bradley Cooper, dans un rôle précédemment tenu par Garland.)
Performer est un besoin indispensable pour elle. « Ma vie entière est une pièce de théâtre. » Elle ne se rappelle pas avoir été différente de ses camarades d’école, bien qu’elle concède qu’ils aient pu le ressentir ainsi en raison de son empressement à s’entrainer, son enthousiasme à laisser passer l’amusement, à être dans chaque spectacle de l’école, dans le groupe de jazz, à étudier le piano, à prendre des cours de ballet et de claquettes. Sa carrière leur a répondu.
Les scènes underground variées de New York font un apprentissage discipliné, et Gaga est fière de sa première fanbase d’étudiants en art, mode et musique. (‘Mon artpop pourrait signifier n’importe quoi,’ dit l’une de ses chansons.) Ses clips éclectiques sont théâtraux : emplis de profondeur, de volume, de costumes et de couleurs, chaque mouvement est pensé jusqu’aux bords du cadre. Elle a collaboré avec Robert Wilson, maitre du théâtre avant-gardiste, dans une vidéo controversée en 2013 « Flying », om elle est attachée nue et hissée en l’air. (‘Faites ce que vous voulez avec mon corps,’ chante-t-elle dans une autre chanson, ‘Vous n’arrêterez pas ma voix.’) Dans une série de vidéos de portraits, aussi en 2013, Wilson avait fait de Gaga, entre autres images de peintures européennes, un portrait de la tête de Jean Le Baptiste sur un chargeur.
Et elle continue à se diversifier : « Je voulais devenir une femme, » dit-elle de son album de standards du jazz qu’elle a sorti en 2014 avec Tony Bennett. « Mon public s’est dit ‘Attendez, pourquoi fait-elle du jazz ? Qu’est-ce qu’il se passe ?’ Et puis ils se sont dit, ‘Oh, parce qu’elle le peut. Parce qu’elle adore ça.’ Et le jazz, une musique inventée par la communauté afro-américaine, est la plus grande forme d’art qui soit jamais sortie de ce pays. » Elle connait l’histoire, et ce que cela signifie d’être une artiste blanche chantant du jazz, mais lorsqu’elle était enfant, elle ne voyait « pas la musique de manière racile ou de genre. » Elle dit qu’elle ne faisait qu’écouter.
Bien qu’elle n’ait pas grandi en étant une fille noire, « Je peux ressentir et voir la peur et le pouvoir de tout ça, » dit-elle. « Le système judiciaire est brisé. J’ai vu ce par quoi je suis passée avec la communauté LGBT, ou ce que je ressens que j’ai traversé avec eux à un niveau spirituel. Lorsqu’il y a de la justice et du changement, vous commencez à voir le nettoyage des âmes et c’est ce que je veux pour les gens, et j’espère que c’est okay que moi je dise ces choses. »
Etre une femme lui a donné la perspective et la capacité de s’identifier aux groupes marginalisés. « Je suis devenue obsédée par le fait d’écrire des histoires sous forme musical, » dit Gaga, qui chante la fragilité tout en battant le rythme. « C’est une manière de prouver constamment que je suis vraiment une musicienne, que j’ai quelque chose à offrir. Que les femmes peuvent être musiciennes, que les femmes peuvent être des rock stars, qu’elles peuvent être plus que des pop stars et femmes objets. »
Gaga s’est fâchée avec son apprentissage classique des arts car les appels de la pop et du rock étaient déjà très forts en elle – l’artiste s’est construite tout ce temps. Lawrence l’a encouragée à écrire des chansons, et elle admet que c’est un challenge. « Je suis bloquée dans mes propres traumatismes parfois, » dit-elle. « La noirceur, la boucle de pensées négatives qui se répètent, les clameurs et les interférences avec la musique que j’entends dans ma tête. Lorsque je compose de la musique, j’entends toutes les parties, tous les instruments. J’entends ce que cela devrait être. »
Elle se rappelle d’une interview de John Lennon pour Playboy. Il y parlait du fait qu’il ne pouvait pas écouter certains des plus gros tubes des Beatles car le processus créatif avait été tellement intense qu’écouter de nouveau la musique lui rappelait cette insanité. Lorsqu’elle écrit, dit-elle, « Tu rentres dans une zone – que je décrirais comme une conscience. Tu dois être conscient que des choses non désirées vous entrez, mais il y a aussi une clarté là-dedans et tu dois la trouver. » Gaga n’est pas intéressée dans le romantisme de l’autodestruction, mais elle a appris quelque chose d’encore plus important grâce à Lennon. « Le cran », dit-elle, « Vous devez avoir du cran. »[Lire la version originale]
La performeuse de 30 ans était à New York, dans ce temple de la musique, pour enregistrer son nouvel album, « Joanne ». Elle a dit qu’on pourrait tout aussi bien commencer en écouter quelques chansons et a ouvert le passage vers un studio de grandes consoles électroniques et de verre. Elle s’est assise sur un tabouret à côté des consoles et a branché son iPhone. Un cameraman – elle réalise un documentaire sur son nouveau projet – a filmé en permanence.
La première chanson qu’elle a passée, le premier single, « Perfect Illusion », est un morceau battant, fou, dansant. Une ballade a suivi, un hommage à sa tante Joanne, qu’elle n’a jamais connue mais dont on lui a donné le nom. (Elle est née Stefani Joanne Angelina Germanotta). Joanne est décédée à l’âge de 19 ans des complications d’un lupus, et Gaga dit, les larmes aux yeux, alors que la chanson touchante s’accroche dans l’air, que sa famille n’a jamais cessé de faire le deuil.
Pour nous sortir de là, elle a sélectionné un autre morceau entrainant. Elle s’est tournée vers moi en un instant et a joué de l’air guitar, a fait du playback et secoué ses épaules. A un moment, elle était debout dans ses Doc Martens, à danser et s’éclater, une femme possédée. Il est impossible de résister à cette Gaga remuante, à quelques mètres de moi – et pourquoi le voudrait-on ? Comme avec chaque pièce qu’elle traverse, Gaga est entrée ici et a tout mis sur le tapis. Dans son travail, sa confiance est vivace, tout comme les risques qu’elle prend.
Gaga, qui a grandi à New York, dans le Upper West Side, avait 13 ans lorsqu’elle essayait des vêtements dans une boutique avoisinante où le gérant l’a entendue chanter pour elle-même. Il a pensé qu’elle avait une voix géniale et lui a suggéré de contacter son oncle, Don Lawrence, un coach vocal qui a travaillé avec Christina Aguilera, Mick Jagger et Billy Joel. Gaga dit qu’elle tremblait la première fois qu’ils se sont parlés. Lawrence lui a donné un rendez-vous. Elle a chanté « Hero » de Mariah Carey, et il lui a dit qu’il ferait de la place pour elle dans son planning, et lui a fait un tarif spécial, à condition qu’elle s’entraine chaque jour. Elle a promis qu’elle le ferait.
Ils se rencontraient les mercredis à 18 heures. A la fin de chaque cours, sa voix était si chaude, pas seulement dans sa gorge, se rappelle-t-elle, mais profondément dans tout son corps. Elle quittait son studio et chantait dans le hall de son immeuble à cause de la bonne acoustique. En rentrant chez elle, elle dit qu’elle chantait toujours « à pleins poumons, je me foutais de savoir qui m’entendrait, je chantais encore et encore, je n’arrivais pas à croire quel bien cela faisait ? Cela me procurait un tel sentiment de guérison. »
Dix-sept ans plus tard, Lawrence lui fait toujours travailler ses gammes, « comme une armée. » Il l’a entrainé pour les Oscars, il était là pour sa « Star-Spangled Banner » au Super Bowl 50, il l’écoutait deux jours plus tôt aux Studios Electric Lady. La famille est la chose la plus importante au monde pour Gaga, et Lawrence fait partie de sa famille.
Une célébrité mondiale à l’âge de 22 ans est précoce, mais pas soudaine, pas si la volonté d’en arriver là vous a possédée depuis votre enfance, vous faisant rester en haut des marches en chantant sans arrêt la même chanson, testant la patience de votre famille, qui vous a néanmoins comprise et soutenue. « Je me rappelle tellement clairement que j’étais passionnée et bouleversée par le mystère de Judy Garland dans « Le Magicien d’Oz, » de sa voix et de son pouvoir, » dit-elle. « Cela me faisait pleurer, et même lorsque j’étais toute petite, j’ai toujours voulu être actrice. » (Comme si elle y était destinée, Gaga jouera dans le remake de « A Star Is Born » par Bradley Cooper, dans un rôle précédemment tenu par Garland.)
Performer est un besoin indispensable pour elle. « Ma vie entière est une pièce de théâtre. » Elle ne se rappelle pas avoir été différente de ses camarades d’école, bien qu’elle concède qu’ils aient pu le ressentir ainsi en raison de son empressement à s’entrainer, son enthousiasme à laisser passer l’amusement, à être dans chaque spectacle de l’école, dans le groupe de jazz, à étudier le piano, à prendre des cours de ballet et de claquettes. Sa carrière leur a répondu.
Les scènes underground variées de New York font un apprentissage discipliné, et Gaga est fière de sa première fanbase d’étudiants en art, mode et musique. (‘Mon artpop pourrait signifier n’importe quoi,’ dit l’une de ses chansons.) Ses clips éclectiques sont théâtraux : emplis de profondeur, de volume, de costumes et de couleurs, chaque mouvement est pensé jusqu’aux bords du cadre. Elle a collaboré avec Robert Wilson, maitre du théâtre avant-gardiste, dans une vidéo controversée en 2013 « Flying », om elle est attachée nue et hissée en l’air. (‘Faites ce que vous voulez avec mon corps,’ chante-t-elle dans une autre chanson, ‘Vous n’arrêterez pas ma voix.’) Dans une série de vidéos de portraits, aussi en 2013, Wilson avait fait de Gaga, entre autres images de peintures européennes, un portrait de la tête de Jean Le Baptiste sur un chargeur.
Et elle continue à se diversifier : « Je voulais devenir une femme, » dit-elle de son album de standards du jazz qu’elle a sorti en 2014 avec Tony Bennett. « Mon public s’est dit ‘Attendez, pourquoi fait-elle du jazz ? Qu’est-ce qu’il se passe ?’ Et puis ils se sont dit, ‘Oh, parce qu’elle le peut. Parce qu’elle adore ça.’ Et le jazz, une musique inventée par la communauté afro-américaine, est la plus grande forme d’art qui soit jamais sortie de ce pays. » Elle connait l’histoire, et ce que cela signifie d’être une artiste blanche chantant du jazz, mais lorsqu’elle était enfant, elle ne voyait « pas la musique de manière racile ou de genre. » Elle dit qu’elle ne faisait qu’écouter.
Bien qu’elle n’ait pas grandi en étant une fille noire, « Je peux ressentir et voir la peur et le pouvoir de tout ça, » dit-elle. « Le système judiciaire est brisé. J’ai vu ce par quoi je suis passée avec la communauté LGBT, ou ce que je ressens que j’ai traversé avec eux à un niveau spirituel. Lorsqu’il y a de la justice et du changement, vous commencez à voir le nettoyage des âmes et c’est ce que je veux pour les gens, et j’espère que c’est okay que moi je dise ces choses. »
Etre une femme lui a donné la perspective et la capacité de s’identifier aux groupes marginalisés. « Je suis devenue obsédée par le fait d’écrire des histoires sous forme musical, » dit Gaga, qui chante la fragilité tout en battant le rythme. « C’est une manière de prouver constamment que je suis vraiment une musicienne, que j’ai quelque chose à offrir. Que les femmes peuvent être musiciennes, que les femmes peuvent être des rock stars, qu’elles peuvent être plus que des pop stars et femmes objets. »
Gaga s’est fâchée avec son apprentissage classique des arts car les appels de la pop et du rock étaient déjà très forts en elle – l’artiste s’est construite tout ce temps. Lawrence l’a encouragée à écrire des chansons, et elle admet que c’est un challenge. « Je suis bloquée dans mes propres traumatismes parfois, » dit-elle. « La noirceur, la boucle de pensées négatives qui se répètent, les clameurs et les interférences avec la musique que j’entends dans ma tête. Lorsque je compose de la musique, j’entends toutes les parties, tous les instruments. J’entends ce que cela devrait être. »
Elle se rappelle d’une interview de John Lennon pour Playboy. Il y parlait du fait qu’il ne pouvait pas écouter certains des plus gros tubes des Beatles car le processus créatif avait été tellement intense qu’écouter de nouveau la musique lui rappelait cette insanité. Lorsqu’elle écrit, dit-elle, « Tu rentres dans une zone – que je décrirais comme une conscience. Tu dois être conscient que des choses non désirées vous entrez, mais il y a aussi une clarté là-dedans et tu dois la trouver. » Gaga n’est pas intéressée dans le romantisme de l’autodestruction, mais elle a appris quelque chose d’encore plus important grâce à Lennon. « Le cran », dit-elle, « Vous devez avoir du cran. »
Traduction : Christelle @Gagavision.net ©
Franchement j’adore son style ! Cet album va être énorme !
J’ai encore un peu de mal à m’y faire qu’elle ait changé à ce point de style vestimentaire, artistique, peut être même musical… Je voulais voir quelque chose de moins simple, plus « déjentée » mais bon, c’est sa new era ♣ Je la soutiens dans son évolution et dans ce qu’elle fait, même si je me contente parfois de ses anciens disques :/ Voilá tout et plein de bisous à Gagavision pour ce travail de dingue que vous faites!! :)
T’inquiète, c’est sûre, elle reviendra un jour avec ce côté déjanté que tu aime ;) peut-être même plus tôt que prévu.
Aha Bob je t’avoue que je n’y crois plus vraiment… Et puis bon, elle arrive á un âge où elle ne peut plus se permettre de porter certaines choses aha^^ Ou ne rien porter du tout x) Enfin elle reste Gaga, et nous l’admirons dans tout ce qu’elle fait jusqu’ici :))
Ce photoshoot est magnifique, je connaissais pas Collier Schorr mais elle a beaucoup de talent ! La vidéo est très intéressante, elle résume bien l’album je trouve.
J’aime beaucoup ce photoshoot et cette vidéo/interview. Elle semble très honnête et en même temps elle garde ce coté théâtral je trouve. On sent, que pour chaque album elle travaille son personnage de Lady Gaga selon une différente facette. Elle a toujours aimé jouer avec ses « alter ego » depuis le début. Joanne c’est un peu plus compliqué, mais déjà « JO Calderone » pour moi c’était un peu Joanne, mais en version masculine.
Cette Ere peut être très destabilisante, car elle a franchi un fossé. Elle l’avait déjà fait avec CTC mais on était préparé, et c’était un album de reprise, et un album partagé, donc très différent.
J’aime quand elle dit, de façon très honnête encore, que sa musique reflète ce qu’elle est capable de dire à un instant T. Je me dis qu’elle a toujours su, depuis The Fame notamment, qu’elle sortirait un album nommé Joanne et que cet album serait particulier, a priori il l’est.
Avec cet album elle prend des risques, enlève beaucoup d’artifices (pour en revêtir de nouveaux toutefois, d’une certaine façon), et elle a le mérite de ne pas se reposer sur ses acquis.
Ah et je rajoute, elle cite, dans la vidéo des paroles de Joanne (la chanson) « Girl, where do you think you’re going? » disant qu’elle se pose la question à elle même, et avec cet album je me pose la même question, et sur sa carrière entière. Ce qui est certain, c’est qu’elle surprend et que ça me donne encore plus envie de continuer à suivre son parcours artistique.
J’ai écouté l’album en leak et j’achète l’album vendredi à coup sur!
En écoutant l’album et en regardant le shoot je comprends vraiment l’esprit de cette nouvelle ère, elle est posé, fraîche et naturelle.
J’attends vendredi pour donner un avis sur l’album. Je la trouve naturellement belle!
Tout pareil. Je suis conquis par tout ça là.. Certes ce n’est plus la même Gaga dans sa façon de faire, mais c’est toujours raffraichissant. Courronée de succès ou pas franchement, cette ère me plait aussi.
Hate d’etre vendredi pour pouvoir en parler
[IMPORTANT] On fera un article vendredi pour que vous puissiez donner votre avis sur l’album :) Si on pouvait vraiment rester sur le sujet de cet article dans les commentaires ce serait top :)
Merci par avance ^^
Oui excusez moi j’ai pas été tres clair, je voulais dire que j’adore ce qu’elle dégage dans cette vidéo qui represente super bien l’ère de Joanne. La video est calme, posée, Gaga rayonne… J’aime beaucoup comment ça a été tourné! Et de ce fait: je suis conquis par la Joanne’s vibe ^^
GGV, savez vous si il est possible d’acheter le magazine depuis la France ?
Personnellement je ne l’ai jamais vu en presse donc je pense qu’il faudra plutôt regarder sur Ebay
Elle est canon ♥♥♥♥♥